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Victoire de l'armée japonaise sur les troupes germano-autrichiennes à proximité de l'Oussouri, en Sibérie

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Victoire de l'armée japonaise sur les troupes germano-autrichiennes à proximité de l'Oussouri, en Sibérie
Le 24 août 1918, les forces alliées combattant durant la guerre civile russe passèrent à l'offensive contre les forces bolchéviques sur la rivière Oussouri, au nord de Vladivostok. Au cours de la bataille, la 12e division d'infanterie de l'Armée impériale japonaise et un contingent de troupes tchécoslovaques repoussèrent la Garde rouge de 24 kilomètres. Bien que la légende de cette lithographie indique « Victoire de l'armée japonaise sur les troupes germano-autrichiennes », rien ne prouve que des soldats allemands ou autrichiens aient pris part aux combats en Sibérie. En revanche, près de 50 000 prisonniers de guerre allemands et autrichiens vivaient dans des camps à l'est d'Irkoutsk, le long du Transsibérien. À cette époque, les autorités japonaises craignaient que ces prisonniers n'apportent leur soutien aux forces bolchéviques. C'est pourquoi ils furent identifiés comme la principale menace pesant sur la Sibérie. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Bataille de l'Oussouri, en Sibérie. Le capitaine Konomi fut tué dans la bataille, les armes à la main

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Bataille de l'Oussouri, en Sibérie. Le capitaine Konomi fut tué dans la bataille, les armes à la main
Le 24 août 1918, les Alliés qui prenaient part à la guerre civile russe lancèrent une offensive contre les bolchéviques sur l'Oussouri, au nord de Vladivostok. Au cours de la bataille, la 12e division d'infanterie de l'Armée impériale japonaise et un contingent de troupes tchécoslovaques repoussèrent la Garde rouge de 24 kilomètres. Cette lithographie représente la mort au combat du capitaine japonais Meguro Konomi. Selon les chiffres officiels, il fut le seul soldat japonais à mourir pendant la bataille. Il existe deux lithographies montrant cette bataille et illustrant la mort du capitaine Konomi. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Vragaeschensk (Blagovechtchensk) occupée par l'armée japonaise

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Vragaeschensk (Blagovechtchensk) occupée par l'armée japonaise
Durant la guerre civile russe, l'Armée impériale japonaise, qui se dirigeait à la fois en direction du nord depuis Vladivostok et en direction de l'ouest depuis Khabarovsk, s'était déjà emparée de la ville de Blagovechtchensk le 23 septembre 1918. Cette lithographie représente des soldats bolchéviques déposant les armes aux pieds des officiers japonais tandis que des troupes japonaises défilent en arrière-plan. Située au confluent de l'Amour et de la rivière Zeïa, Blagovechtchensk constituait un site d'importance stratégique. Après s'être emparés de la ville, deux officiers japonais de premier plan, le maréchal Uehara Yusaku et le général Ugaki Kazunari, rédigèrent un communiqué intitulé « Étude relative au rétablissement du front de l'Est », dans lequel ils prônaient l'occupation de l'ensemble de la Sibérie par l'armée japonaise. Cependant, le Premier ministre Hara Takashi et le ministre de la Guerre Tanaka Giichi estimèrent qu'une intervention de cette envergure n'obtiendrait pas le soutien politique du pays. Ainsi, le 22 octobre 1918, le gouvernement japonais, dirigé par Hara, réitéra sa décision antérieure de ne pas autoriser les forces japonaises à se diriger au-delà d'Irkoutsk, en direction de l'ouest. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Affrontement entre la cavalerie et les navires de guerre. Reddition de ces derniers

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Affrontement entre la cavalerie et les navires de guerre. Reddition de ces derniers
Pendant la guerre civile russe, les forces japonaises coalisée avec l'Armée blanche s'emparèrent de la ville de Khabarovsk, située sur le fleuve Amour, le 5 septembre 1918. Le 7 septembre, ces forces acceptèrent également la reddition de la Flottille soviétique de l'Amour, composée de 28 navires, dont huit canonnières équipées de tourelles et 10 canonnières de plus petite taille. La flottille avait été mise en service pour la première fois durant la guerre russo-japonaise de 1904–1905. Au cours de l'occupation de Khabarovsk, l'armée japonaise captura la quasi-totalité des navires de la flottille de l'Amour, intégrant certains à ses propres patrouilles sur le fleuve Amour et détruisant les autres. Après 1922, l'Union soviétique se mit à reconstruire la flotte et dès 1925–1926, presque tous les navires saisis par les Japonais lui furent restitués. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Attaques aériennes, navales et terrestres de notre armée pour bouter l'ennemi hors de Sibérie

