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Fonte de la neige dans la taïga près de Krasnoïarsk. Début du printemps

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Fonte de la neige dans la taïga près de Krasnoïarsk. Début du printemps
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Crépuscule sur la taïga près de Krasnoïarsk

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Crépuscule sur la taïga près de Krasnoïarsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Saule qui bourgeonne dans la taïga

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Saule qui bourgeonne dans la taïga
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Église dans la taïga. Beffroi ancien

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Église dans la taïga. Beffroi ancien
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Claire de lune près d'Irkoutsk

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Claire de lune près d'Irkoutsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Locomotive dans les monts Oural près de Zlatooust

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Locomotive dans les monts Oural près de Zlatooust
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Dans les profondeurs de la taïga de Krasnoïarsk

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Dans les profondeurs de la taïga de Krasnoïarsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Clair de lune dans un village près d'Irkoutsk

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Clair de lune dans un village près d'Irkoutsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Médecin âgé dans un lieu de relocalisation à Irkoutsk

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Médecin âgé dans un lieu de relocalisation à Irkoutsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Lecture du journal « Niva » en soirée

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Lecture du journal « Niva » en soirée
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Isba dans les contreforts de l'Oural près d'Oufa

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Isba dans les contreforts de l'Oural près d'Oufa
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Village bachkir

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Village bachkir
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Moulins à vent dans la steppe de Baraba près d'Omsk

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Moulins à vent dans la steppe de Baraba près d'Omsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Cabane dans un village près des monts Oural

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Cabane dans un village près des monts Oural
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Pont au-dessus de l'Irkout

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Pont au-dessus de l'Irkout
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Balcon surplombant l'Irtych à Omsk

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Balcon surplombant l'Irtych à Omsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Élève de l'école municipale d'Irkoutsk

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Élève de l'école municipale d'Irkoutsk
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Le livre des voyages agréables dans des pays lointains, par al–Idrisi

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Le livre des voyages agréables dans des pays lointains, par al–Idrisi
Muhammad ibn Muhammad al–Idrisi (1100–1166 env.), géographe et conseiller arabe auprès du roi normand Roger II de Sicile, naquit dans une famille de princes andalous et maghrébins, ainsi que de saints chérifs, à Sebta (aujourd'hui Ceuta), sur la côte du Maroc. Al–Idrisi étudia à Cordoue et voyagea beaucoup dans la région méditerranéenne, en Anatolie, sur la côte nord–ouest de la péninsule Ibérique et probablement dans le sud de l'Angleterre. Il est mieux connu pour son Nuzhat al–mushtāq fī ikhtirāq al-āfāq (Le livre des voyages agréables dans des pays lointains), un des ouvrages les plus importants de la géographie médiévale. L'œuvre est également appelée en arabe Kitab Rujar (Le livre de Roger) et en latin Tabula Rogeriana. Pour la produire, al–Idrisi mêla le savoir grec et arabe à ses observations directes et aux comptes–rendus de voyageurs. Al–Idrisi travailla 15 ans sur l'ouvrage, qu'il acheva peu après la mort de Roger, en 1154. La copie de Nuzhat al–mushtaq présentée ici est la plus ancienne connue. Réalisée en 1325 environ, elle est désormais conservée à la Bibliothèque nationale de France, sous la cote MS Arabe 2221. Suivant le système ptolémaïque, al–Idrisi divisa l'hémisphère nord en sept zones climatiques de largeur égale, dont chacune est sous–divisée par des lignes de longitude formant dix sections égales, soit un total de 70 sections, ou cartes qui, si elles sont assemblées, constituent une carte rectangulaire du monde tel qu'il était connu à l'époque. Les cartes sont orientées avec le nord en bas. Le texte d'accompagnement décrit les conditions socioéconomiques, physiques, culturelles et politiques de chaque région. Il manque deux cartes dans cet exemplaire : celles de la première et de la seconde section de la septième zone climatique. Les premiers feuillets sont en partie endommagés. Le dernier feuillet, représentant la dixième section de la septième zone climatique, est manquant. D'autres feuillets du volume ont été raccommodés et présentent des lacunes. Cet exemplaire renferme un planisphère dessiné avec soin et soixante–huit cartes, chacune minutieusement tracée et coloriée. De toutes les cartes arabes médiévales, il s'agit probablement ici de celles faisant preuve du meilleur savoir–faire.

