Quantcast
Channel: Bibliothèque numérique mondiale
Viewing all 6177 articles
Browse latest View live

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 2

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 2
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Il s'agit ici du second numéro, qui souligne l'objectif déclaré du magazine en remerciant ses lecteurs pour leur enthousiasme dès la première parution. Les éditeurs mettent l'accent sur « l'usage pratique » du magazine et le dédient aux femmes des classes moyenne et supérieure, « des dames aristocratiques vivant dans les grandes cités jusqu'aux bourgeoises des villes de province ». Emma Gramatica (1872–1965 env.), comédienne de théâtre encensée, est photographiée sur la couverture.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 1

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 1
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Il s'agit ici du premier numéro, annoncé comme « la première revue italienne offrant à ses lecteurs les dernières créations des grandes maisons de couture de la rue de la Paix » à Paris.

Notes sur la topographie des lieux notables visités par Sa Majesté impériale dans les vice-gérances biélorusses

$
0
0
Notes sur la topographie des lieux notables visités par Sa Majesté impériale dans les vice-gérances biélorusses
Ce livre, publié à Saint-Pétersbourg en 1780 par l'Académie impériale des sciences de Russie, aborde l'histoire et les conditions locales des territoires biélorusses orientaux que l'impératrice Catherine (la Grande) visita au mois de mai de cette même année. L'ouvrage contient des informations détaillées sur les localités des régions de Polotsk et de Moguilev (namestnichestva), notamment sur la population, et il inclut des descriptions des châteaux, des palais, des églises et des monastères. Les descriptions des sites de la Biélorussie commencent à la page 38. Le livre comporte également des informations sur les villes le long de la route entre Saint-Pétersbourg et la Biélorussie, tels que Krasnoïe Selo, Yambourg, Narva et Pskov. La Russie s'empara du contrôle des territoires biélorusses à l'est de la Dvina et du Dnieper après la première partition de la Pologne. En vertu d'un accord diplomatique conclu par la Russie, l'Autriche et la Prusse en février 1772, les régions est de l'actuelle Biélorussie furent transférées de la République des Deux Nations à la Russie. Le voyage de Catherine en 1780 avait pour but de topographier ses nouvelles terres et de rencontrer l'empereur du Saint Empire romain Joseph II à Moguilev.

Les rayons célestes

$
0
0
Les rayons célestes
Yazep Drozdovitch (1888–1954), personnage aux multiples facettes de l'histoire de la culture biélorusse, travailla dans différents domaines artistiques, notamment la peinture, la sculpture, l'ethnographie, l'archéologie et l'enseignement. Un des fondateurs de l'école de peinture historique nationale, il fut considéré comme un Léonard de Vinci et un Tsiolkovski (d'après le scientifique russe et soviétique, pionnier de l'astronautique) biélorusses. Son désir passionné de percer les secrets du ciel nocturne le conduisit à formuler sa propre théorie sur l'origine des planètes au sein du système solaire. Drozdovitch était déjà connu en tant qu'artiste, mais, poussé par son intérêt pour l'astronomie, il écrivit et illustra son ouvrage populaire sur le sujet intitulé Les rayons célestes, qui parut en 1931. Dans ce livre, il examine les questions concernant la rotation de la Terre et démontre la perfection des anneaux de Saturne dans leur relation les uns par rapport aux autres. Plus tard au cours de sa vie, il réalisa plusieurs dessins et tableaux avec des titres tels que La vie sur Mars et La vie sur la Lune, exprimant ses fantasmes de vie extraterrestre. Ses théories ne furent pas admises par la communauté scientifique.