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Attaques aériennes, navales et terrestres de notre armée pour bouter l'ennemi hors de Sibérie
Cette lithographie d'une scène de la guerre civile russe illustre des forces japonaises patrouillant dans le ciel et dans les eaux aux abords de la ville de Khabarovsk, que les troupes japonaises et alliées avaient conquise le 5 septembre 1918. La ville est identifiable par son célèbre pont qui enjambe le fleuve Amour. Au premier plan, l'avion semble être un Farman MF.7, aéronef français conçu pour les missions de reconnaissance et de bombardement. L'Armée impériale japonaise utilisa des MF.7 durant la bataille de Tsingtao à l'automne 1914. Il est donc probable qu'ils aient également été utilisés dans l'Extrême-Orient russe lors des batailles de la guerre civile russe. Le MF.7 est resté dans l'histoire comme le premier avion répertorié tombé dans un combat aérien, événement rapporté durant le siège de Tsingtao, lorsque le pilote d'un avion allemand a abattu un MF.7 japonais à coups de pistolet. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Khabarovsk occupée par notre cavalerie et défilé devant les canonnières ennemies

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Khabarovsk occupée par notre cavalerie et défilé devant les canonnières ennemies
Pendant la guerre civile russe, les forces japonaises coalisée avec l'Armée blanche s'emparèrent de la ville de Khabarovsk, située sur le fleuve Amour, le 5 septembre 1918. Ces forces acceptèrent aussi la reddition de la Flottille soviétique de l'Amour, composée de 28 navires. Cette lithographie représente en arrière-plan la flottille avec la cavalerie japonaise qui défile devant la statue du comte Nikolaï Mouraviov-Armousky, diplomate et homme d'État russe. Au premier plan, dans la cour, des soldats bolchéviques déposent les armes face aux baïonnettes des troupes japonaises. Né à Saint-Pétersbourg, Mouraviov-Armousky occupa le poste de gouverneur général de la Sibérie orientale entre 1847 et 1861. Il joua un rôle important dans l'expansion du contrôle russe de la région jusqu'aux rives du fleuve Amour. Cette statue en sa mémoire fut érigée en 1891. Elle fut remplacée en 1929 par une statue de Vladimir Lénine, mais le monument en hommage à Mouraviov-Amoursky fut restauré en 1993. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Première bataille près de Manturia (Mandchourie). Les soldats japonais mettent en déroute la cavalerie ennemie

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Première bataille près de Manturia (Mandchourie). Les soldats japonais mettent en déroute la cavalerie ennemie
Après leur victoire dans une bataille près d'Oussouriisk, les forces japonaises engagées dans la guerre civile russe poursuivirent la Garde rouge bolchévique le long de la frontière entre l'Empire russe et la région chinoise de la Mandchourie suivant l'itinéraire du Transsibérien. Cette lithographie illustre une bataille entre les Japonais et les bolchéviques le long de cette voie ferrée. Les forces japonaises combattirent les bolchéviques sur deux fronts : de Vladivostok à Khabarovsk, puis de Vladivostok à Tchita, à travers la Mandchourie le long du chemin fer de l'Est chinois. Entre août 1918 et octobre 1922, l'Armée impériale japonaise participa à « l'intervention en Sibérie ». Cette opération des forces alliées de la Première Guerre mondiale visait à soutenir les Armées blanches contre les bolchéviques, lors de la guerre civile russe (1917–1922). Des soldats originaires de neuf pays prirent part à cette intervention, qui débuta en août 1918. Malgré le retrait des forces américaines et britanniques en 1920, l'armée japonaise resta en Extrême-Orient russe et en Sibérie deux années supplémentaires. Plus de 70 000 troupes japonaises furent engagées dans les combats. En 1919, dans le but de soutenir les opérations des militaires japonais, l'éditeur Shōbidō Co. Ltd., basé à Tokyo, publia une série d'impressions lithographiques présentant différentes scènes de cette campagne intitulée « Illustration de la guerre en Sibérie ».

Rue de Kairouan, en Tunisie

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Rue de Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une scène de rue, à Kairouan (parfois al–Qayrawan), ville située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie […], où les nombreuses mosquées et zaouïas datent surtout de la période turque. Ses marchés approvisionnent la vaste plaine de Kairouan et les souks sont toujours importants malgré le déclin des productions ». Ce fut durant l'ère turque que la « ville sacrée, " une des quatre portes du paradis ", dans laquelle ne s'aventuraient ni les chrétiens ni les juifs, redevint le centre religieux de la région. Pour les croyants, le summum du bonheur consistait à passer leurs derniers jours dans les murs de la ville et à être enterrés dans la terre bénie en dehors de ses portes ». La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est aujourd'hui inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Marché, à Kairouan, en Tunisie

