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Forteresse et citadelle de Ghazni, et les deux minarets

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Forteresse et citadelle de Ghazni, et les deux minarets
« Forteresse et citadelle de Ghazni, et les deux minarets » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

La ville de Kandahar

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La ville de Kandahar
« La ville de Kandahar » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Troisième descente à travers le col de Koojah

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Troisième descente à travers le col de Koojah
« Troisième descente à travers le col de Koojah » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Seconde descente à travers le col de Koojah

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Seconde descente à travers le col de Koojah
« Seconde descente à travers le col de Koojah » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Première descente à travers le col de Koojah

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Première descente à travers le col de Koojah
« Première descente à travers le col de Koojah » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Les troupes émergeant de la partie étroite du défilé

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Les troupes émergeant de la partie étroite du défilé
« Les troupes émergeant de la partie étroite du défilé » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Tombeau de l'empereur Baber

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Tombeau de l'empereur Baber
« Tombeau de l'empereur Baber » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

L'avenue sur le site du tombeau de Baber

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L'avenue sur le site du tombeau de Baber
« L'avenue sur le site du tombeau de Baber » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Durbar–Khaneh de Shujah al–Mulk, à Kaboul

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Durbar–Khaneh de Shujah al–Mulk, à Kaboul
« Durbar–Khaneh de Shujah al–Mulk, à Kaboul » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Kaboul, vue depuis un cimetière sur la crête montagneuse, au nord–est de la ville

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Kaboul, vue depuis un cimetière sur la crête montagneuse, au nord–est de la ville
« Kaboul, vue depuis un cimetière sur la crête montagneuse, au nord–est de la ville » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Le Bala Hissar et la ville de Kaboul, vus depuis la partie supérieure de la citadelle

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Le Bala Hissar et la ville de Kaboul, vus depuis la partie supérieure de la citadelle
« Le Bala Hissar et la ville de Kaboul, vus depuis la partie supérieure de la citadelle » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Rue principale du bazar de Kaboul pendant la saison des fruits

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Rue principale du bazar de Kaboul pendant la saison des fruits
« Rue principale du bazar de Kaboul pendant la saison des fruits » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Capitulation de Dost Mahommed Khan auprès de sir William Hay Macnaghten, baronnet, au moment d'entrer dans Kaboul depuis Killa–Kazee

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Capitulation de Dost Mahommed Khan auprès de sir William Hay Macnaghten, baronnet, au moment d'entrer dans Kaboul depuis Killa–Kazee
« Capitulation de Dost Mahommed Khan auprès de sir William Hay Macnaghten, baronnet, au moment d'entrer dans Kaboul depuis Killa–Kazee » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Le village d'Urghundee.

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Le village d'Urghundee.
« Le village d'Urghundee » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Vêtements des habitants de Kaboul

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Vêtements des habitants de Kaboul
« Vêtements des habitants de Kaboul » est l'une des 25 lithographies extraites de l'ouvrage de James Atkinson Esquisses de l'Afghanistan, publié à Londres en 1842. Atkinson (1780–1852), homme aux multiples talents, est mieux connu pour ses premières traductions en anglais d'ouvrages de poésie et de prose persanes. Né en Angleterre, il étudia la médecine à Londres et à Édimbourg. Il fut nommé chirurgien auxiliaire au sein de l'administration du Bengale en 1805 et passa la majeure partie du restant de sa vie en Inde. Ayant appris le persan durant son temps libre, il publia dès 1814 la traduction d'une partie de Shahnamah (Livre des rois) de Ferdowsi, rendant pour la première fois cette épopée persane accessible aux lecteurs anglais. Après avoir été nommé chirurgien en chef de l'armée de l'Indus en 1838, Atkinson accompagna en tant que tel cette force durant sa marche sur Kaboul pendant la première guerre angloafghane (1839–1842). Il quitta l'Afghanistan en 1841 pour revenir en Inde. En 1842, il publia un témoignage direct de la guerre intitulé Expédition en Afghanistan : notes et esquisses descriptives du pays. Atkinson fut également un artiste brillant, dont plusieurs œuvres sont aujourd'hui exposées à la National Portrait Gallery de Londres. Esquisses de l'Afghanistan repose sur des dessins réalisés par Atkinson durant son séjour dans le pays.

