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Il Tiberio, volume 2, numéro 30, 15 février 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 30, 15 février 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 29, 1er février 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 29, 1er février 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 28, 15 janvier 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 28, 15 janvier 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 35, 1er mai 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 35, 1er mai 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 34, 15 avril 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 34, 15 avril 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 33, 1er avril 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 33, 1er avril 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 2, numéro 32, 15 mars 1898

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Il Tiberio, volume 2, numéro 32, 15 mars 1898
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Il Tiberio, volume 1, numéro 23, supplément, hors-série, 1er novembre 1897

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Il Tiberio, volume 1, numéro 23, supplément, hors-série, 1er novembre 1897
La revue manuscrite Il Tiberio fut produite à Barcelone à la fin du XIXe siècle. Elle contenait des articles, des commentaires ayant trait aux arts et à d'autres questions culturelles et politiques, ainsi que des dessins originaux. Des écrivains et des artistes, tels que Marià Pidelaserra, Gaietà Cornet, Ramon et Juli Borrell, Emili Fontbona, Filibert Montagut, Josep Victor Solà Andreu, Joan Comellas i Viñals et Ramon Riera Moliner, contribuèrent à la publication. Ils appartenaient tous au groupe formé dans les salles de classe de l'Académie Borrell et à la taverne El Rovell de l'Ou, située dans la rue de l'Hôpital à Barcelone. Le peintre catalan Pere Ysern Alié recevait la revue alors qu'il séjournait à Rome de 1896 à 1898 pour approfondir sa formation artistique, l'informant des affaires courantes de Catalogne et des activités du groupe d'intellectuels et d'artistes, dont il faisait partie avec ses amis et ses collègues. La revue fut appelée Il Tiberio d'après le surnom que Riera Moliner donna à Pere Ysern. Au total, 35 numéros plus cinq éditions spéciales d'Il Tiberio parurent entre le 15 novembre 1896 et le 1er mai 1898.

Le Démocrite de Kharkiv : la mille et unième revue, numéro 2, février 1816

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Le Démocrite de Kharkiv : la mille et unième revue, numéro 2, février 1816
La revue ukrainienne Le Démocrite de Kharkiv fut publiée en six numéros mensuels à Kharkiv (aujourd'hui en Ukraine et à l'époque dans l'Empire russe), entre janvier et juin 1816. Son rédacteur en chef et éditeur, Vassily Maslovitch (1793−1841), s'inspira du magazine de Saint–Pétersbourg Démocrite (1815) pour la publication. Le cercle d'auteurs du Démocrite de Kharkiv, premier périodique ukrainien de nature comique et satirique, comptait notamment les écrivains de Kharkiv Y.M. Nakhimov, H.F. Kvitka-Osnov'ianenko, D. Iaroslavsky et O.M. Somov. Le contenu, publié en russe, était organisé en trois parties en fonction du style : poétique, en prose et « varié ». La revue incluait également des écrits en ukrainien, tels que le poème burlesque de Maslovitch « Fondation de Kharkiv », première œuvre en langue ukrainienne jamais parue dans un périodique en Ukraine orientale. Toute référence à l'injustice sociale dans ses pages était rejetée par les censeurs. La publication de la revue cessa lorsque Maslovitch s'installa à Saint–Pétersbourg.

Le premier livre de Amadis de Gaule

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Le premier livre de Amadis de Gaule
Amadís de Gaula (Amadis de Gaule) est un roman de chevalerie écrit par Rodriguez de Montalvo, reprenant des histoires qui circulèrent dès les années 1360 dans la péninsule ibérique. L'œuvre d'origine, en espagnol, parut en 1508. Nicolas Herberay des Essarts la traduisit en français, incluant des ajouts et l'adaptant. Le premier livre de cette adaptation fut publié en 1540 dans l'édition grand format présentée ici. La narration relate les aventures d'Amadis, archétype même du chevalier. Le succès est immense, accentué par le parti pris de Des Essarts de scinder les récits en quatre volumes et de les publier consécutivement, introduisant sciemment le premier élément de suspense dans l'édition. Des Essarts publia à partir de 1540 un volume par an, y compris les livres écrits par Montalvo. Ses ouvrages et ses traductions seront repris par d'autres. Livre de chevet du roi François Ier (règne : 1515−1547) et de l'empereur du Saint Empire romain Charles Quint (règne : 1519−1556), Amadís de Gaule devient le roman emblématique de plusieurs générations, modèle d'un Moyen Âge disparu et fantasmé, et manuel de savoir–vivre pour les gentilshommes de l'époque. C'est d'ailleurs en réaction aux clichés engendrés par son retentissement que l'éminent romancier espagnol Miguel de Cervantès (1547−1616) écrivit Don Quichotte, dont le héros était l'émule d'Amadis. Traduit dans de nombreuses langues, Amadís de Gaule connaîtra une seconde fortune grâce aux opéras de Lully (1684), de Haendel (1715), de Johann Christian Bach (1779) et Massenet (1922).

