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Église de notre Sauveur et la protection de la Mère de Dieu. Cimetière de Vytegorskii. Empire russe

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Église de notre Sauveur et la protection de la Mère de Dieu.  Cimetière de Vytegorskii. Empire russe
Au début du 20e siècle, le photographe russe Sergei Mikhailovich Prokudin-Gorskii (1863–1944) utilisait un procédé de photographie en couleur particulier destiné à créer des archives visuelles de l'empire russe. Certaines des photographies de Prokudin-Gorskii remontent aux alentours de 1905, mais la majeure partie de son travail est datée de 1909 à 1915, années pendant lesquelles, avec l'appui du tsar Nicolas II et du ministre des Transports, il entreprit de longs voyages aux quatre coins de l'empire.

La description la plus récente et la plus exacte de toute l’Amérique

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La description la plus récente et la plus exacte de toute l’Amérique
On sait peu de choses du cartographe hollandais Jacob Meurs, né autour de 1619. Il était éditeur de cartes, graveur et libraire à Arnhem, et plus tard à Amsterdam. Après sa mort, sa femme, la « veuve Meurs », reprit son entreprise. Cette carte, qui se prétend « la description la plus récente et la plus exacte » des Amériques, suit de près la carte contemporaine du Nouveau Monde de Nicolas Sanson, également publiée en 1650, et contient même les « erreurs » commises par Sanson : la Californie y est représentée comme une île, tandis que les Grands Lacs sont déformés par rapport à des cartes ultérieures plus exactes. Le milieu du XVIIe siècle a vu la transition de la sensibilité esthétique et symbolique des cartographes hollandais à l'exactitude scientifique des cartographes français. Sanson et Meurs doivent tous deux leur cartographie de l'Amérique du Nord aux explorations de Samuel de Champlain dans les premières décennies des années 1600. Sur cette carte de Meurs, contrairement aux représentations plus strictement scientifiques de Sanson, les régions inexplorées de l'Amérique arctique sont encadrées par un dessin ornemental qui souligne leur caractère inconnu. Des créatures mythiques, dont un personnage ressemblant à Poséidon, sortent des eaux comme pour mieux suggérer les limites de la connaissance humaine.

Description de Malte

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Description de Malte
Della descrittione di Malta (Description de Malte) fut publié au cours de la première période de l'impression sur l'île de Malte. À l'époque, l'île était régie par un ordre religieux, l'ordre hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem (également appelé Chevaliers de Malte), qui établit Malte comme fief de l'empereur du Saint Empire romain. L'ordre étant exempt de l'autorité de l'évêque local, de nombreux conflits sur la juridiction ecclésiastique survinrent. En 1561, pour régler les disputes entre l'ordre et l'évêque, le pape ordonna à un inquisiteur résident de fonder un tribunal sur Malte, dotant la petite île d'une troisième autorité ecclésiastique. Lorsque le grand maître Jean-Paul de Lascaris-Castellar (1636–1657) établit une presse à Malte en 1642 pour imprimer des livres destinés à l'utilisation de l'ordre, il pensa que ses publications nécessitaient uniquement l'imprimatur (autorisation d'imprimer) de l'ordre et de l'inquisiteur papal. L'évêque de Malte Miguel Balaguer Camarasa exprima son désaccord. La dispute remonta jusqu'à Rome qui dut prendre une décision. En 1664, la presse de l'ordre, la seule sur Malte, fut finalement fermée. Les impressions ne recommencèrent qu'en 1756. Les premiers ouvrages imprimés de l'ordre furent d'un intérêt local mineur ou destinés à l'utilisation des membres de l'ordre. Visant une audience locale plus large, cet ouvrage de Giovanni Francesco Abela, vice-chancelier de l'ordre, fut une entreprise plus ambitieuse. Abela était étroitement impliqué dans la gestion de l'imprimerie et la censure des publications. Son livre richement illustré mettait en valeur le talent et la technique de l'imprimeur Paul Bonacota. Cet ouvrage était essentiellement destiné à instiller fierté et estime de soi parmi les classes instruites maltaises, chose étonnante pour l'époque, car les dirigeants de Malte n'étaient pas originaires de l'île.