Еx-libris par A. Tychina

$
0
0
Еx-libris par A. Tychina
Anatoly Tychina (1897–1986), un des principaux graphistes de Biélorussie au XXe, joua un rôle essentiel dans le développement de l'art national biélorusse. Il travailla dans les domaines des arts graphiques tels que la conception de livres, les dessins sur chevalet, la conception de journaux et de revues, et les ex-libris. Ses œuvres se distinguent par des formes réalistes expressives, des contrastes de couleurs et de volumes, et un caractère national unique. La conception d'ex-libris se développa en Biélorussie dans les années 1920. Avec l'aide de la Société biélorusse des bibliophiles, une petite édition de 200 copies d'Еx-libris par A. Tychina fut publiée en 1928. Le livre contient 16 ex-libris de taille réelle produits par Tychina. Une introduction d'Alexander Shliubsky, historien, ethnographe et folkloriste biélorusse, précède les illustrations.

Carte de la Pologne : avec les contours de ses provinces et de ses voïvodies, 1772

$
0
0
Carte de la Pologne : avec les contours de ses provinces et de ses voïvodies, 1772
Du fait que le territoire de l'actuelle Biélorussie faisait partie du grand-duché de Lituanie et de la République des Deux Nations et, depuis la fin du XVIIIe siècle, de l'Empire russe, l'histoire de la cartographie des terres biélorusses fut étroitement liée au développement de la topographie en Europe occidentale et en Russie. Józef Aleksander Jabłonowski, fervent collectionneur d'ouvrages cartographiques, fut gouverneur de la ville de Navahroudak (aujourd'hui en Biélorussie). Sous sa supervision et grâce à son soutien financier, le cartographe italien Giovanni Antonio Rizzi-Zannoni réalisa la célèbre Carte de la Pologne : divisée par provinces et palatinats et subdivisée par districts, construite d'après quantité d'arpentages d'observations, et de mesures prises sur les lieuxà l'aide des documents de la collection de Jabłonowski. La carte fut publiée à Paris sous forme d'atlas en 1772. Il s'agit de la première carte détaillée à grande échelle de la Pologne avant les partitions de 1772, 1793 et 1795. Elle montre également les territoires des actuelles Pologne, Lituanie, Biélorussie et régions de l'ouest de la Russie. Les cartes furent gravées et enluminées à la main. Cet atlas est l'unique qui date de cette période montrant les terres biélorusses en détail et dessinées à l'échelle.

Éleveurs de bétail colombiens marquant les bovins en leur entaillant les oreilles, province de Casanare

$
0
0
Éleveurs de bétail colombiens marquant les bovins en leur entaillant les oreilles, province de Casanare
Cette aquarelle de Manuel María Paz (1820–1902) représente des bouviers marquant des veaux selon une méthode communément utilisée à l'époque. Cette scène fut réalisée dans la province de Casanare (aujourd'hui le département de Casanare), qui est située dans Los Llanos (les plaines), région est de la Colombie caractérisée par ses vastes prairies traversées par le fleuve Orénoque et ses affluents. Paz naquit à Almaguer, dans la province de Cauca. Jeune, il entra dans l'armée colombienne, et se distingua par son talent exceptionnel de cartographe et de peintre. En 1853, il remplaça Henry Price (1819–1863) au poste de dessinateur de la Comisión Corográfica (Commission chorographique). Cette commission, qui débuta ses travaux en 1850, fut chargée d'étudier la géographie, la cartographie, les ressources naturelles, l'histoire naturelle, la culture régionale et l'agriculture de la République de la Nouvelle-Grenade (la Colombie et le Panama actuels). Paz travailla sous la direction de l'Italien Agustín Codazzi (1793–1859), ingénieur et géographe téméraire qui combattit aux côtés de Simón Bolívar. En 1853, lorsque la Comisión Corográfica entreprit sa quatrième mission, dans les provinces de Chocó, Buenaventura, Barbacoas, Túquerres, Pasto, Popayá et Cauca, Paz accepta de participer à l'expédition à titre officieux. Il fut par la suite engagé de façon permanente, et sa collaboration avec la commission fut beaucoup plus durable que ses prédécesseurs Price et Carmelo Fernández (1809–1887). Dans sa correspondance pendant ces années, Codazzi exprima à plusieurs reprises sa préoccupation quant à la nécessité pour la commission de trouver un dessinateur permanent capable d'endurer la rudesse des voyages dans les régions lointaines et inexplorées de la Nouvelle-Grenade. En 1859, à la mort de Codazzi, Paz et d'autres collaborateurs assumèrent la tâche de réviser, terminer et publier le travail accompli par la Comisión Corográfica depuis 1850. Dessinateur, Paz réalisa des aquarelles et des estampes fidèles, s'attachant à représenter les sites et les habitants de Colombie dans un style naturaliste et objectif. Ces images sont des documents précieux pour l'histoire et la culture de la Colombie. Elles fournissent également des informations concernant la composition des cartes, une des principales vocations de la Comisión Corográfica. Plus de 90 peintures de Paz sont aujourd'hui conservées à la Bibliothèque nationale de Colombie.