Psautier de Léopold III, margrave d'Autriche

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Psautier de Léopold III, margrave d'Autriche
Ce manuscrit du XIe siècle fut le livre de prières de Léopold III, margrave d'Autriche (1073–1136), qui fonda le monastère de Klosterneuburg en 1114. Outre un psautier et les prières en latin, le codex contient le dit Klosterneuburger Gebet (prière de Klosterneuburger), prière pour le pardon des péchés en vieux haut–allemand. L'ouvrage inclut un échange de lettres entre saint Jérôme et le pape Damase Ier, ou saint Damase (305–384 env. ; pape de 366 à 384), la préface par saint Jérôme du livre des psaumes, un commentaire sur les psaumes par saint Augustin, le symbole de saint Athanase, ainsi que d'autres documents. Canonisé en 1485, Léopold est également appelé saint Léopold le Pieux. Saint patron de l'Autriche et membre de la maison de Babenberg, il naquit à Gars (aujourd'hui Gars am Kamp), près de Melk, en Basse–Autriche. Les Babenberg s'installèrent en Autriche après avoir quitté la Bavière, où la famille avait gagné en notoriété au Xe siècle. Ils acquirent les terres le long du Danube entre la Bavière et la Slovénie. Léopold succéda à son père en tant que margrave d'Autriche en 1096, lorsqu'il avait 23 ans. Il épousa Agnès, fille de l'empereur Henri IV et veuve de Frédéric de Hohenstaufen, avec qui il eut 17 enfants, dont 11 survécurent jusqu'à l'âge adulte. La ville de Klosterneuburg est située sur le Danube, juste au nord de Vienne. Léopold offrit le codex présenté ici au monastère dans le cadre de sa première donation. Il fonda également les monastères d'Heiligenkreuz et de Klein–Mariazell.

Traités par Bède le Vénérable et catalogue de constellations

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Traités par Bède le Vénérable et catalogue de constellations
Ce manuscrit est composé d'un catalogue de constellations avec de nombreuses illustrations à l'encre rouge, violette et beige. Le codex, vieux de 800 ans, fut vraisemblablement produit sur le modèle d'un manuscrit du monastère cistercien de Zwettl (codex 296), dans lequel les illustrations des constellations sont similaires, mais probablement plus anciennes. Cet ouvrage contient des traités de l'érudit anglo–saxon Bède le Vénérable (également appelé saint Bède, 673–735), polymathe qui écrivit ou traduisit 40 œuvres environ ayant trait à différents domaines de connaissances. Les traités incluent sont De natura rerum (De la nature des choses), du recto du feuillet 1 au verso du feuillet 8, De temporibus liber (Le livre des temps), du verso du feuillet 8 au verso du feuillet 13, et De temporum ratione (La mesure du temps), du verso du feuillet 14 au verso du feuillet 64. Le texte est suivi des illustrations, à savoir un diagramme astronomique, du recto du feuillet 71 au verso du feuillet 84, des représentations saisissantes des constellations, des portraits d'hommes et de femmes non identifiés, des oiseaux, des poissons et d'autres animaux réels et fabuleux, une roue zodiacale avec le Soleil et la Lune au centre, une représentation de la Lune dans un chariot tiré par des bœufs, ainsi qu'une image du Soleil porté par des chevaux. Le manuscrit date de 1200 environ, mais le scribe et l'illustrateur sont inconnus. L'ouvrage compte parmi les 1 250 manuscrits médiévaux appartenant aux collections de la bibliothèque du monastère Klosterneuburg, en Autriche.

Récit d'un voyage d'Hérat à Khiva, Moscou et Saint–Pétersbourg

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Récit d'un voyage d'Hérat à Khiva, Moscou et Saint–Pétersbourg
James Abbott (1807–1896), officier de l'armée britannique, partit pour l'Inde en 1823. Il participa à l'invasion anglo–indienne qui précipita la guerre anglo–afghane (1839–1842). Arrivé à Kandahar en avril 1839, Abbott prit part à une mission politique à Hérat. En décembre 1839, il fut envoyé en mission dans le khanat de Khiva (en Ouzbékistan actuel) qui, attaqué par une expédition militaire russe, avait demandé l'aide des Britanniques. Cette expédition militaire, visant prétendument à libérer les esclaves russes retenus au Khiva et à mettre fins aux assauts sur les caravanes, était destinée en réalité à imposer le contrôle russe sur le khanat. Si Abbott ne parvint pas à persuader le khan de Khiva de relâcher les esclaves russes, éliminant toute justification de l'intervention russe, il le convainquit de conclure un traité prévoyant l'établissement d'un agent britannique à Khiva et permettant aux Britanniques de servir de médiateur entre Khiva et la Russie. Abbott se rendit ensuite à Saint–Pétersbourg afin de poursuivre la médiation. Il quitta Khiva en mars 1840 et, après de nombreuses aventures, notamment son enlèvement par un clan de Kazakhs, atteignit la capitale russe, où ses efforts de médiation furent rejetés. Abbott revint en Angleterre, puis en Inde où il reprit son poste. Il publia en 1843 l'ouvrage en deux volumes Récit d'un voyage d'Hérat à Khiva, Moscou et Saint–Pétersbourg, présenté ici. Le livre contient un récit détaillé de la mission d'Abbott, commençant par son départ d'Hérat et abordant son voyage au Turkestan, à travers la Russie jusqu'à Saint–Pétersbourg, puis à Londres et pour finir son retour à Calcutta. Le premier volume comprend une grande carte dépliante indiquant l'itinéraire d'Abbott, d'Hérat à Khiva et jusqu'à Orenbourg, en Russie. L'ouvrage est particulièrement intéressant, car il offre les perspectives de Summud Khaun, délégué afghan qui accompagna Abbott tout au long de son voyage, visitant des lieux non seulement en Asie centrale et en Russie, mais également Londres, Paris, Gênes, Rome, Naples, Athènes et d'autres villes européennes situées sur le chemin du retour en Inde. Il inclut, sous l'en–tête « Summud Khauniana », de nombreuses observations du compagnon d'Abbott concernant les conditions et les coutumes européennes (par exemple, il déplore profondément la pauvreté et la misère dont il fut le témoin à Naples). De 1845 à 1853, Abbott fut commissaire de l'Hazaradjat, en Inde, où la ville d'Abbottabad lui doit son nom.

