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Coran

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Coran
La caractéristique majeure de ce coran richement décoré de 1714, à la fin de la période safavide, est son organisation remarquable. L'ensemble du texte, comprimé sur seulement 33 feuillets de 48 lignes par page, est écrit en caractères naskhi à la fois très petits et clairs. Chaque page contient une hizb (petite partie, soit la moitié d'une juz') et chaque double page une juz' (partie) du Coran. La double page d'ouverture, somptueusement enluminée, est principalement composée de deux rectangles verticaux, contenant plusieurs bordures et panneaux décoratifs. Les cartouches de nuages dorés dans les marges confèrent à ce coran un caractère chiite. Les cartouches, écrits en persan en caractères shekaste fins, contiennent des récits de la vie de Mahomet et des commentaires coraniques du 6e imam, Ja'far al–Sâdiq (mort en 765). La reliure en laque très bien conservée mérite une attention particulière. Au centre, elle est embellie d'un ornement en forme de losange entouré de bordures décorées avec raffinement. Le cadre extérieur arbore des motifs floraux naturalistes, tandis que le panneau principal est rempli de vrilles et de fleurs stylisées.

Psautier

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Psautier
Généralement, les psautiers manuscrits débutent par un calendrier et se concluent par les cantiques, les litanies et l'office des défunts. C'est le cas de celui présenté ici, qui fut probablement produit dans la région de Magdebourg. Le premier feuillet du calendrier, la page du mois de janvier, est manquante. Les activités mensuelles des mois du printemps sont illustrées de rares remèdes médicaux, notamment une saignée en février, un traitement thermal en mars, un traitement de plaies en avril, une cure de boisson en mai, etc. Les pages du calendrier, présentées sous forme de diptyque, incluent des tympans contenant les signes du zodiaque en haut à gauche et les activités mensuelles en haut à droite. Au–dessous, le texte du calendrier apparaît dans la colonne de gauche et les douze apôtres dans celle de droite. Le psautier proprement dit commence par la lettrine « B », de la taille d'une page, pour Beatus vir (Heureux l'homme qui...). Dans la boucle inférieure du « B », le roi David est dessiné avec une harpe, tandis que la boucle supérieure contient le Christ représenté en Homme de douleurs. Un texte ornemental, le début du premier psaume en majuscules dorées, figure sur la page opposée. D'autres lettrines historiées, de neuf ou dix lignes de hauteur, apparaissent dans chacune des divisions des dixièmes du psautier. Les illustrations qu'elles contiennent viennent compléter les miniatures pleine page sur la page en regard, toutes deux constituant un cycle de la vie de Jésus. La seconde des miniatures, au psaume 38, illustre la Présentation de Jésus au Temple, tandis que la lettrine opposée montre le baptême de Jésus. Le cycle couvre la flagellation, la Crucifixion, la Résurrection, l'Ascension et la Pentecôte, jusqu'au Maiestas Domini (Christ en majesté) dans le psaume 109, suivi d'une lettrine avec le couronnement de la Vierge Marie. Les litanies sont décorées de miniatures de saints. Selon une note de Johann Friedrich Hekel sur le premier feuillet, le manuscrit provenait à l'origine de la Bibliothèque palatine à Heidelberg. Hekel lui–même, qui mourut en 1700, l'avait acquis auprès d'un rabbin à Francfort. Le psautier aurait donc été perdu avant le transfert de la bibliothèque de Heidelberg à Rome en 1622. La date et les circonstances de l'arrivée du codex à la bibliothèque de la cour de Munich, actuelle Bibliothèque d'État de Bavière, demeurent inconnues.

Chronique universelle

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Chronique universelle
Dans sa version d'origine, la Weltchronik (Chronique universelle) de Jans Enikel (1230–1290) n'existe aujourd'hui que dans quelques manuscrits, dont la plupart renferme un texte altéré où la Chronique d'Enikel contient des interpolations d'autres chroniques du monde de l'époque. Dans le manuscrit présenté ici, de nombreux extraits provenant de la Christherre–Chronik (Chronique Christherre) ont été intercalés dans le texte abrégé de l'ouvrage d'Enikel. Cette chronique métrique, écrite en deux colonnes sur 287 feuillets, est incomplète. Plusieurs feuillets au début et à la fin du codex ont été perdus. Elle appartenait au monastère franciscain de Munich jusqu'à sa dissolution en 1803. La Chronique est illustrée de dessins colorés réalisés à la plume, souvent dans un cadre avec un arrière–plan rectangulaire de couleur neutre, en général directement sur du parchemin. Deux mains exécutèrent le manuscrit. Les images produites par le deuxième artiste (à partir du recto du feuillet 22) dépassent leur cadre et s'étendent maintes fois jusqu'aux bords des feuillets. Peintes en couleurs vives, elles se caractérisent par leur grand éclat, malgré une exécution quelque peu rudimentaire. Elles ne possèdent pas de lien direct avec les cycles austro–bavarois précédents des chroniques du monde. Sur le plan stylistique également, ces peintures représentent une nouvelle phase de la tradition, en raison de leur association avec le style international du début du XVe siècle. Après une brève interruption, l'enluminure du manuscrit semble avoir repris en 1420, lorsque le texte avait déjà été copié et les premières illustrations exécutées.