Vue de la Sierra Nevada del Cocuy, de Chita ou de Güicán, depuis Moreno, province de Casanare

$
0
0
Vue de la Sierra Nevada del Cocuy, de Chita ou de Güicán, depuis Moreno, province de Casanare
Cette aquarelle de Manuel María Paz (1820–1902) représente la Sierra Nevada del Cocuy(également appelée Sierra Nevada de Chita ou Sierra Nevada de Güicán), vue depuis la ville de Moreno, dans la province de Casanare (aujourd'hui le département de Casanare), en Colombie. À plus de 5 000 mètres d'altitude, ces sommets forment la région la plus élevée de la cordillère Orientale, la plus longue et la plus large des trois chaînes de la cordillère des Andes. Paz naquit à Almaguer, dans la province de Cauca. Jeune, il entra dans l'armée colombienne, et se distingua par son talent exceptionnel de cartographe et de peintre. En 1853, il remplaça Henry Price (1819–1863) au poste de dessinateur de la Comisión Corográfica (Commission chorographique). Cette commission, qui débuta ses travaux en 1850, fut chargée d'étudier la géographie, la cartographie, les ressources naturelles, l'histoire naturelle, la culture régionale et l'agriculture de la République de la Nouvelle-Grenade (la Colombie et le Panama actuels). Paz travailla sous la direction de l'Italien Agustín Codazzi (1793–1859), ingénieur et géographe téméraire qui combattit aux côtés de Simón Bolívar. En 1853, lorsque la Comisión Corográfica entreprit sa quatrième mission, dans les provinces de Chocó, Buenaventura, Barbacoas, Túquerres, Pasto, Popayá et Cauca, Paz accepta de participer à l'expédition à titre officieux. Il fut par la suite engagé de façon permanente, et sa collaboration avec la commission fut beaucoup plus durable que ses prédécesseurs Price et Carmelo Fernández (1809–1887). Dans sa correspondance pendant ces années, Codazzi exprima à plusieurs reprises sa préoccupation quant à la nécessité pour la commission de trouver un dessinateur permanent capable d'endurer la rudesse des voyages dans les régions lointaines et inexplorées de la Nouvelle-Grenade. En 1859, à la mort de Codazzi, Paz et d'autres collaborateurs assumèrent la tâche de réviser, terminer et publier le travail accompli par la Comisión Corográfica depuis 1850. Dessinateur, Paz réalisa des aquarelles et des estampes fidèles, s'attachant à représenter les sites et les habitants de Colombie dans un style naturaliste et objectif. Ces images sont des documents précieux pour l'histoire et la culture de la Colombie. Elles fournissent également des informations concernant la composition des cartes, une des principales vocations de la Comisión Corográfica. Plus de 90 peintures de Paz sont aujourd'hui conservées à la Bibliothèque nationale de Colombie.

