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Le caporal Arnold Hoke avance sur la ligne de front et les tranchées en Lorraine

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Le caporal Arnold Hoke avance sur la ligne de front et les tranchées en Lorraine
Arnold Stephen Hoke servit dans la Garde nationale de l'Iowa de février 1916 à août 1917, lorsqu'il rejoignit l'armée régulière des États–Unis. Membre de la Garde nationale, il participa à la campagne mexicaine de 1916–1917. Dans l'armée, il fut affecté à la compagnie M des mitrailleurs du 168e Régiment d'infanterie, faisant partie de la 42e Division d'infanterie. Peu après sa promotion au grade de caporal, le 1er novembre 1917, Hoke fut envoyé en France, via Halifax, en Nouvelle–Écosse. Il devint sergent le 4 avril 1918. En 1971, Hoke et son épouse, Clara Hoke, commencèrent à enregistrer leurs souvenirs de la Grande Guerre. Comme de nombreux autres soldats, Arnold Hoke plongea dans la guerre de tranchées en France non seulement sans savoir réellement ce qui l'attendait, mais également à l'origine sans arme. Il fut témoin de toutes les grandes batailles auxquelles l'armée américaine participa durant la Première Guerre mondiale, dont les offensives Champagne–Marne et Aisne–Marne, la bataille de Saint–Mihiel et l'offensive Meuse–Argonne. Ses descriptions simples des tranchées, des hommes disparus et du caractère aléatoire du sort des soldats constituent un rappel opportun du véritable coût de la guerre. Un extrait des enregistrements réalisés par Arnold Hoke en 1971 est présenté ici. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Le sergent Arnold Hoke imagine la vie après la guerre et assiste à la mort d'un soldat

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Le sergent Arnold Hoke imagine la vie après la guerre et assiste à la mort d'un soldat
Arnold Stephen Hoke servit dans la Garde nationale de l'Iowa de février 1916 à août 1917, lorsqu'il rejoignit l'armée régulière des États–Unis. Membre de la Garde nationale, il participa à la campagne mexicaine de 1916–1917. Dans l'armée, il fut affecté à la compagnie M des mitrailleurs du 168e Régiment d'infanterie, faisant partie de la 42e Division d'infanterie. Peu après sa promotion au grade de caporal, le 1er novembre 1917, Hoke fut envoyé en France, via Halifax, en Nouvelle–Écosse. Il devint sergent le 4 avril 1918. En 1971, Hoke et son épouse, Clara Hoke, commencèrent à enregistrer leurs souvenirs de la Grande Guerre. Comme de nombreux autres soldats, Arnold Hoke plongea dans la guerre de tranchées en France non seulement sans savoir réellement ce qui l'attendait, mais également à l'origine sans arme. Il fut témoin de toutes les grandes batailles auxquelles l'armée américaine participa durant la Première Guerre mondiale, dont les offensives Champagne–Marne et Aisne–Marne, la bataille de Saint–Mihiel et l'offensive Meuse–Argonne. Ses descriptions simples des tranchées, des hommes disparus et du caractère aléatoire du sort des soldats constituent un rappel opportun du véritable coût de la guerre. Un extrait des enregistrements réalisés par Arnold Hoke en 1971 est présenté ici. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Le sergent Arnold Hoke sur les lignes de front pendant l'offensive Meuse–Argonne

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Le sergent Arnold Hoke sur les lignes de front pendant l'offensive Meuse–Argonne
Arnold Stephen Hoke servit dans la Garde nationale de l'Iowa de février 1916 à août 1917, lorsqu'il rejoignit l'armée régulière des États–Unis. Membre de la Garde nationale, il participa à la campagne mexicaine de 1916–1917. Dans l'armée, il fut affecté à la compagnie M des mitrailleurs du 168e Régiment d'infanterie, faisant partie de la 42e Division d'infanterie. Peu après sa promotion au grade de caporal, le 1er novembre 1917, Hoke fut envoyé en France, via Halifax, en Nouvelle–Écosse. Il devint sergent le 4 avril 1918. En 1971, Hoke et son épouse, Clara Hoke, commencèrent à enregistrer leurs souvenirs de la Grande Guerre. Comme de nombreux autres soldats, Arnold Hoke plongea dans la guerre de tranchées en France non seulement sans savoir réellement ce qui l'attendait, mais également à l'origine sans arme. Il fut témoin de toutes les grandes batailles auxquelles l'armée américaine participa durant la Première Guerre mondiale, dont les offensives Champagne–Marne et Aisne–Marne, la bataille de Saint–Mihiel et l'offensive Meuse–Argonne. Ses descriptions simples des tranchées, des hommes disparus et du caractère aléatoire du sort des soldats constituent un rappel opportun du véritable coût de la guerre. Un extrait des enregistrements réalisés par Arnold Hoke en 1971 est présenté ici. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Le sergent Arnold Hoke au saillant de Saint–Mihiel et la retraite allemande