Livre ottoman de papiers découpés : livre de prières pour les sept jours de la semaine

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Livre ottoman de papiers découpés : livre de prières pour les sept jours de la semaine
L'art du papier découpé islamique naquit à Hérat durant la période timouride au XVe siècle. Il atteignit Istanbul via Tabriz dès le début du XVIe siècle. Une fois établi dans l'art du livre ottoman, il fut apprécié jusqu'à la fin du XIXe siècle. Des couteaux pointus spéciaux avec des lames courbées vers le bas étaient utilisés pour le découpage du papier. Le livret présenté ici, composé de seulement huit feuilles, contient sept prières de louange en arabe pour la tasbih (glorification de Dieu), une pour chaque jour de la semaine. Les prières et les décorations (fleurs, arbustes, cyprès et rinceaux), découpées dans un papier oriental blanc et fin, sont entourées d'un cadre de papier jaunâtre provenant d'Italie ou d'Espagne. Une note attribue le livret à Fahri Dede de Bursa (mort après 1600), un des maîtres les plus célèbres de cet art. Le manuscrit se conclut par un poème en turc.

Codex en notation mensuraliste de Saint–Emmeram

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Codex en notation mensuraliste de Saint–Emmeram
Le codex en notation mensuraliste du monastère bénédictin de Saint–Emmeram, à Ratisbonne, est l'une des sources les plus importantes, voire la principale référence, sur la tradition de la polyphonie internationale en Europe centrale, datant de la fin du Moyen Âge. Il montre d'une façon particulière comment le style international en Europe centrale « arriérée » fut progressivement accepté. Le codex, sous la cote Clm 14274 dans la Bibliothèque d'État de Bavière, est un manuscrit en papier contenant, sur 160 feuillets, quelque 280 compositions monophoniques et polyphoniques, ainsi qu'un index. Il aurait été créé de 1435 à 1443. La majeure partie de l'ouvrage fut écrite par Hermann Pötzlinger, maître d'école et collectionneur de livres. Pötzlinger légua sa bibliothèque à l'institution religieuse de Saint–Emmeram, à Ratisbonne, où il enseigna. Au cours du processus de sécularisation, en 1812, ses livres furent transmis avec la bibliothèque du monastère de Saint–Emmeram à la Königlich Baierische Hof– und Zentralbibliothek, actuelle Bibliothèque d'État de Bavière. Le codex en notation mensuraliste de Saint–Emmeram est également la principale source de très grandes parties de l'œuvre de Guillaume Dufay, influence majeure sur le développement de la voix musicale de l'Europe, du Moyen Âge à la Renaissance. La collection de la bibliothèque de Saint–Emmeram inclut également des ouvrages de Gilles Binchois et de John Dunstable, ainsi que de compositeurs moins connus comme Hermann Edlerauer et Urbanus Kungsperger.

Khamsah–i Niẓāmī

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Khamsah–i Niẓāmī
Le poète persan Nizami Gandjavi (1140–1202 environ) passa sa vie à Gandja, en actuel Azerbaïdjan. Après sa mort, ses principales œuvres furent compilées pour former le Khamseh (quintette, ou pentalogie). Ce recueil comporte notamment les célèbres histoires d'amour de Khosro et Shirin, et de Majnoun et Leila. Il inclut également l'épopée populaire érotique et romantique de Nizami Haft Paykar (Sept trônes). Cette dernière raconte, dans un style captivant et fortement suggestif, la vie du souverain légendaire sassanide Bahram Gour (Bahram V, règne : 420–438), qui épousa sept princesses originaires de sept pays. Il fit construire pour chacune d'entre elles un palais, avec une coupole, qu'il décora de motifs colorés spécifiques représentant différentes planètes. Chaque jour de la semaine, Bahram Gour reçut une épouse différente qui le divertit dans le palais bâti pour elle. Par exemple, il passait le mardi avec sa princesse russe dans le palais rouge de Mars et, le mercredi, avec sa princesse chorasmienne dans le palais turquoise de Mercure. Cette copie manuscrite incomplète du Khamseh contient 18 miniatures, dont sept sont consacrées à l'histoire de Bahram Gour. Peintes et placées selon la tradition de l'école de Chiraz de la deuxième moitié du XVIe siècle, elles possèdent les couleurs intenses et les personnages très fins typiques de cette période. Dans la miniature d'une scène du palais turquoise (verso du feuillet 207), les visages des personnages sont remarquablement plaisants. La scène du jardin, où un jeune homme abaisse une branche fleurie, tandis qu'un deuxième le regarde l'air impatient, est particulièrement charmante. Le manuscrit arriva à Munich dans le cadre d'une restitution française après le Congrès de Vienne en 1815.