Amérindiens guahibos, province de Casanare

$
0
0
Amérindiens guahibos, province de Casanare
Cette aquarelle de Manuel María Paz (1820–1902) représente des Amérindiens guahibos dans la province de Casanare (aujourd'hui le département de Casanare), en Colombie. Les Guahibos peuplaient autrefois en grand nombre les régions est de la Colombie, appelées Los Llanos (les plaines), dont Casanare fait partie. Bien que leur population soit aujourd'hui réduite, les Guahibos constituent encore un des groupes ethniques autochtones majeurs de Colombie. Paz naquit à Almaguer, dans la province de Cauca. Jeune, il entra dans l'armée colombienne, et se distingua par son talent exceptionnel de cartographe et de peintre. En 1853, il remplaça Henry Price (1819–1863) au poste de dessinateur de la Comisión Corográfica (Commission chorographique). Cette commission, qui débuta ses travaux en 1850, fut chargée d'étudier la géographie, la cartographie, les ressources naturelles, l'histoire naturelle, la culture régionale et l'agriculture de la République de la Nouvelle-Grenade (la Colombie et le Panama actuels). Paz travailla sous la direction de l'Italien Agustín Codazzi (1793–1859), ingénieur et géographe téméraire qui combattit aux côtés de Simón Bolívar. En 1853, lorsque la Comisión Corográfica entreprit sa quatrième mission, dans les provinces de Chocó, Buenaventura, Barbacoas, Túquerres, Pasto, Popayá et Cauca, Paz accepta de participer à l'expédition à titre officieux. Il fut par la suite engagé de façon permanente, et sa collaboration avec la commission fut beaucoup plus durable que ses prédécesseurs Price et Carmelo Fernández (1809–1887). Dans sa correspondance pendant ces années, Codazzi exprima à plusieurs reprises sa préoccupation quant à la nécessité pour la commission de trouver un dessinateur permanent capable d'endurer la rudesse des voyages dans les régions lointaines et inexplorées de la Nouvelle-Grenade. En 1859, à la mort de Codazzi, Paz et d'autres collaborateurs assumèrent la tâche de réviser, terminer et publier le travail accompli par la Comisión Corográfica depuis 1850. Dessinateur, Paz réalisa des aquarelles et des estampes fidèles, s'attachant à représenter les sites et les habitants de Colombie dans un style naturaliste et objectif. Ces images sont des documents précieux pour l'histoire et la culture de la Colombie. Elles fournissent également des informations concernant la composition des cartes, une des principales vocations de la Comisión Corográfica. Plus de 90 peintures de Paz sont aujourd'hui conservées à la Bibliothèque nationale de Colombie.