L'arithmétique, ou l'étude des nombres. Organisé en trois parties et se terminant par un calendrier des jours fériés

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L'arithmétique, ou l'étude des nombres. Organisé en trois parties et se terminant par un calendrier des jours fériés
Aritmetika est le premier manuel d'arithmétique jamais publié en bulgare et le premier manuel écrit par Khristaki Pavlovich (1804−1848). Il fut largement utilisé au XIXe siècle en Bulgarie. Le livre aborde l'arithmétique de base, mais il inclut également des instructions sur le calcul des dates de plusieurs fêtes orthodoxes utilisant une ruka paskhalna (une paume permettant de calculer les dates de Pâques) ou une ruka mesiachna (une paume permettant de calculer les jours d'un mois). Ces appareils sont également appelés « mains damascènes » ou « mains de Damas ». Le livre fut publié en Serbie, qui avait obtenu son autonomie au sein de l'Empire ottoman et où une maison d'édition royale serbe avait été établie pour l'impression des livres slaves. À cette époque, les Bulgares n'avaient pas acquis l'autonomie ou ne possédaient pas leur propre maison d'édition, mais le prince serbe autorisa des Bulgares à produire des livres dans leur langue à l'imprimerie serbe de Belgrade. L'auteur de cet ouvrage, Khristaki Pavlovich, naquit dans la ville de Doupnitsa. Il devint moine au monastère de Rila, puis professeur à Svishtov, comptant parmi ses élèves des figures emblématiques de l'histoire bulgare telles que Petko Slaveikov et Dragan Tsankov. Il écrivit ou traduisit de nombreux livres, y compris une célèbre grammaire slavo–bulgare et son édition de Livre des rois ou histoire bulgare, où l'on apprend d'où viennent les Bulgares, comment ils accédèrent au pouvoir, comment ils régnèrent et comment leur royaume chuta pour finir dominé de Paisii Khilendarski.

Heureuse rencontre : chant contemporain sur un exil en forêt

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Heureuse rencontre : chant contemporain sur un exil en forêt
Schastliva sreshta (Heureuse rencontre) est un long poème révolutionnaire connu pour sa forte influence sur les grands révolutionnaires et écrivains révolutionnaires bulgares, tels que Georgi Rakovski, Khristo Botev, Liuben Karavelov et Vasil Levski. L'œuvre est en fait dédiée au frère de Vasil Levski, Khristov Ivanov (Kŭnchev), mort en 1870, année de la première publication de ce poème. L'auteur, Velichko Aleksiev Popov (1848−1927), professeur et activiste révolutionnaire bulgare, fut associé au célèbre révolutionnaire Khristo Botev (1848−1876). Popov est mieux connu non pas pour la quantité ou la qualité de ses ouvrages littéraires, mais plutôt pour l'impact de ces derniers sur les principales figures du mouvement révolutionnaire bulgare. Cette œuvre fut imprimée par la société K.N. Radulesku, à Bucarest (aujourd'hui en Roumanie).