Recueil de trois textes concernant la région de Tombouctou

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Recueil de trois textes concernant la région de Tombouctou
Ce manuscrit contient trois courts traités datant des grands empires soudanais de l'Afrique de l'Ouest. Le premier est une réponse du saint soufi Ahmad al–Bakkai al–Kunti de Tombouctou (1803–1865 env.), adressée à Amadou III (1830–1862), troisième et dernier émir de l'éphémère empire du Macina (aujourd'hui au Mali). La réponse, sous la forme d'une fatwa, réprimande l'émir pour sa propre fatwa demandant aux fidèles d'arrêter ou de tuer « le chrétien qui arriva à Tombouctou en l'an 1270 [1853–1854] », à savoir l'Allemand explorateur de l'Afrique Heinrich Barth. L'expédition de Barth fut organisée par la Grande–Bretagne, à l'époque alliée de la Turquie ottomane. Dans sa réponse, al–Kunti, qui hébergeait Barth à Tombouctou, affirme que « l'imposteur » Amadou III ne jouit de l'autorité ni religieuse ni politique pour prendre des décisions en matière de guerre et de paix au nom des musulmans. Le second traité est une chronique anonyme d'Araouane (ou Arawan), village au nord de Tombouctou, en actuel Mali, qui servit d'entrepôt transsaharien. La chronique commence par la fondation d'Araouane, avant la conquête musulmane de l'Afrique du Nord. Elle comporte des biographies d'hommes notables du village, notamment Sidi Ahmed Ag Ada (1570–1640), son saint gardien. Elle inclut également une histoire des groupes ethniques qui peuplèrent la région, des conflits internes et externes durant l'Empire songhaï (qui s'effondra en 1591) et l'arrivée des Européens au XIXe siècle. Le troisième traité est une épître de Nuh ibn al–Tahir al–Fullani (mort en 1860), érudit de Tombouctou. Al–Fullani adresse sa lettre aux nombreux peuples de la région transsaharienne, les avisant que le fondateur de l'empire du Macina Amadou Hâmmadi Boubou (également appelé Sékou Amadou, mort en 1845) est le 12e et dernier des califes rédempteurs dont l'avènement annonce l'arrivée du mahdi (messie). Al–Fullani fonde sa déclaration sur les traditions des hadith qu'il cite, extraites d'un autre ouvrage sur l'histoire de l'Afrique soudanaise, Tārīkh al–fattāsh fī akhbār al–buldān wa al–juyūsh wa akābir al–nās (Histoire de l'investigateur des nouvelles des pays, des armées et des notables) de Mahmud Kuti ibn Mutawakkil Kuti (né en 1468 environ). L'épître témoigne des tensions religieuses et politiques qui sévissaient dans la région, alors que celle–ci s'efforçait de contrer l'intrusion européenne au XIXe siècle.

Les séances d'al–Hariri

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Les séances d'al–Hariri
Ce manuscrit contient la copie sans doute la plus précieuse qui soit parvenue jusqu'à nous d'al–Maqāmāt al–ḥarīriyah (Les séances d'al–Hariri). L'auteur, Abu Muhammad al–Qasim ibn 'Ali al–Hariri (1054–1122), homme de lettres, poète et philologue arabe, naquit près de Bassora, en Irak actuel. Il est mieux connu pour ses maqâmât (littéralement modes, souvent traduits par assemblées ou séances), recueil de 50 courts récits mêlant le commentaire social et moral aux expressions éclatantes de la langue arabe. Si le genre de la maqâma fut créé par Badi'al–Zaman al–Hamadhani (969–1008), ce sont les séances d'al–Hariri qui le définissent le mieux. Écrites dans un style de prose rimée appelée saj' et entrelacées de vers raffinés, les histoires se veulent divertissantes et éducatives. Chacune des anecdotes se déroulent dans une ville différente du monde musulman à l'époque d'al–Hariri. Elles racontent une rencontre, généralement lors d'un rassemblement de citadins, entre deux personnages fictifs : le narrateur al–Harith ibn Hammam et le protagoniste Abu Zayd al-Saruji. Au fil des siècles, l'ouvrage fut copié et commenté à de nombreuses reprises, mais seuls 13 exemplaires existant encore aujourd'hui possèdent des enluminures illustrant des scènes des histoires. Le manuscrit présenté ici, exécuté en 1237, fut à la fois copié et illustré par Yahya ibn Mahmud al–Wasiti, souvent considéré comme le premier artiste arabe. Il contient 99 miniatures de qualité exceptionnelle. Aucun autre exemplaire connu n'en renferme autant. Les miniatures, reconnues pour leur représentation saisissante de la vie musulmane au XIIIe siècle, sont considérées comme les peintures arabes les plus anciennes créées par un artiste dont l'identité est connue. Al–Wasiti, fondateur de l'école d'enluminure de Bagdad, fut également un calligraphe remarquable, comme en témoigne son beau style naskhi. La popularité quasi immédiate des maqâmât parvint jusqu'à l'Espagne arabe, où le rabbin Juda al–Ḥarizi (1165–1225 environ) traduisit les séances en hébreu sous le titre Mahberoth Itiel et composa par la suite ses propres Tahkemoni, ou séances hébraïques. L'ouvrage fut également traduit en de nombreuses langues modernes.
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