Amérindiennes sálivas préparant du pain de manioc, province de Casanare

$
0
0
Amérindiennes sálivas préparant du pain de manioc, province de Casanare
Cette aquarelle de Manuel María Paz (1820–1902) représente, dans le style caractéristique de Paz, des femmes sálivas dans la province de Casanare (aujourd'hui le département de Casanare), en Colombie, préparant du pain à partir de racines de manioc. Pour Paz, les traits des individus qu'il peignait étaient souvent moins importants que les spécificités d'un groupe ethnique ou social. Paz naquit à Almaguer, dans la province de Cauca. Jeune, il entra dans l'armée colombienne, et se distingua par son talent exceptionnel de cartographe et de peintre. En 1853, il remplaça Henry Price (1819–1863) au poste de dessinateur de la Comisión Corográfica (Commission chorographique). Cette commission, qui débuta ses travaux en 1850, fut chargée d'étudier la géographie, la cartographie, les ressources naturelles, l'histoire naturelle, la culture régionale et l'agriculture de la République de la Nouvelle-Grenade (la Colombie et le Panama actuels). Paz travailla sous la direction de l'Italien Agustín Codazzi (1793–1859), ingénieur et géographe téméraire qui combattit aux côtés de Simón Bolívar. En 1853, lorsque la Comisión Corográfica entreprit sa quatrième mission, dans les provinces de Chocó, Buenaventura, Barbacoas, Túquerres, Pasto, Popayá et Cauca, Paz accepta de participer à l'expédition à titre officieux. Il fut par la suite engagé de façon permanente, et sa collaboration avec la commission fut beaucoup plus durable que ses prédécesseurs Price et Carmelo Fernández (1809–1887). Dans sa correspondance pendant ces années, Codazzi exprima à plusieurs reprises sa préoccupation quant à la nécessité pour la commission de trouver un dessinateur permanent capable d'endurer la rudesse des voyages dans les régions lointaines et inexplorées de la Nouvelle-Grenade. En 1859, à la mort de Codazzi, Paz et d'autres collaborateurs assumèrent la tâche de réviser, terminer et publier le travail accompli par la Comisión Corográfica depuis 1850. Dessinateur, Paz réalisa des aquarelles et des estampes fidèles, s'attachant à représenter les sites et les habitants de Colombie dans un style naturaliste et objectif. Ces images sont des documents précieux pour l'histoire et la culture de la Colombie. Elles fournissent également des informations concernant la composition des cartes, une des principales vocations de la Comisión Corográfica. Plus de 90 peintures de Paz sont aujourd'hui conservées à la Bibliothèque nationale de Colombie.

Poterie amérindienne de Medellín

$
0
0
Poterie amérindienne de Medellín
Dans ses aquarelles et dessins, Henry Price (1819–1863) représentait souvent des objets façonnés que le peuple autochtone de Colombie utilisait au quotidien. Il s'agit ici d'une poterie amérindienne de la province de Medellín. Peintre et musicien britannique, Price fut l'un des premiers dessinateurs de la Comisión Corográfica (Commission chorographique), corps chargé d'étudier la géographie, les ressources naturelles, l'histoire naturelle, la culture régionale et l'agriculture de la République de la Nouvelle-Grenade (la Colombie et le Panama actuels). Il naquit à Londres, mais il s'installa avec sa famille à New York alors qu'il était adolescent. En 1843, il épousa Eliza Castello Brandon, fille de David Castello Montefiori (1790–1882). Price et Castello se rencontrèrent vraisemblablement à New York, où Castello, également originaire de Londres, avait transféré son affaire depuis Kingston, en Jamaïque. Henry et Eliza Price s'établirent à Bogotá, où il fut initialement le comptable de Castello. Grâce à la fondation de la Sociedad Filarmónica, institution influente dans les milieux de Bogotá, il développa d'importantes relations qui lui permirent d'obtenir un poste d'enseignant au Colegio del Espíritu Santo. C'est là qu'il rencontra quelques-uns des futurs membres de la Comisión Corográfica, notamment le peintre vénézuélien Carmelo Fernández (1809–1887), le botaniste José Jerónimo Triana (1828–1890), et l'avocat et homme d'État Santiago Pérez Manosalbas (1830–1900). Price fut engagé pour la troisième expédition, en 1852, dans les provinces de Mariquita, Medellín, Córdova, Antioquia et Cauca, sous la direction d'Agustín Codazzi (1793–1859). Bon nombre des dessins et des aquarelles que Price produisit entre 1852 et 1855 représentent les paysages, le peuple et ses coutumes, et les objets façonnés de Colombie. Ces œuvres sont aujourd'hui conservées à la Bibliothèque nationale de Colombie (Colección Comisión Corográfica).