La vie héroïque de sir Theuerdank

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La vie héroïque de sir Theuerdank
Les multiples démarches entreprises par l'empereur Maximilien Ier (1459–1519) pour cimenter son héritage incluent son projet de réécriture de l'épopée de sa propre vie en plusieurs ouvrages. Parmi ces derniers, seul Die geuerlicheiten vnd einsteils der geschichten des loblichen streytparen vnd hochberümbten helds vnd Ritters herr Tewrdannckhs (La vie héroïque de sir Theuerdank) fut achevé. En 1517, Johann Schönsperger, un imprimeur de Nuremberg, réalisa la première impression à très petit tirage qui devait être livrée aux autres princes et souverains après la mort de l'empereur. Écrit par Melchior Pfintzing et inspiré des documents fournis par l'empereur Maximilien, l'ouvrage relate les aventures de sir Theuerdank (Maximilien) qui, lors d'un voyage pour rejoindre son épouse, la belle Lady Ernreich (Marie de Bourgogne), dut affronter et surmonter 80 obstacles. Chacun des 118 chapitres est décoré d'un xylographe (gravure sur bois). Les dessins préparatoires de ces xylographes furent créés par les artistes Leonhard Beck, Hans Schäufelein et Hans Burgkmair l'Ancien. Le type de caractère noir de l'ouvrage, conçu par le calligraphe Vinzenz Rockner, allait avoir une grande influence dans le développement de la typographie allemande.

Les triomphes de Maximilien

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Les triomphes de Maximilien
Les multiples démarches entreprises par l'empereur Maximilien Ier (1459–1519) pour cimenter son héritage incluent son projet de triomphe allégorique monumental composé de plus de 200 gravures sur bois. De nombreux grands artisans de l'époque travaillèrent sur ce projet, mais il fut arrêté après la mort de l'empereur et ne fut donc jamais achevé. Le manuscrit de Munich du Turnierbuch (Livre des tournois, également intitulé Les triomphes de Maximilien) contient les copies des dessins préparatoires de Hans Burgkmair l'Ancien (1473–1531), auteur de près de la moitié des illustrations du triomphe. Les copies, probablement dessinées et colorées à la main par son fils Hans Burgkmair le Jeune (1500–1559 env.), sont d'une qualité exceptionnelle. Divers chevaliers et représentants de la cour de Maximilien y apparaissent, illustrant les différentes variantes des combats de tournois, à la fois à cheval et à pied. Né et ayant travaillé à Augsbourg, Hans Burgkmair l'Ancien était peintre et graveur sur bois. Hans Burgkmair le Jeune était également peintre et graveur.

Psautier de Frédéric II

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Psautier de Frédéric II
Ce remarquable psautier enluminé, décoré dans le style byzantin, fut commandé par l'empereur du Saint Empire romain Frédéric II de Sicile (1194–1250) pour sa troisième épouse, Isabelle d'Angleterre (1214–1241), qu'il épousa en 1235. La conception et l'exécution des enluminures du manuscrit combinent la palette de couleurs de l'art byzantin avec la représentation stylistique de la plasticité du corps humain courante dans l'école italienne à cette période. Probablement réalisé dans le scriptorium d'Acri, ville située dans les collines de la Calabre, le manuscrit est décoré d'une lettrine de la taille d'une page évoquant des scènes de la Nativité, enluminure la plus somptueuse de l'ouvrage, ainsi que de huit grandes enluminures illustrant la vie du Christ. Il est embelli de grandes lettrines ornées rouges, bleues, vertes et dans les nuances de brun, et de lettrines historiées, de lettrines ornementales et de nombreuses petites enluminures exposant des passages du Nouveau et de l'Ancien Testament. Le texte est écrit à l'encre rouge et noire, et l'ouvrage contient des lettrines rubriquées et bleues. La production du livre reflète la période complexe au cours de laquelle il fut créé. L'origine de l'iconographie de nombreuses images est allemande, la calligraphie est réalisée dans le style « rotondo » italien et les enluminures présentent des influences byzantines, notamment dans l'architecture, la draperie des vêtements et les personnages aux visages sombres et aux yeux enfoncés. Ce manuscrit splendide, réalisé pour la reine du Saint Empire romain, fut composé de façon à reproduire les émaux dorés et brillants de l'art de la mosaïque et montre le goût artistique italien atténué par des éléments du classicisme byzantin. De descendance allemande, Frédéric II fut l'un des monarques les plus importants du Moyen Âge. Mécène des arts et des sciences, Frédéric parlait six langues (latin, sicilien, allemand, français, grec et arabe) et régna sur la majeure partie des actuelles Italie, Allemagne ainsi que sur certaines régions de la France.