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Le sergent Arnold Hoke au saillant de Saint–Mihiel et la retraite allemande
Arnold Stephen Hoke servit dans la Garde nationale de l'Iowa de février 1916 à août 1917, lorsqu'il rejoignit l'armée régulière des États–Unis. Membre de la Garde nationale, il participa à la campagne mexicaine de 1916–1917. Dans l'armée, il fut affecté à la compagnie M des mitrailleurs du 168e Régiment d'infanterie, faisant partie de la 42e Division d'infanterie. Peu après sa promotion au grade de caporal, le 1er novembre 1917, Hoke fut envoyé en France, via Halifax, en Nouvelle–Écosse. Il devint sergent le 4 avril 1918. En 1971, Hoke et son épouse, Clara Hoke, commencèrent à enregistrer leurs souvenirs de la Grande Guerre. Comme de nombreux autres soldats, Arnold Hoke plongea dans la guerre de tranchées en France non seulement sans savoir réellement ce qui l'attendait, mais également à l'origine sans arme. Il fut témoin de toutes les grandes batailles auxquelles l'armée américaine participa durant la Première Guerre mondiale, dont les offensives Champagne–Marne et Aisne–Marne, la bataille de Saint–Mihiel et l'offensive Meuse–Argonne. Ses descriptions simples des tranchées, des hommes disparus et du caractère aléatoire du sort des soldats constituent un rappel opportun du véritable coût de la guerre. Un extrait des enregistrements réalisés par Arnold Hoke en 1971 est présenté ici. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Le sergent Arnold Hoke à la bataille de Château–Thierry

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Le sergent Arnold Hoke à la bataille de Château–Thierry
Arnold Stephen Hoke servit dans la Garde nationale de l'Iowa de février 1916 à août 1917, lorsqu'il rejoignit l'armée régulière des États–Unis. Membre de la Garde nationale, il participa à la campagne mexicaine de 1916–1917. Dans l'armée, il fut affecté à la compagnie M des mitrailleurs du 168e Régiment d'infanterie, faisant partie de la 42e Division d'infanterie. Peu après sa promotion au grade de caporal, le 1er novembre 1917, Hoke fut envoyé en France, via Halifax, en Nouvelle–Écosse. Il devint sergent le 4 avril 1918. En 1971, Hoke et son épouse, Clara Hoke, commencèrent à enregistrer leurs souvenirs de la Grande Guerre. Comme de nombreux autres soldats, Arnold Hoke plongea dans la guerre de tranchées en France non seulement sans savoir réellement ce qui l'attendait, mais également à l'origine sans arme. Il fut témoin de toutes les grandes batailles auxquelles l'armée américaine participa durant la Première Guerre mondiale, dont les offensives Champagne–Marne et Aisne–Marne, la bataille de Saint–Mihiel et l'offensive Meuse–Argonne. Ses descriptions simples des tranchées, des hommes disparus et du caractère aléatoire du sort des soldats constituent un rappel opportun du véritable coût de la guerre. Un extrait des enregistrements réalisés par Arnold Hoke en 1971 est présenté ici. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un incendie à l'hôpital de campagne

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un incendie à l'hôpital de campagne
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un raid aérien et à des tirs d'artillerie

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un raid aérien et à des tirs d'artillerie
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Après son enrôlement, l'infirmière Clara Lewandoske Hoke est affectée au camp Custer

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Après son enrôlement, l'infirmière Clara Lewandoske Hoke est affectée au camp Custer
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke rentre au pays et travaille en Géorgie

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke rentre au pays et travaille en Géorgie
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke visite Paris

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke visite Paris
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un bal avec des engagés, reçoit des soins dentaires et sa mâchoire est immobilisée, et ramasse des fleurs avec une amie

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke assiste à un bal avec des engagés, reçoit des soins dentaires et sa mâchoire est immobilisée, et ramasse des fleurs avec une amie
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke savoure un repas gastronomique et l'armistice est célébré

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke savoure un repas gastronomique et l'armistice est célébré
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Après l'armistice, l'infirmière Clara Lewandoske Hoke visite la ville de Reims, ravagée par la guerre

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Après l'armistice, l'infirmière Clara Lewandoske Hoke visite la ville de Reims, ravagée par la guerre
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke soigne des patients à Blois et danse avec les docteurs

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke soigne des patients à Blois et danse avec les docteurs
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke à bord d'un train pour Paris soudain visé par un raid aérien

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke à bord d'un train pour Paris soudain visé par un raid aérien
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke voyage outremer à bord d'un navire confronté à un sous–marin

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke voyage outremer à bord d'un navire confronté à un sous–marin
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke s'amuse lors d'un bal d'adieu et part afin de recevoir sa formation de base

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke s'amuse lors d'un bal d'adieu et part afin de recevoir sa formation de base
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke arrive au camp Custer, puis elle est affectée au service des pneumonies à streptocoque

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke arrive au camp Custer, puis elle est affectée au service des pneumonies à streptocoque
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke travaille dans un hôpital de campagne à Château–Thierry

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke travaille dans un hôpital de campagne à Château–Thierry
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke, de service de nuit, soigne les patients souffrants

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke, de service de nuit, soigne les patients souffrants
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.
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