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 10

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 10
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». La controverse autour de la jupe-culotte, qui causa un vif émoi à cette époque en Europe, est à nouveau abordée, mais cette fois dans un contexte littéraire et historique. Le magazine mentionne notamment un article paru dans Literary Times sur Catalina de Erauso (1592–1650 env.), également appelée la monja Alférez (la nonne lieutenant), qui, alors qu'elle était une jeune femme, s'enfuit d'un couvent basque, parvint à s'enrôler dans l'armée espagnole déguisée en homme, puis combattit au Pérou et au Chili.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 9

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 9
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». La couverture de ce numéro présente une élégante robe d'intérieur. Le magazine poursuit le débat lancé dans une parution précédente sur le port du pantalon par les femmes. La note de l'éditeur rappelant aux abonnés de s'acquitter de leur dû et se plaignant des paiements en retard est particulièrement intéressante. Elle témoigne des difficultés financières que le magazine commençait à rencontrer et qui allaient entraîner sa faillite.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 8

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 8
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Il s'agit ici du huitième numéro d'Eleganze femminili. Il présente un nouvel habit, le pantalon, et en fait la critique. Comme la jupe-culotte, autre dernier-né de la mode, le pantalon n'était pas considéré suffisamment féminin, et son apparition causa la vive désapprobation tant des hommes que des femmes.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 7

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 7
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Le septième numéro présenté ici, publié au début du mois d'avril, accueille avec enthousiasme la nouvelle saison et ses tenues plus légères annonçant le printemps et la régénération naturelle. Ce numéro contient de nombreux articles sur la jupe-culotte, nouvelle tendance choquante pour beaucoup à cette époque.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 6

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 6
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Elle constitue une source précieuse d'informations sur les tendances des vêtements, des tissus et des styles au début du XXe siècle, et sur la nomenclature spécialisée utilisée dans le monde de la mode à cette époque. Gemma Farina, actrice d'une grande renommée en Russie, en Égypte, en Espagne et en Italie, illustre la couverture du sixième numéro d'Eleganze femminili présenté ici.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 5

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 5
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Les premières pages du cinquième numéro d'Eleganze femminili présenté ici prônent vivement la mode s'inspirant de l'élégance classique de la Grèce antique ou de la beauté sculpturale de Rome. Cet appel survint en réponse à l'apparition de nouvelles modes considérées par beaucoup comme scandaleuses, telles que la jupe-culotte. La robe sur la couverture fut créée par Grassi de Rome.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 4

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 4
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Le quatrième numéro, publié en février 1911, est consacré au thème du carnaval (fête italienne précédant le mercredi des Cendres et le début du carême).

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 3

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 3
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Le troisième numéro fait l'éloge de Rome et de ses habitantes. Il déclare que ces dernières embellissent la ville en embrassant la nouveauté, le progrès et les dernières tendances de la mode, condition « sine qua non du modernisme ». Sur la couverture, le mannequin porte une création de la maison de haute couture Amiconi.

Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 2

$
0
0
Élégance féminine : revue de mode bimensuelle, n° 2
Le magazine de mode italien Eleganze femminili: rivista quindicinale di mode (Élégance féminine : revue de mode bimensuelle) fut publié de janvier à mai 1911, et vendu par abonnement en Italie et à l'étranger. Non seulement Eleganze femminili présentait les nouveautés des grands couturiers de Paris, de Londres et de Vienne, mais il relatait également les événements mondains de la haute société, et incluait des articles sur l'étiquette, les intérêts de la gent féminine, l'art et l'histoire de la mode au fil des siècles. Permettant aux lecteurs d'obtenir les patrons en mousseline ou en papier des modèles présentés, cette revue se voulait « un magazine de mode pratique grâce auquel chacun pouvait confectionner ses propres vêtements ». Il s'agit ici du second numéro, qui souligne l'objectif déclaré du magazine en remerciant ses lecteurs pour leur enthousiasme dès la première parution. Les éditeurs mettent l'accent sur « l'usage pratique » du magazine et le dédient aux femmes des classes moyenne et supérieure, « des dames aristocratiques vivant dans les grandes cités jusqu'aux bourgeoises des villes de province ». Emma Gramatica (1872–1965 env.), comédienne de théâtre encensée, est photographiée sur la couverture.
Viewing all 6177 articles
Browse latest View live




Latest Images