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Marché, à Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un marché à Kairouan (parfois al–Qayrawan), ville située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie […], où les nombreuses mosquées et zaouïas datent surtout de la période turque. Ses marchés approvisionnent la vaste plaine de Kairouan et les souks sont toujours importants malgré le déclin des productions ». Ce fut durant l'ère turque que la « ville sacrée, " une des quatre portes du paradis ", dans laquelle ne s'aventuraient ni les chrétiens ni les juifs, redevint le centre religieux de la région. Pour les croyants, le summum du bonheur consistait à passer leurs derniers jours dans les murs de la ville et à être enterrés dans la terre bénie en dehors de ses portes ». Les souks de la vieille ville offraient « notamment des tapis et des tapis en laine (mergoums) », bien que leur vente avait « décliné depuis le remplacement par l'aniline des teintures végétales ». La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est aujourd'hui inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Vue du minaret de la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie

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Vue du minaret de la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une vue de la ville de Kairouan (parfois al–Qayrawan), depuis le sommet du minaret de la mosquée Oqba Ibn Nafi, également appelée la Grande Mosquée. Kairouan est située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie ». La Grande Mosquée est « l'une des plus anciennes du monde et, avec la mosquée Al Quaraouiyine de Fès, la plus importante de Barbarie. […] Les murs en terre du vieux mihrab témoignent de la pauvreté du bâtiment le plus ancien, érigé sous Sidi Okba ben–Nâfi en 671 ». Kairouan, cité prospère au IXe siècle sous la dynastie aghlabide, fut un centre politique et religieux majeur. La mosquée, telle qu'elle existe aujourd'hui, est essentiellement un bâtiment du IXe siècle. La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Mosquée dans la rue principale de Kairouan, en Tunisie

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Mosquée dans la rue principale de Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une mosquée à Kairouan (parfois al–Qayrawan), ville située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie […], où les nombreuses mosquées et zaouïas datent surtout de la période turque ». Ce fut durant l'ère turque que la « ville sacrée, " une des quatre portes du paradis ", dans laquelle ne s'aventuraient ni les chrétiens ni les juifs, redevint le centre religieux de la région. Pour les croyants, le summum du bonheur consistait à passer leurs derniers jours dans les murs de la ville et à être enterrés dans la terre bénie en dehors de ses portes ». Kairouan, fondée au début des années 670, prospéra au IXe siècle sous la dynastie aghlabide. La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est aujourd'hui inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Salon privé, II, au palais de Ksar Saïd, en Tunisie

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Salon privé, II, au palais de Ksar Saïd, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un salon privé du palais de Ksar Saïd, à Tunis. Dans son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs (1911), Baedeker décrit le palais comme « un château du bey », où les touristes ne sont pas admis. « C'est ici que le traité du Bardo fut signé en 1881, mettant fin à l'indépendance de la Tunisie ». La Tunisie passa sous le contrôle de l'Empire ottoman en 1574. Le titre de bey désignait à l'origine le gouverneur de la province. Du début du XVIIIe siècle jusqu'à l'instauration du règne colonial français en 1881, le bey était le chef d'État du royaume de Tunis, en théorie subordonné au sultan ottoman. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Jardin du musée, II, à Carthage, en Tunisie

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Jardin du musée, II, à Carthage, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre le jardin du musée Lavigerie, à Carthage. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Carthage comme « la reine des mers autrefois fière », aujourd'hui dévastée par les troubles de l'histoire et de la nature. Toutefois, « la beauté du paysage et la richesse des mémoires historiques compensent largement l'état déplorable des ruines ». Le bâtiment abritant le musée Lavigerie, qui était à l'origine un séminaire, constitue aujourd'hui le musée national de Carthage. Le musée Lavigerie, nommé d'après le missionnaire et archevêque français, par la suite cardinal, Charles Martial Allemand Lavigerie, conserva un temps « les découvertes des fouilles effectuées par le père Delattre ». Alfred Louis Delattre, aumônier et archéologue français, fonda le musée en 1875, devint son directeur et écrivit des œuvres majeures sur Carthage et son histoire. Le tirage représente le jardin, que le séminaire et le musée partagent, doté « d'un grand sarcophage romain en marbre entouré de nombreuses urnes cinéraires puniques. Les vestiges des anciens bâtiments gisent au sol. Des mosaïques, des inscriptions et des fragments de sculptures romaines [ayant survécu aux occupations punique, romaine, chrétienne et croisée de Carthage] sont alignées le long des murs du jardin. » La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Tombeaux et vue sur Goletta, à Carthage, en Tunisie