Contes d'Ésope, fabuliste de Phrygie

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Contes d'Ésope, fabuliste de Phrygie
Les Fables d'Ésope, souvent appelées Fablier d'Ésope, constituent un classique pour l'éducation des enfants partout dans le monde et la Bulgarie ne fait pas exception. Des traductions bulgares des fables parurent initialement dans l'ouvrage de 1824 de Pierre Béron, Abécédaire au poisson, mais la première publication uniquement consacrée aux Fables d'Ésope fut une compilation de 1852 par Petko Slaveikov. Cette traduction de 1854, de Raino Popovich, compte parmi les premiers ouvrages de la tradition bulgare moderne de la traduction et de l'écriture de fables. Raino Popovich fut l'un des premiers grands professeurs de Bulgarie. Il fonda deux écoles bulgaro–helléniques, dont les élèves inclurent des figures emblématiques du Renouveau national telles que Béron, Georgi Rakovski et Ivan Bogorov. Outre son rôle dans le professorat, Popovich est surtout célèbre pour ses traductions en bulgare, pour lesquelles il essaya d'employer un langage simple accessible même aux enfants. Une note dans cette édition des fables indique qu'elle fut imprimée avec le soutien de Khadzhi Naiden Ioanovich de Tatar–Pazardjik. Ioanovich, éditeur et libraire itinérant bulgare, joua un rôle important dans la diffusion de livres en langue bulgare au début du Renouveau national bulgare. Il compila ou publia plus de 30 livres, notamment des calendriers, de la poésie et des œuvres religieuses.

Fondements du christianisme, ou courte histoire sacrée, et bref catéchisme

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Fondements du christianisme, ou courte histoire sacrée, et bref catéchisme
Ce livre est une traduction bulgare d'un ouvrage de Philarète, métropolite de Moscou, qui durant les XIXe et XXe siècles fut l'un des manuels officiellement approuvés pour être utilisés dans les écoles bulgares. L'ouvrage fut traduit dans de nombreuses langues. Philarète, réformateur de l'éducation religieuse russe, joua un rôle essentiel dans la production d'une nouvelle traduction de la Bible en russe et écrivit plusieurs textes religieux majeurs. Le livre inclut trois ouvrages, à savoir une courte histoire de l'Église (pages 3−62), un bref catéchisme (pages 63−86) et un ajout au catéchisme, appelé « Exhortation chrétienne pour les soldats » (pages 87−93). Initialement publié en russe à Saint–Pétersbourg en 1828, ce manuel de Philarète reposait sur son catéchisme. L'édition présentée ici est la première traduction bulgare, attribuée à Naiden Gerov (1823−1900), éminent auteur et figure intellectuelle de l'époque, bien que le nom du traducteur ne soit pas mentionné dans le livre. Gerov était le fils d'un professeur et l'élève de Neofit Rilski (1793−1881), érudit religieux, professeur et artiste notable du Renouveau national bulgare. Tout au long de sa vie, Gerov fit partie des cercles intellectuels bulgares, grâce à ses écrits et à son soutien pour l'éducation et l'indépendance religieuse bulgare. Son ouvrage le plus important fut un dictionnaire bulgare en cinq volumes, qui parut pour la première fois en 1895. Gerov est également le père des récits de voyages bulgares. Une seconde édition bulgare de la traduction de Gerov du manuel de Philarète fut publiée en 1851, ainsi qu'une troisième, d'un autre traducteur, Nikola Kasapski, en 1852. Au dos de la page de titre, une note annonce que 14 écoles allaient recevoir dix copies chacune de l'édition de l'école de Gabrovo.

Portrait demi–longueur d'un fonctionnaire des chemins de fer

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Portrait demi–longueur d'un fonctionnaire des chemins de fer
Ce portrait demi–longueur d'un fonctionnaire des chemins de fer est extrait de l'album Jing-Zhang lu gong cuo ying (Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang), qui fut publié en 1909 pour marquer l'ouverture de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou (auparavant appelée la ligne de chemin de fer impériale de Pékin–Kalgan), première voie ferrée de Chine conçue, construite et financée par les Chinois, sans participation étrangère. Les photographies de l'album furent prises entre 1905 et 1909 par l'atelier de photographie Tongsheng de Shanghai. La construction de la voie ferrée se déroula en trois phases : la première ligne, de Fengtai à Nankou, fut achevée en septembre 1906. La seconde, de Nankou à Kangzhuang, fut terminée en septembre 1908. La troisième partie du chemin de fer, de Kangzhuang à Zhangjiakou, fut achevée en septembre 1909. Au total, la ligne, entre Fengtai, à Pékin, et Zhangjiakou, s'étendait sur environ 200 kilomètres. L'album en deux volumes inclut des clichés pris le long de la voie ferrée, montrant notamment ses principales sections, les gares, des bâtiments d'usine, des locomotives, des ponts, des tunnels et des caniveaux, ainsi que des scènes d'ouvriers au travail pendant la construction et de festivités célébrant l'ouverture de la ligne. Les vues et endroits pittoresques à différents arrêts de la ligne sont très nets, fournissant un aperçu complet et systématique du chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou à cette époque. L'ouvrage présenté ici est le premier volume.