La défaite de Montaperti

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La défaite de Montaperti
Ce manuscrit contient un récit illustré des événements de la célèbre bataille de Montaperti du 4 septembre 1260, mentionnée par Dante dans La Divine Comédie. La bataille s'acheva avec la victoire de la faction armée des gibelins, soutenant l'empereur du Saint Empire romain et menée par Sienne, sur les guelfes, appuyant le pape et menée par Florence. Le manuscrit fut entièrement réalisé et illustré par Niccolò di Giovanni di Francesco di Ventura de Sienne, qui le signa et mentionna qu'il termina le texte le 1er décembre 1442 et les illustrations l'année suivante. On sait peu de choses de Niccolò, excepté son nom qui apparaît pour la première fois en septembre 1402. Il figure dans la liste des membres de la guilde des peintres en 1428 et il mourut le 1er avril 1464. Il est généralement convenu que le texte est le résultat d'une élaboration du mythe de Montaperti, datant d'au moins un siècle auparavant, et qu'il fut copié à partir d'un ou de plusieurs récits précédents, probablement avec des inclusions de faits et d'informations supplémentaires recueillis auprès de sources secondaires. Présentant encore les caractéristiques stylistiques du XIVe siècle, les illustrations furent également reproduites, selon toute vraisemblance, à partir d'anciens modèles. En l'absence de documents contemporains sur la bataille, ce récit très populaire constitue une source historique précieuse grâce à son exactitude apparente et la richesse de ses illustrations. Le manuscrit appartint à Giovanni Battista Caffardi, prieur général des Carmes. Il fut transféré de son emplacement d'origine, le couvent de Saint-Nicolas de Sienne, à la bibliothèque municipale des Intronati de Sienne au XVIIIe siècle sur ordre de Pierre Léopold, grand-duc de Toscane.

Atlas général de toutes les îles du monde

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Atlas général de toutes les îles du monde
Islario general de todas las islas del mundo (Atlas général de toutes les îles du monde) est la plus grande œuvre d'Alonso de Santa Cruz (1505–1567), cosmographe de Séville. L'atlas fut commencé au cours du règne de Charles Quint, empereur du Saint Empire romain et roi d'Espagne, et fut achevé sous celui de son fils, le roi Philippe II, à qui l'ouvrage fut dédié. Il comporte 111 cartes représentant toutes les îles et péninsules du monde, et montrant toutes les découvertes faites par les explorateurs européens entre 1400 et le milieu du XVIe siècle. L'atlas commence par une lettre de Santa Cruz destinée au roi, dans laquelle il justifie son œuvre et explique différents concepts géographiques. Une section intitulée « Breve introducción de la Sphera », dans laquelle Santa Cruz dresse une description cosmographique et illustrée de 14 éléments astronomiques, précède les cartes. Ces dernières sont organisées en quatre parties : la première aborde l'Atlantique Nord ; la seconde, la Méditerranée et les régions adjacentes ; la troisième, l'Afrique et l'océan Indien ; et la quatrième, le Nouveau Monde. La carte inclut des échelles de latitude et quelques-unes de longitude, ainsi que des étendues d'eau avec diverses échelles, dont l'orientation est indiquée par des roses des vents. L'Islario general est le premier atlas réalisé sur papier, remplaçant le parchemin qui était auparavant plus utilisé pour ce type de carte. Le style des cartes est plus fonctionnel, avec une esthétique moindre et davantage de détails géographiques que dans les atlas et cartes-portulans de la fin de l'époque médiévale. Grâce aux dates indiquées dans les textes descriptifs sur les îles, les érudits ont déterminé que les cartes furent réalisées au début de la quatrième décennie du XVIe siècle, en 1539 environ, et que l'ensemble de l'atlas fut achevé approximativement en 1560. Il est fort probable que l'Islario general fit partie d'une Geografía Universal que Santa Cruz ne termina jamais. Santa Cruz fut l'un des personnages clés de la Casa de Contratación (Chambre de Commerce) de Séville. L'un des ses premiers ouvrages fut un recueil de cartes sphériques du Nouveau Monde. Il créa plusieurs autres œuvres sur la cosmographie et la géographie, telles que Libro de longitudes, mais également sur des thèmes historiques, notamment Crónica de los Reyes Católicos (Chronique des rois catholiques) et Crónica de Carlos V (Chronique de Charles Quint). Après la mort de Santa Cruz, son successeur, Andrés García de Céspedes, tenta de s'attribuer le mérite de ses travaux. Sur la couverture, le nom d'Alonso de Santa Cruz a été effacé et celui de García de Céspedes a été inséré comme s'il était l'auteur. En outre, l'ouvrage est dédié au roi Philippe III. Dans le manuscrit proprement dit, des textes apocryphes ont été superposés sur les originaux dans le but de dissimuler les véritables auteurs et dates de création.

