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Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 2, octobre 1934

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Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 2, octobre 1934
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume I, numéro 1, janvier 1934

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Le journal de l'Ouganda, volume I, numéro 1, janvier 1934
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 1, juillet 1934

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Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 1, juillet 1934
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 1, juillet 1935

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Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 1, juillet 1935
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 3, janvier 1936

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Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 3, janvier 1936
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 2, octobre 1935

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Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 2, octobre 1935
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 3, janvier 1935

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Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 3, janvier 1935
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 4, avril 1935

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Le journal de l'Ouganda, volume II, numéro 4, avril 1935
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda est établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume I, numéro 2, avril 1934

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Le journal de l'Ouganda, volume I, numéro 2, avril 1934
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 4, avril 1936

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Le journal de l'Ouganda, volume III, numéro 4, avril 1936
La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda fut établie à Entebbe, dans le protectorat de l'Ouganda, en 1923. Sa principale activité concerne la lecture de documents ainsi que l'organisation de conférences sur des sujets ayant trait à l'Ouganda. En 1933, la Société transfère son siège social à Kampala, où il est décidé de publier une revue régulière, Le journal de l'Ouganda. L'objectif du journal est « de recueillir et de publier des informations qui permettent d'approfondir nos connaissances sur l'Ouganda, et de les consigner avant qu'elles ne viennent à disparaître ». À partir de janvier 1934, quatre numéros sont publiés par an. Chaque numéro est composé de trois ou quatre articles d'envergure, une série de courtes notes, ainsi que des lettres et des analyses. Le journal contient des photographies et, dans certains cas, des cartes. Les sujets abordés portent sur la faune, la flore, l'histoire de l'Ouganda, les questions économiques, les langues et les coutumes du peuple du protectorat. Parmi les auteurs de renom ayant contribué au journal, on peut citer sir Albert Ruskin Cook (1870–1951), médecin missionnaire britannique, Ham Mukasa, ancien page du roi Mutesa Ier et secrétaire du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) et le célèbre anthropologiste britannique sir Edward Evan (E.E.) Evans-Pritchard (1902–1973). La Société littéraire et scientifique de l'Ouganda deviendra plus tard la Société de l'Ouganda.

Monument de Catherine II, Saint-Pétersbourg, Russie.

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Monument de Catherine II, Saint-Pétersbourg, Russie.
Cette épreuve photochrome du monument de Catherine II à Saint-Pétersbourg fait partie des "Vues de l'architecture et d'autres sites principalement en Pologne, Russie et Ukraine" du catalogue de la Detroit Publishing Company (1905). L'Impératrice Catherine II, également connue sous le nom de la Grande Catherine, a régné sur la Russie de 1762 à 1796. Elle a été très admirée, en particulier par la noblesse russe, qui bénéficia des réformes qu'elle institua. Le monument, érigé en 1873, se trouve sur une place donnant sur l'artère principale de Saint-Pétersbourg, la perspective Nevski. Il a été conçu par Mikhaïl Ossipovitch Mikeshin (1835-1896) et Alexandre Mikhaïlovitch Opekushin (1838-1923). Comme décrit dans l'ouvrage de Baedeker La Russie avec Téhéran, Port Arthur, et Pékin (1914), "une base de granit rougeâtre soutient un piédestal en forme de cloche portant une statue de l'Impératrice, haute de 4 mètres, vêtue d'un manteau d'hermine, tenant le sceptre impérial dans sa main droite et une couronne de laurier dans sa main gauche. Autour du piédestal se trouvent neuf personnages colossaux en bronze des contemporains célèbres de l'Impératrice. "Ces" contemporains célèbres "comprennent le général Alexandre Souvorov, le politicien le Prince Potiomkin, Ekaterina Dashkova, la première femme à présider l'Académie des Sciences de Russie, et le célèbre poète Gavrila Derjavine.

Les Fleuves Amazone et Madeira: Croquis et descriptions du carnet d'un explorateur

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Les Fleuves Amazone et Madeira: Croquis et descriptions du carnet d'un explorateur
Franz Keller était un ingénieur allemand qui passa 17 ans au Brésil. En 1867, Keller et son père furent engagés par le ministre des travaux publics de Rio de Janeiro pour explorer la rivière Madeira, afin de déterminer la possibilité de construire une ligne de chemin de fer qui contournerait les rapides qui rendaient  alors la navigation à vapeur impossible sur une partie de la rivière. Ce livre, publié sept ans plus tard, décrit la rivière et ses rapides, les tribus autochtones que Keller et son groupe rencontrèrent, ainsi que les animaux et la végétation de la forêt vierge encerclant les fleuves Amazone et Madeira. L'expédition de Keller s'étendit jusque dans l'est de la Bolivie. Il consacre un chapitre aux Indiens Mojo de cette région et à l'histoire de leurs interactions avec les missions jésuites à la fin du 17ème siècle.

