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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 56, février 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 56, février 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 59, juin 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 59, juin 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 58, mai 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 58, mai 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 57, mars 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 57, mars 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 64, 1er octobre 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 64, 1er octobre 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 63, septembre 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 63, septembre 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 62, 15 août 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 62, 15 août 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 61, août 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 61, août 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 60, juillet 1918

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 60, juillet 1918
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 20, 8 mars 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 20, 8 mars 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 19, 1er mars 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 19, 1er mars 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 67, février 1919

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 67, février 1919
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 24, 8 avril 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 24, 8 avril 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 23, 1er avril 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 23, 1er avril 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 22, 25 mars 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 22, 25 mars 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 21, 15 mars 1916

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La Première ligne : organe de la 25e batterie de la 3e artillerie coloniale. Numéro 21, 15 mars 1916
La Première ligne fut le journal de tranchées publié par la 25e batterie du 3e Régiment d'artillerie coloniale des forces armées françaises pendant la Première Guerre mondiale. Produits par et pour les soldats sur le front et connus pour leur humour noir, les journaux de tranchées représentaient la vie sur les lignes de front et contenaient des poèmes, des dessins et divers articles. La plupart des numéros du journal comportaient quatre pages. Généralement bimensuel, il était tiré à l'aide d'un duplicateur, très probablement une machine miméographique. Le 3e Régiment d'artillerie coloniale fut engagé dans différentes batailles sur le front de l'Ouest tout au long de la guerre, notamment dans la bataille de la Marne (été 1914), dans la seconde bataille de Champagne (de septembre à novembre 1915), dans la bataille de la Somme (de juillet à novembre 1916), ainsi que dans des actions défensives et offensives en 1917 et en 1918. L'unité a subi de lourdes pertes et s'est vu décerné plusieurs citations et éloges pour sa bravoure. La copie présentée ici provient d'une collection de 47 numéros conservée à la Bibliothèque nationale de France. La collection comprend la note manuscrite suivante, envoyée « des premières lignes, le 9 mars 1916 » et adressée « au conservateur (des documents imprimés) de la Bibliothèque nationale de France » : « J'espère me rendre utile en vous envoyant un numéro de la Première ligne. Si cette publication vous intéresse, nous serions heureux de vous en envoyer une copie par semaine. » La note est signée « Cordialement, G. Bidier, Artillerie coloniale, Batterie 78, Zone 86 ».

Talmud de Babylone

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Talmud de Babylone
Près de 500 manuscrits hébreux sont conservés à la Bibliothèque d'État de Bavière et celui qui est présenté ici est sans aucun doute le plus précieux. Il s'agit du seul manuscrit au monde qui contient, à l'exception de deux feuilles manquantes, le texte complet du Talmud de Babylone, y compris des tracts non canoniques : Derekh Eretz zuta, Pirkei Azzai, Kallā, Sôferîm et Gērîm. Il comporte également des textes ne se rapportant pas directement au Talmud. Grâce aux nombreuses entrées des noms des propriétaires, il est possible de suivre l'histoire de ce manuscrit, qui fut écrit en France en 1342. Selon l'entrée d'un manuscrit d'une bible aujourd'hui conservée à la bibliothèque nationale et universitaire de Hambourg, ce Talmud fut en la possession des Ulma, une famille de commerçants juifs, à Pfersee près d'Augsbourg en 1772. Plus tard, il fut vendu au prieuré augustin de Polling (en Haute-Bavière). Après la dissolution du monastère en 1803, le manuscrit fut transféré avec d'autres ouvrages de grande valeur à la bibliothèque de la cour de Munich, aujourd'hui la Bibliothèque d'État de Bavière, où il est conservé. Le Talmud (terme signifiant instruction ou étude) est l'un des textes fondamentaux du judaïsme et rapporte les discussions rabbiniques sur le droit, l'éthique, les coutumes, l'histoire et la philosophie judaïques. Le Talmud de Babylone est une compilation d'opinions rabbiniques écrites entre le IIIe et le Ve siècle à Babylone (aujourd'hui en Irak) et en Israël actuel.
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