Portrait demi–longueur de Zhan Tianyou

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Portrait demi–longueur de Zhan Tianyou
Cette photographie est un portrait demi–longueur de Zhan Tianyou, également appelé Jeme Tien Yow (1861–1919), en uniforme officiel. Zhan fut l'ingénieur en chef chargé de la construction de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou. Originaire de Foshan, dans la province du Guangdong, Zhan obtint son diplôme de génie civil en 1881 aux États–Unis. Sa contribution à la construction ferroviaire en Chine lui valut le surnom de « père des chemins de fer de Chine ». Ce cliché est extrait de l'album Jing-Zhang lu gong cuo ying (Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang), qui fut publié en 1909 pour marquer l'ouverture de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou (auparavant appelée la ligne de chemin de fer impériale de Pékin–Kalgan), première voie ferrée de Chine conçue, construite et financée par les Chinois, sans participation étrangère. Les photographies de l'album furent prises entre 1905 et 1909 par l'atelier de photographie Tongsheng de Shanghai. La construction de la voie ferrée se déroula en trois phases : la première ligne, de Fengtai à Nankou, fut achevée en septembre 1906. La seconde, de Nankou à Kangzhuang, fut terminée en septembre 1908. La troisième partie du chemin de fer, de Kangzhuang à Zhangjiakou, fut achevée en septembre 1909. Au total, la ligne, entre Fengtai, à Pékin, et Zhangjiakou, s'étendait sur environ 200 kilomètres. L'album en deux volumes inclut des clichés pris le long de la voie ferrée, montrant notamment ses principales sections, les gares, des bâtiments d'usine, des locomotives, des ponts, des tunnels et des caniveaux, ainsi que des scènes d'ouvriers au travail pendant la construction et de festivités célébrant l'ouverture de la ligne. Les vues et endroits pittoresques à différents arrêts de la ligne sont très nets, fournissant un aperçu complet et systématique du chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou à cette époque. L'ouvrage présenté ici est le premier volume.

Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang (Pékin–Zhangjiakou)

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Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang (Pékin–Zhangjiakou)
L'album Jing-Zhang lu gong cuo ying (Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang) fut publié en 1909 pour marquer l'ouverture de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou (auparavant appelée la ligne de chemin de fer impériale de Pékin–Kalgan), première voie ferrée de Chine conçue, construite et financée par les Chinois, sans participation étrangère. Les photographies de l'album furent prises entre 1905 et 1909 par l'atelier de photographie Tongsheng de Shanghai. La construction de la voie ferrée se déroula en trois phases : la première ligne, de Fengtai à Nankou, fut achevée en septembre 1906. La seconde, de Nankou à Kangzhuang, fut terminée en septembre 1908. La troisième partie du chemin de fer, de Kangzhuang à Zhangjiakou, fut achevée en septembre 1909. Au total, la ligne, entre Fengtai, à Pékin, et Zhangjiakou, s'étendait sur environ 200 kilomètres. L'album en deux volumes inclut des clichés pris le long de la voie ferrée, montrant notamment ses principales sections, les gares, des bâtiments d'usine, des locomotives, des ponts, des tunnels et des caniveaux, ainsi que des scènes d'ouvriers au travail pendant la construction et de festivités célébrant l'ouverture de la ligne. Les vues et endroits pittoresques à différents arrêts de la ligne sont très nets, fournissant un aperçu complet et systématique du chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou à cette époque. L'ouvrage présenté ici est le premier volume.

Catéchisme chrétien développé de l'Église orthodoxe orientale universelle

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Catéchisme chrétien développé de l'Église orthodoxe orientale universelle
L'ouvrage présenté ici est la traduction bulgare de la 46e édition du catéchisme de Philarète (1782−1867), métropolite de Moscou, déjà révisé pour corriger certains éléments jugés inappropriés par les autorités de l'Église. La traduction, effectuée par Nikola Kasapski, était destinée non seulement à une utilisation dans les écoles, mais également à un lectorat chrétien plus large. Kasapski fut professeur et contributeur de périodiques bulgares, notamment Liuboslovie (Philologie) et Tsarigradski vestnik (Le héraut de Constantinople). Le livre fut imprimé à la maison d'édition royale serbe de Belgrade avec le soutien de Khadzhi Naiden Ioanovich. Ioanovich, éditeur et libraire itinérant bulgare, joua un rôle important dans la diffusion de livres en langue bulgare au début du Renouveau national bulgare. Il compila et publia plus de 30 livres, notamment des calendriers, de la poésie et des œuvres religieuses.