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Tombeaux et vue sur Goletta, à Carthage, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une vue de Goletta (aujourd'hui La Goulette) depuis les tombeaux et les ruines de Carthage. La ville, fondée par les Phéniciens au IXe siècle avant Jésus–Christ, devint une grande civilisation et un puissant empire commercial méditerranéen. Le site archéologique de Carthage est désormais inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit le village de La Goulette comme « l'ancien petit port de Tunis ». Il fut « solidement fortifié par Khizir Khayr ad–Dîn en 1534 et converti en une grande station navale, mais celle–ci fut rapidement capturée par les Espagnols, qui s'en servirent de base pour maintenir leur emprise sur Tunis (1535–1574) ». Khayr ad–Dîn Barberousse (1478–1546 env.), pirate gréco–turc, puis amiral ottoman, fut pacha d'Alger. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Jardin du musée, à Carthage, en Tunisie

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Jardin du musée, à Carthage, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre le jardin du musée Lavigerie, à Carthage. La ville, située sur la côte du golfe de Tunis, fut fondée par les Phéniciens au IXe siècle avant Jésus–Christ. Berceau d'une grande civilisation, elle devint un puissant empire commercial méditerranéen avant d'être détruite, puis reconstruite, par les Romains. Le site archéologique de la ville est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Le bâtiment abritant le musée Lavigerie, qui était à l'origine un séminaire, constitue aujourd'hui le musée national de Carthage. Le musée Lavigerie, nommé d'après le missionnaire et archevêque français, par la suite cardinal, Charles Martial Allemand Lavigerie, conserva un temps les découvertes des fouilles effectuées par le père Delattre. Alfred Louis Delattre, aumônier et archéologue français, fonda le musée en 1875, devint son directeur et écrivit des œuvres majeures sur Carthage et son histoire. Le tirage représente le jardin que le séminaire et le musée partagent. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Rue de Kairouan, en Tunisie

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Rue de Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une rue de Kairouan (parfois al–Qayrawan), ville située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie […], où les nombreuses mosquées et zaouïas datent surtout de la période turque. Ses marchés approvisionnent la vaste plaine de Kairouan et les souks sont toujours importants malgré le déclin des productions ». Ce fut durant l'ère turque que la « ville sacrée, " une des quatre portes du paradis ", dans laquelle ne s'aventuraient ni les chrétiens ni les juifs, redevint le centre religieux de la région. Pour les croyants, le summum du bonheur consistait à passer leurs derniers jours dans les murs de la ville et à être enterrés dans la terre bénie en dehors de ses portes ». La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est aujourd'hui inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Marché de la kasbah, à Tunis, en Tunisie

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Marché de la kasbah, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une partie de la place et de la mosquée de la kasbah, à Tunis. Construite de 1231 à 1235, au début de la dynastie hafside, sous Abû Zakariyâ Yahyâ (règne : 1229‒1249), la mosquée est située en bordure de la médina, où les rues étroites étaient souvent bondées de gens issus des nombreuses tribus d'Afrique du Nord et du Sahara. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Le Bardo, escalier des Lions, à Tunis, en Tunisie

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Le Bardo, escalier des Lions, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un escalier du palais du Bardo. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit le Bardo, situé dans la plaine fertile à l'ouest de Tunis, comme « l'ancienne résidence d'hiver des beys ». Le palais « formait [autrefois] à lui seul une petite ville » et abritait « une trésorerie, une mosquée, des bains, des baraques et une prison ». Cette photographie montre l'escalier de l'entrée du palais, « décoré de lions en marbre de facture italienne peu soignée » et permettant de pénétrer dans plusieurs cours à colonnades « ornementées avec raffinement ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Le Bardo, salle du trône, à Tunis, en Tunisie

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Le Bardo, salle du trône, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre la salle du trône du palais du Bardo, à Tunis. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit le Bardo, situé dans la plaine fertile à l'ouest de Tunis, comme « l'ancienne résidence d'hiver des beys ». Le palais « formait [autrefois] à lui seul une petite ville » et abritait « une trésorerie, une mosquée, des bains, des baraques et une prison ». Dans la salle du trône, « les beys prononçaient les condamnations à mort, qui étaient immédiatement mises à exécution non loin de là ». Le traité du Bardo fut signé dans ce palais en 1881, confirmant la fin de la quasi–indépendance vis–à–vis du régime ottoman sous un bey souverain et établissant le protectorat français, qui dura jusqu'en 1956. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Rue du Trésor, à Tunis, en Tunisie

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Rue du Trésor, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre la rue du Trésor, à Tunis, capitale de la Tunisie. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Tunis et admire les « rues aristocratiques » étroites, telle que celle visible ici, avec « leurs portes élégantes en marbre et leurs fenêtres aux grilles artistiques ». La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.
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