Rouleau de protection

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Rouleau de protection
Ce petit rouleau, produit en Iran au XVIIIe ou au XIXe siècle, est écrit sur un parchemin presque transparent fait à partir de peau de gazelle. Il s'agit d'un rouleau hijab, dans le sens où il voile sa signification et offre protection contre le mal grâce à un texte sacré. Il est divisé en 14 panneaux, encadrés de bordures dorées et vertes, qui contiennent les prières, les invocations à Dieu et les versets coraniques dans une calligraphie arabe soignée. La dernière prière, la plus longue, souligne le caractère mystique de l'ilm al–adad (numérologie). Les panneaux de prière sont bordés d'un texte écrit alternativement à l'encre rouge et bleue. Le parchemin contient des prières implorant Dieu d'écarter le mal, les calamités, les maladies, les souffrances, la ruine et les inondations, et de repousser les diables, les esprits malveillants et les démons porte–malheur. Les prières demandent également la protection contre le mauvais œil, qui joue un rôle très important dans la religion populaire islamique. Le rouleau est conservé dans un boîtier cylindrique, auquel une chaîne est attachée. Dans la culture islamique, ces rouleaux sont notamment portés par les enfants, qui doivent être préservés de tous les malheurs.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 13, 20 septembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 13, 20 septembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 12, 10 septembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 12, 10 septembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 10, 20 août 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 10, 20 août 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 9, 10 août 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 9, 10 août 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 8, 30 juillet 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 8, 30 juillet 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 6, 10 juillet 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 6, 10 juillet 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 4, 20 juin 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 4, 20 juin 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 2, 1er juin 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 2, 1er juin 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 21, 25 décembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 21, 25 décembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 19, 30 novembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 19, 30 novembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 18, 20 novembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 18, 20 novembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 17, 10 novembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 17, 10 novembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.

La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 16, 1er novembre 1915

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La Chéchia. Journal boyautant du 1er Zouaves. Numéro 16, 1er novembre 1915
La Chéchia est le journal de tranchées publié par le 1er Régiment de zouaves de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Produit par et pour les soldats, ce type de journal était connu, entre autres, pour son humour noir, ses descriptions de la vie sur les lignes de front, ses poèmes et ses dessins. Les zouaves constituaient une unité militaire d'élite initialement formée en Algérie en 1830. La chéchia, qui donne son nom au journal, désigne le couvre–chef de forme cylindrique distinct d'origine arabe porté par les soldats de cette unité. Au total, 73 numéros de La Chéchia parurent entre mai 1915 et octobre 1918, période au cours de laquelle le 1er Régiment de zouaves participa aux combats intenses de bon nombre des batailles du front de l'Ouest en Belgique et en France. Chaque numéro était illustré et comptait généralement quatre pages. Tiré entre 800 et 1000 exemplaires, le journal était produit sur un cyclostyle, ancien appareil permettant de dupliquer un texte écrit. Le 1er Régiment de zouaves devint également fameux pour ses représentations théâtrales sur le front, dont les scripts étaient surtout publiés dans La Chéchia. Les soixante–et–onze numéros du journal présentés ici, commençant au numéro 2 du 1er juin 1915, sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. La collection inclut une note écrite du lieutenant–colonel Rolland, commandant du régiment, datée du 12 avril 1916, qui accompagna un paquet renfermant des numéros du journal, destiné à une personne non identifiée. Dans sa note, Rolland déclare : « J'y joins aussi un numéro de la revue Au clair de la lune, œuvre de mes poilus qui fut jouée en sortant des tranchées, et je vous enverrai à l'avenir les quelques productions plus ou moins littéraires que nous pouvons avoir ». La collection comporte également le menu, daté du 18 octobre 1915, d'un dîner organisé pour les auteurs et les interprètes de la revue Au clair de la lune.
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