L'Afghanistan et le conflit anglo–russe

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L'Afghanistan et le conflit anglo–russe
Theophilus Francis Rodenbough (1838–1912), officier de l'armée de l'Union pendant la guerre de Sécession, reçut la Médaille d'honneur du Congrès pour ses actions durant la bataille de Trevilian Station (Virginie) en juin 1864. Après son départ à la retraite de l'armée en 1870, Rodenbough produisit plusieurs livres portant sur des thèmes militaires. Il écrivit L'Afghanistan et le conflit anglo–russe très rapidement au printemps 1885, lorsqu'une guerre entre la Russie et l'Empire britannique semblait inévitable, en raison d'une querelle sur la présence des forces militaires russes dans la région au sud de Merv (aujourd'hui Mary, au Turkménistan). Selon certaines sources, les Russes se seraient établis sur la route d'Hérat, en Afghanistan, ce que les Britanniques considéraient comme une menace pour l'Afghanistan et par conséquent pour l'Inde. Les chapitres d'introduction, sur la géographie et l'histoire récente de l'Asie centrale et de l'Afghanistan, sont suivis de deux chapitres, constituant le cœur du livre, intitulés « Les forces britanniques et leurs routes » et « Les forces russes et leurs approches ». Tous deux abordent l'organisation, l'effectif, la répartition géographique, les systèmes de transport et de ravitaillement, ainsi que le commandement des deux armées. Le premier chapitre traite des routes susceptibles d'être empruntées par une armée britannique, depuis l'Inde britannique (traversant l'actuel Pakistan, qui faisait alors partie de l'Inde) jusqu'en Afghanistan, afin d'affronter les Russes. Le deuxième décrit les routes pouvant être utilisées par les forces russes pour marcher sur Hérat. Dans le dernier chapitre de l'ouvrage, « Analyse de la situation militaire », Rodenbough soutient le point de vue du lieutenant général britannique sir Edward Bruce Hamley, selon qui les intérêts de la Grande–Bretagne seraient mieux servis en combattant les Russes sur la ligne Kandahar–Ghazni–Kaboul. La crise de 1885 fut finalement désamorcée par la voie diplomatique, évitant l'éclatement d'une guerre entre la Russie et la Grande–Bretagne. Le livre est illustré de croquis de scènes de l'Afghanistan et de portraits de grands personnages politiques afghans. Il comprend trois cartes, dont une grande carte dépliante de l'Afghanistan et des territoires voisins, dressées et mises à jour à partir des derniers levés topographiques de l'armée.

Considérations sur l'état politique des pays situés entre la Perse et l'Inde

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Considérations sur l'état politique des pays situés entre la Perse et l'Inde
Considérations sur l'état politique des pays situés entre la Perse et l'Inde est un court essai d'Edward Hamilton Stirling (1797–1873), fonctionnaire de la Compagnie des Indes orientales et explorateur britannique. L'ouvrage est basé sur un voyage par voie de terre que l'auteur effectua en 1828, au cours duquel il partit de Perse, traversa l'actuel nord de l'Afghanistan et rentra en Inde. Stirling rejoignit la Compagnie des Indes orientales en 1816, puis devint percepteur de la division d'Agra au sein de la présidence du Bengale. Lorsqu'il obtint un congé en 1828, il décida d'utiliser ce temps libre pour explorer la Perse et l'Asie centrale, avec l'objectif ultime de rentrer en Inde en empruntant la route à travers Hérat, Balkh et Kaboul. Il quitta l'Inde en février 1828 et arriva à Bouchir (aujourd'hui Bouchehr, en Iran) un mois plus tard. De là, il voyagea par voie terrestre via Shiraz, jusqu'à Téhéran, où il rencontra l'envoyé britannique en Perse sir John MacDonald. Celui–ci lui demanda d'examiner « l'état, les capacités et les caractéristiques militaires des pays par lesquels une armée européenne venant du nord ou de l'ouest pourrait pénétrer en Inde… ». Stirling termina finalement son périple, devenant ainsi le premier Européen à rentrer sain et sauf du nord de l'Afghanistan. Dans cet essai, non seulement il rend compte des conditions sociales et politiques des régions visitées, mais il identifie également trois voies d'invasion possibles, outre la « grand-route traversant le centre de la Perse ». À son retour en Inde, il apprit qu'il avait été remplacé et rétrogradé, et que les résultats de son étude avaient été ignorés par les fonctionnaires politiques de la compagnie. Scandalisé par un tel traitement, Stirling rentra en Angleterre en 1834. Il publia Considérationsà Londres l'année suivante.
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