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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Niche de prière (mihrab) à l'intérieur de la mosquée

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Niche de prière (mihrab) à l'intérieur de la mosquée
Cette photographie du sanctuaire de Khodzha Akhrar, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Dédié à la mémoire de Khodzha Akhrar (1403-1489), éminent mystique du XVe siècle, le sanctuaire contenait plusieurs structures, y compris des mosquées d'hiver et d'été, un minaret et un cimetière. La vue présentée ici montre la niche, ou mihrab (indiquant la direction de La Mecque), de la mosquée d'été, appelée ainsi car l'un des côtés de son pavillon est ouvert sur la cour. Le mihrab est entouré d'un étalage somptueux de céramiques polychromes, incluant des mosaïques de faïence. La couleur dominante est le bleu foncé, avec des détails en jaune, orange et blanc. Cet espace sacré est défini par un ensemble de bandes d'inscription en céramique, d'une écriture cursive perso-arabe avec des caractères allongés (thoulouth). Une inscription s'étend jusqu'au sommet du mur et le long du bord extérieur encadrant l'arceau pointu. Ce dernier oriente le regard vers un panneau de faïence orné de motifs à fleurs, au-dessus duquel un carré d'inscription contient un carré plus petit où un texte sacré est écrit en arabe. Les panneaux de lambris sont bordés de bandes à motifs.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Partie supérieure. Inscription sur la pierre tombale de Khodzha Akhrar

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Partie supérieure. Inscription sur la pierre tombale de Khodzha Akhrar
Cette photographie de l'intérieur du sanctuaire de Khodzha Akhrar, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Cette vue présente la pierre tombale de Khodzha Akhrar (1403-1489), éminent mystique du XVe siècle. Ascète et soufi, Khodzha Akhrar exerça une grande influence spirituelle en Asie centrale au cours des dernières décennies de la dynastie timouride. Il aurait établi des mosquées non seulement à Samarcande, mais également à Boukhara, Hérât et Kaboul. L'ensemble de Khodzha Akhrar à Samarcande contenait plusieurs structures, y compris des mosquées d'hiver et d'été, et un cimetière. Située à l'intérieur de la mosquée, cette pierre tombale est encadrée d'une bande d'inscription en écriture cursive perso-arabe sophistiquée. Au centre, la surface est encastrée et recouverte d'inscriptions encadrées par un arceau pointu qui est décoré de figures à fleurs et surmonté d'une étoile à huit branches. Au-dessus de cet arceau pointu, un élément encorbellé en forme de « stalactites » semble soutenir la principale inscription sacrée. Le sanctuaire de Khodzha Akhrar était un lieu de pèlerinage important.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Partie inférieure. Inscription sur la pierre tombale de Khodzha Akhrar

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Partie inférieure. Inscription sur la pierre tombale de Khodzha Akhrar
Cette photographie de l'intérieur du sanctuaire de Khodzha Akhrar, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Cette vue présente la partie inférieure de la pierre tombale de Khodzha Akhrar (1403-1489), éminent mystique du XVe siècle. Ascète et soufi, Khodzha Akhrar exerça une grande influence spirituelle en Asie centrale au cours des dernières décennies de la dynastie timouride. Il aurait établi des mosquées non seulement à Samarcande, mais également à Boukhara, Hérât et Kaboul. L'ensemble de Khodzha Akhrar à Samarcande contenait plusieurs structures, y compris des mosquées d'hiver et d'été, et un cimetière. Située à l'intérieur de la mosquée, la pierre tombale est encadrée d'une bande d'inscription en écriture cursive perso-arabe sophistiquée. À l'instar de la moitié supérieure de la pierre, la majeure partie de la surface est encastrée et recouverte d'inscriptions relatives à la vie du saint. Ce texte somptueusement sculpté témoigne de l'importance du sanctuaire de Khodzha Akhrar comme lieu de pèlerinage.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Crypte familiale (sagana) de Khodzha Akhrar

