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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke dans un hôpital de Paris et les Allemands tirent des obus le jour de la fête nationale

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke dans un hôpital de Paris et les Allemands tirent des obus le jour de la fête nationale
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke rencontre le général Pershing et le président Wilson visite le « service des gueules cassées »

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke rencontre le général Pershing et le président Wilson visite le « service des gueules cassées »
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

L'infirmière Clara Lewandoske Hoke tombe malade de la grippe

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L'infirmière Clara Lewandoske Hoke tombe malade de la grippe
Clara Lewandoske était infirmière depuis quatre ans lorsque les États–Unis entrèrent dans la Première Guerre mondiale. Elle s'enrôla dans l'U.S. Army Nurse Corps (ANC), puis elle fut envoyée en France avec l'American Expeditionary Forces (AEF) pour travailler dans des hôpitaux de campagne et dans un immense établissement à Paris, que le général John J. Pershing et le président Woodrow Wilson visitèrent. À l'époque de la visite de Wilson, Lewandoske était affectée au « service des gueules cassées », où les patients défigurés étaient traités. Dans ses mémoires, elle se souvient que « lorsque [Wilson] sortit du service, il était blanc comme un linge, incapable de continuer ». À l'entrée des États–Unis dans la Première Guerre mondiale, en avril 1917, l'ANC comptait 403 infirmières en service actif. En mai 1917, six hôpitaux (généraux) de base, avec plus de 400 infirmières, embarquèrent pour la France afin de servir auprès de la British Expeditionary Force (BEF). À la fin du mois de juin 1917, 1 176 infirmières étaient sur place. Un an plus tard, 12 186 infirmières (2 000 dans l'armée régulière et 10 186 dans la réserve) étaient en service actif, dans 198 bases à travers le monde. En 1922, Lewandoske épousa Arnold Stephen Hoke, vétéran de la Grande Guerre originaire de l'Iowa. En 1971, Clara et Arnold Hoke commencèrent à enregistrer leurs souvenirs du conflit. Un extrait des enregistrements réalisés par Clara Lewandoske Hoke en 1971 est présenté ici. Les enregistrements rendent compte de façon très vivante de son travail au sein de l'ANC, de sa formation de base à son retour aux États–Unis et à la vie civile après la guerre. Ces enregistrements sont conservés dans les collections du Projet d'histoire sur les anciens combattants américains de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles leurs récits personnels.

Types de construction pour abattis, à Fort Leavenworth, au Kansas, E.R.O.T.C.

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Types de construction pour abattis, à Fort Leavenworth, au Kansas, E.R.O.T.C.
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Achèvement du pont sur le lac, à Fort Leavenworth, au Kansas

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Achèvement du pont sur le lac, à Fort Leavenworth, au Kansas
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Construction d'un pont flottant de type « escamotable » sur le lac, à Fort Leavenworth

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Construction d'un pont flottant de type « escamotable » sur le lac, à Fort Leavenworth
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Vue d'un système de tranchées avec un abri contre les éclats d'obus, une barrière protectrice en terre, un parapet et une barrière de sacs de sable

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Vue d'un système de tranchées avec un abri contre les éclats d'obus, une barrière protectrice en terre, un parapet et une barrière de sacs de sable
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Chevaux de frise en fil de fer et barbelés enchevêtrés

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Chevaux de frise en fil de fer et barbelés enchevêtrés
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Prisonniers allemands exploitant une carrière à Chaudenay, supervisés par les hommes de la Compagnie « B »

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Prisonniers allemands exploitant une carrière à Chaudenay, supervisés par les hommes de la Compagnie « B »
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Usine de chemisiers, à Breuvannes

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Usine de chemisiers, à Breuvannes
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Camion d'arrosage Mack de 1000 gallons en action

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Camion d'arrosage Mack de 1000 gallons en action
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Dirigeable de la marine des États–Unis, à Saint–Nazaire, en France

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Dirigeable de la marine des États–Unis, à Saint–Nazaire, en France
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Mannequin utilisé pour l'entraînement à la baïonnette

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Mannequin utilisé pour l'entraînement à la baïonnette
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Carte d'identité de l'American Expeditionary Force, Frederick C. Stilson, 23e Bataillon du génie

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Carte d'identité de l'American Expeditionary Force, Frederick C. Stilson, 23e Bataillon du génie
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Le « soldat de retour » faisant une démonstration du masque à gaz anglais sous le regard admiratif et critique des proches et des amis, à Edwards, dans l'Illinois

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Le « soldat de retour » faisant une démonstration du masque à gaz anglais sous le regard admiratif et critique des proches et des amis, à Edwards, dans l'Illinois
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Lignes téléphoniques allemandes menant jusqu'au front de Verdun

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Lignes téléphoniques allemandes menant jusqu'au front de Verdun
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Escouade construisant des gabions et des fascines

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Escouade construisant des gabions et des fascines
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Intérieur de la caserne avant l'inspection du dimanche

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Intérieur de la caserne avant l'inspection du dimanche
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Rouleau compresseur Austin de 10 tonnes, camp numéro 2, à Saint–Nazaire

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Rouleau compresseur Austin de 10 tonnes, camp numéro 2, à Saint–Nazaire
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Tailleur de la compagnie, soldat de deuxième classe Roy L. Thompson dans son atelier

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Tailleur de la compagnie, soldat de deuxième classe Roy L. Thompson dans son atelier
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.
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