Armorial d'Ortenburg

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Armorial d'Ortenburg
Cet armorial fut probablement réalisé et enluminé par différentes mains en Bavière entre 1466 et 1473. Il contient des emblèmes héraldiques des quaternions (groupes de quatre, chacun représentant des groupes sociaux différents du Saint Empire romain). Il illustre également les motifs (pour la plupart) de princes, de nobles, de territoires, d'évêchés et de princes-évêques de Bavière. Malgré une réalisation quelque peu approximative, il s'agit d'une ressource précieuse pour l'héraldique du sud de l'Allemagne de la fin du XVe siècle. En 1534, le manuscrit entra en possession des comtes d'Ortenburg, ville située près de Passau et où les emblèmes héraldiques de la famille Ortenburg et de ses ancêtres furent ajoutés. Il resta aux mains de cette famille jusqu'en 1953, date à laquelle il fut vendu à la Bibliothèque d'État de Bavière, son lieu de conservation actuel.

Layla, numéro 3, 15 décembre 1923

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Layla, numéro 3, 15 décembre 1923
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne, lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Layla n'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 2, 15 novembre 1923

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Layla, numéro 2, 15 novembre 1923
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 1, 15 octobre 1923

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Layla, numéro 1, 15 octobre 1923
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne, lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Layla n'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 10, août 1925

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Layla, numéro 10, août 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 9, juillet 1925

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Layla, numéro 9, juillet 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 8, juin 1925

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Layla, numéro 8, juin 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 7, mai 1925

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Layla, numéro 7, mai 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 6, avril 1925

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Layla, numéro 6, avril 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 5, mars 1925

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Layla, numéro 5, mars 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 4, février 1925

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Layla, numéro 4, février 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.

Layla, numéro 3, janvier 1925

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Layla, numéro 3, janvier 1925
Layla a été le premier magazine féminin publié en Irak. Lancée en 1923, la revue traitait de sujets nouveaux et utiles dans des domaines aussi variés que la science, l'art, la littérature, la sociologie, mais aussi l'éducation des enfants et des jeunes filles, la santé familiale, et d'autres sujets relevant de l'économie domestique. L'établissement d'un régime républicain en Irak a été suivi par l'apparition de plusieurs journaux et magazines traitant de problématiques féminines. Layla a marqué les débuts de la presse féminine en Irak, et le magazine est considéré comme un des facteurs de l'émergence du mouvement des femmes arabes. Publié sous le bandeau, "Sur la voie de la renaissance de la femme irakienne", le magazine diffusait des informations à propos de culture, d'éducation, et de la famille, et a également pris la tête d'une campagne de libération de la femme. Ses éditoriaux avaient pour titre "Le creuset du Droit", "Actualités fiscales", "Le coin des femmes au foyer", "Informations insolites", "Anneaux de cordes magiques", etc. Le magazine s'intéressait également à la recherche médicale, à la littérature et à la poésie, et a publié des oeuvres des célèbres poètes irakiens al-Rasafi et al-Zahawi. L'un des plus importants articles parus dans le magazine a été l'éditorial du numéro 6, datant du 15 mai 1924, adressé à l'Assemblée constituante irakienne et lui demandant d'accorder leurs droits aux femmes. Laylan'a connu que 20 parutions. Son dernier numéro, daté du 15 août 1925, comprend un article au ton triste expliquant aux lecteurs la situation financière difficile du magazine. Peu de temps après, la propriétaire Paulina Hassoun a quitté l'Irak, et la revue a cessé de paraître.
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