January 10, 2018, 8:30 am
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25
e batterie du 3
e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3
e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».
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e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3
e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».
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e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».
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e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».
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La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25
e batterie du 3
e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3
e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».
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