Passerelle numéro 5 au niveau de la porte Xibianmen

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Passerelle numéro 5 au niveau de la porte Xibianmen
Cette photographie montre une passerelle sur la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang (ou Pékin–Zhangjiakou), située au niveau de la porte Xibianmen. Des cheminots sont visibles sur le pont enjambant les rails. Plusieurs ponts de ce type furent construits sur cette ligne de chemin de fer.  Ce cliché est extrait de l'album Jing-Zhang lu gong cuo ying (Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang), qui fut publié en 1909 pour marquer l'ouverture de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou (auparavant appelée la ligne de chemin de fer impériale de Pékin–Kalgan), première voie ferrée de Chine conçue, construite et financée par les Chinois, sans participation étrangère. Les photographies de l'album furent prises entre 1905 et 1909 par l'atelier de photographie Tongsheng de Shanghai. La construction de la voie ferrée se déroula en trois phases : la première ligne, de Fengtai à Nankou, fut achevée en septembre 1906. La seconde, de Nankou à Kangzhuang, fut terminée en septembre 1908. La troisième partie du chemin de fer, de Kangzhuang à Zhangjiakou, fut achevée en septembre 1909. Au total, la ligne, entre Fengtai, à Pékin, et Zhangjiakou, s'étendait sur environ 200 kilomètres. L'album en deux volumes inclut des clichés pris le long de la voie ferrée, montrant notamment ses principales sections, les gares, des bâtiments d'usine, des locomotives, des ponts, des tunnels et des caniveaux, ainsi que des scènes d'ouvriers au travail pendant la construction et de festivités célébrant l'ouverture de la ligne. Les vues et endroits pittoresques à différents arrêts de la ligne sont très nets, fournissant un aperçu complet et systématique du chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou à cette époque. L'ouvrage présenté ici est le premier volume.

Gare Guang'anmen, Pékin

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Gare Guang'anmen, Pékin
Cette photographie ne comporte pas de titre, mais la façade de la gare porte l'inscription « Gare Guang'anmen (ou Kuanganmen) de Pékin ». Cette inscription est flanquée de caractères plus petits indiquant « Été de l'année Bing Wu (1906) du règne de Guangxu », à droite, et « Écrits par Chen Zhaochang », à gauche. Chen (1867–1914) fut nommé par le gouvernement chinois directeur général du Bureau général des chemins de fer et du Bureau du génie ferroviaire. Le service de télégraphie est visible à l'intérieur de la gare, comme le signale un écriteau (écrit en chinois et en anglais). Ce cliché est extrait de l'album Jing-Zhang lu gong cuo ying (Photographies de la construction de la ligne de chemin de fer de Jing–Zhang), qui fut publié en 1909 pour marquer l'ouverture de la ligne de chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou (auparavant appelée la ligne de chemin de fer impériale de Pékin–Kalgan), première voie ferrée de Chine conçue, construite et financée par les Chinois, sans participation étrangère. Les photographies de l'album furent prises entre 1905 et 1909 par l'atelier de photographie Tongsheng de Shanghai. La construction de la voie ferrée se déroula en trois phases : la première ligne, de Fengtai à Nankou, fut achevée en septembre 1906. La seconde, de Nankou à Kangzhuang, fut terminée en septembre 1908. La troisième partie du chemin de fer, de Kangzhuang à Zhangjiakou, fut achevée en septembre 1909. Au total, la ligne, entre Fengtai, à Pékin, et Zhangjiakou, s'étendait sur environ 200 kilomètres. L'album en deux volumes inclut des clichés pris le long de la voie ferrée, montrant notamment ses principales sections, les gares, des bâtiments d'usine, des locomotives, des ponts, des tunnels et des caniveaux, ainsi que des scènes d'ouvriers au travail pendant la construction et de festivités célébrant l'ouverture de la ligne. Les vues et endroits pittoresques à différents arrêts de la ligne sont très nets, fournissant un aperçu complet et systématique du chemin de fer de Pékin–Zhangjiakou à cette époque. L'ouvrage présenté ici est le premier volume.
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