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Crypte familiale (sagana) de Khodzha Akhrar
Cette photographie du sanctuaire de Khodzha Akhrar, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Ce sanctuaire est dédié à la mémoire de Khodzha Akhrar (1403-1489), éminent mystique du XVe siècle. Ascète et soufi, Khodzha Akhrar exerça une grande influence spirituelle en Asie centrale au cours des dernières décennies de la dynastie timouride. Il aurait établi des mosquées non seulement à Samarcande, mais également à Boukhara, Hérât et Kaboul. L'ensemble de Khodzha Akhrar à Samarcande contenait plusieurs structures, y compris des mosquées d'hiver et d'été, un minaret et un cimetière. Cette vue présente une partie du mur de marbre qui séparait la cour principale du cimetière contenant les sarcophages des chefs spirituels locaux. Une des hautes pierres tombales en marbre est visible au centre de l'arrière-plan. De fervents pèlerins, vêtus comme la personne se tenant debout au premier plan, visitaient régulièrement le sanctuaire et son cimetière.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Abdu-Berun. Vue de la mosquée depuis le nord-est

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Abdu-Berun. Vue de la mosquée depuis le nord-est
Cette photographie du mausolée du grand ensemble commémoratif de Khodzha Abdu-Berun, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Le grand ensemble commémoratif de Khodzha Abdu-Berun (khanaka) fut dédié à un juge arabe vénéré du IXe siècle, du clan d'Abdi. Le mot berun (extérieur) a été ajouté pour indiquer son emplacement jouxtant un cimetière à la périphérie de Samarcande et pour le distinguer d'un autre grand ensemble situé à l'intérieur de la ville commémorant le sage. Bien que la légende d'origine de la photographie identifie la structure comme une mosquée, il s'agit plus précisément d'une khanaka comportant un mausolée (mazar), qui fut construite au cours de la première moitié du XVIIe siècle par Nadir Divan-Begi, vizir du souverain de Boukhara, Imam-Quli Khan. Cette vue présente la façade contenant l'arceau (dans l'ombre) de l'aivan (salle voûtée dotée de trois murs et d'un côté ouvert) et la façade dotée d'arcades aveugles. La structure est dominée par un cylindre et un dôme. Malgré des dommages considérables, des fragments de décoration en céramique polychrome ornent encore les parties supérieures de la façade et le cylindre, qui arbore une grande bande d'inscription.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Namazga. Section de la façade principale

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Namazga. Section de la façade principale
Cette photographie impressionnante de la mosquée de Namazga, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Une mosquée namazgaétait destinée à marquer l'Aïd al-Fitr (fête célébrée à la fin du jeûne du ramadan), ainsi que le Kurban ou l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice. Probablement construite au XIe siècle, puis reconstruite par les Timourides au XVe, la mosquée de Namazga fut remplacée lors de la première moitié du XVIIe siècle par Nadir Divan-Begi, vizir et oncle du souverain de Boukhara, Imam-Quli Khan. Située au sud de la ville, cette version de la mosquée de Namazga fut achevée en 1630 environ. Sur la droite, le haut dôme principal est élevé sur un immense cylindre, ou tambour, décoré de bandes de carreaux de céramique. Au centre de la façade, l'arceau de l'aivan (salle voûtée dotée de trois murs et d'un côté ouvert) encadre l'entrée de la mosquée. La structure centrale est entourée de galeries en arcade à un étage, et la personne debout donne une idée de leur taille. Contrairement aux autres mosquées de l'époque, les façades de la mosquée de Namazga arborent peu d'ornements en céramique.

Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Vue vers la mosquée

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Antiquités de Samarcande. Mosquée de Khodzha Akhrar. Vue vers la mosquée
Cette photographie du sanctuaire de Khodzha Akhrar, à Samarcande (Ouzbékistan), est extraite de l'ouvrage archéologique Album du Turkestan. Cet inventaire photographique, en six volumes, fut réalisé entre 1871 et 1872 sous le patronage du général Konstantin P. von Kaufman, premier gouverneur général (1867-1886) du Turkestan, nom donné aux territoires d'Asie centrale de l'Empire russe. L'album consacre une attention particulière à l'héritage de l'architecture islamique de Samarcande. Dédié à la mémoire de Khodzha Akhrar, éminent mystique du XVe siècle, le sanctuaire contenait plusieurs structures, y compris des mosquées d'hiver et d'été, un minaret et un cimetière. Cette vue ombragée présente la mosquée d'été, appelée ainsi car l'un des côtés de son pavillon est ouvert sur la cour, et son toit qui est soutenu par de grandes colonnes de bois reposant sur une base de marbre sculptée (un exemple est visible sur la gauche). L'aivan (salle voûtée dotée de trois murs et d'un côté ouvert) est flanqué de murs de briques dont la surface est recouverte de céramiques polychromes, incluant des mosaïques de faïence. Au centre de l'arrière-plan, la niche de prière, ou mihrab, indique la direction de La Mecque. Le mihrab est défini dans un ensemble somptueux de bandes d'inscription en céramique, dotées d'une écriture cursive perso-arabe allongée (thoulouth). La partie ouverte de la mosquée est rattachée à une structure fermée (à droite) dont les murs sont également recouverts de céramiques formant des motifs géométriques et à fleurs. La couleur de base utilisée est le bleu foncé.

Al-Zaura, n° 452, 13 juin 1874

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Al-Zaura, n° 452, 13 juin 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 459, 7 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 459, 7 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 458, 4 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 458, 4 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 457, 30 juin 1874

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Al-Zaura, n° 457, 30 juin 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 456, 27 juin 1874

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Al-Zaura, n° 456, 27 juin 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 463, 21 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 463, 21 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 462, 18 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 462, 18 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 461, 14 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 461, 14 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 460, 11 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 460, 11 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 467, 4 août 1874

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Al-Zaura, n° 467, 4 août 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 466, 1 août 1874

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Al-Zaura, n° 466, 1 août 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 465, 28 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 465, 28 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.

Al-Zaura, n° 464, 25 juillet 1874

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Al-Zaura, n° 464, 25 juillet 1874
Al-Zaura fut créé à l'initiative de Midhat Pacha (règne : 1869–1872), Ottoman pro-occidental et progressiste qui fut wali (gouverneur) d'Irak. Il fonda le journal lorsqu'il ramena de Paris une presse à imprimer, la première en Irak, à l'occasion de son affectation à Bagdad en 1869. Le nom d'Al-Zaura fut inspiré d'un surnom de Bagdad, qui signifie littéralement coude ou courbe, car la ville est située dans un grand coude du Tigre. Le journal est probablement la source la plus importante sur l'histoire de l'Irak au cours des 50 dernières années de l'Empire ottoman, du début d'Al-Zaura en 1869 jusqu'à la prise de Bagdad par les Britanniques en 1917. L'approche réformiste du journal, particulièrement durant le court règne de Midhat Pacha, reflétait sa vision de la modernisation de l'Irak, en tant que pays et société. Bihebdomadaire paraissant le samedi et le mardi, il s'agissait d'un journal substantiel pour lequel quelques-uns des auteurs et intellectuels irakiens les plus éminents de l'époque écrivaient. Avec un contenu en arabe et en turc ottoman, il abordait des questions nationales très variées, notamment les nominations et décrets officiels, la santé, l'éducation, la criminalité et la justice, les transports et la communication, le développement urbain, les impôts et la littérature. Entre la première publication, le mardi 15 juin 1869, et la dernière, le mardi 13 mars 1917, un total de 2 607 numéros furent publiés. Ils présentent les dates de l'Hégire sur la droite et les dates du calendrier ottoman Rumî sur la gauche. Ces dates divergent parfois.
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