Traités sur la variole

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Traités sur la variole
Cet exemplaire, composé de trois juan en deux volumes, est un ouvrage sur la variole écrit pendant la dynastie Ming (1368–1644). À cette époque, la médecine chinoise connaissait un développement important dans de nombreux domaines, notamment le diagnostic des maladies, les formats d'écriture des cas, la compilation et la diffusion des traités médicaux, la discussion sur l'éthique et les théories médicales, et la recherche sur l'histoire médicale en Chine. Dès le début de l'ère Ming, les maladies infectieuses et non infectieuses furent identifiées et décrites de façon précise, et leurs traitements furent définis. Outre la peste, la variole était le grand fléau de l'époque, et l'utilisation généralisée de la vaccination contre la variole au XVIIe siècle fut largement documentée. La variole n'épargna pas les empereurs chinois, à l'instar de l'empereur Kangxi qui survécut à la maladie et qui régna pendant 60 ans, de 1662 à 1722. Ce manuscrit fut écrit par Leng Kaitai, médecin de la dynastie Ming dont on sait peu de choses. L'inscription du titre indique que Leng était connu sous le prénom social de Xuanzan et qu'il naquit dans le comté de Yunyang, dans la province du Sichuan. Toutefois, son nom n'apparaît pas dans les nomenclatures géographiques locales de Yunyang. L'ouvrage n'inclut aucune préface ni postface. Le premier juan contient 30 essais ou poèmes en prose, le second juan est composé de 22 essais et le troisième de 27. Ces essais abordent des thèmes très variés relatifs à la variole, dont ses symptômes, les différences de symptômes entre les adultes et les nourrissons, les diagnostics des patients, y compris les femmes et les femmes enceintes, les degrés et les phases de la maladie, ainsi que les traitements. Plusieurs entrées sont écrites en vers, dont une est intitulée Fang miao fu (Vers sur les croutes réduites en poudre). Le format en vers des livres médicaux chinois était profondément ancré dans la tradition orale et fut utilisé pour faciliter la mémorisation des traitements et toucher un plus grand nombre de personnes.

Évangile de Banitsa

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Évangile de Banitsa
L'Évangile de Banitsa, écrit sur parchemin en slavon d'église à la fin du XIIIe siècle, est l'un des manuscrits témoignant de la fin de l'anonymat des hommes de lettres bulgares à cette époque. Le colophon indique que le scribe du manuscrit fut le prêtre Ioann et que ce dernier le réalisa à l'église Saint-Nicolas du village de Banitsa (vraisemblablement dans la région de Vratsa, dans le nord-ouest de l'actuelle Bulgarie). L'écriture caractéristique et l'enluminure ornementale, à l'encre noire, rouge et jaune, reflètent la tradition manuscrite locale. Le ménée (calendrier) inclut les jours de fête des saints bulgares Petka Turnovska (Paraskeva de Tarnovo), Ioann Rilski (Ivan de Rila), Tsar Pierre, et Cyrille et Méthode.

Évangile de Dobreisho

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Évangile de Dobreisho
Ce manuscrit sur parchemin, dont seulement une partie existe encore aujourd'hui, date du premier quart du XIIIe siècle. L'année 1221 écrite sur le manuscrit à une date beaucoup plus tardive fut peut-être copiée à partir d'un colophon d'origine par un propriétaire ultérieur. Appelé l'Évangile de Dobreisho, ce manuscrit constitue un témoignage important de l'histoire et des premiers développements de la langue bulgare. Ses riches enluminures, notamment deux miniatures pleine-page des évangélistes Luc et Jean, lui donnent un intérêt particulier. Le portrait de Jean est accompagné d'une image du prêtre Dobreisho, donateur et/ou copiste du manuscrit. L'iconographie des miniatures présente de nombreuses caractéristiques inhabituelles qui ne sont toujours pas pleinement expliquées. L'autre partie du manuscrit était conservée à la bibliothèque nationale à Belgrade, mais elle fut complètement détruite en 1941 par un incendie suite au bombardement de la ville par l'armée allemande.

Le recueil des grâces et la fontaine de charmes

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Le recueil des grâces et la fontaine de charmes
Ce manuscrit du XVIIe siècle contient le texte de Majmoo’a al-Latā’if wa-Yanbu‘ al-Zarā’if (Le recueil des grâces et la fontaine de charmes), recueil de prières ésotériques et mystiques. L'ouvrage comporte de nombreux chapitres, non numérotés et ne comptant souvent que quelques pages, avec des rubrications indiquant le début de chacun d'entre eux. Il porte sur l'opportunité spirituelle de la prière effectuée d'une façon particulière, un certain mois islamique et jour de la semaine, ou lors d'une occasion religieuse, citant les paroles du prophète Mahomet et d'autres traditions islamiques comme justifications. Le manuscrit commence par un chapitre sur la création de la lumière du prophète Mahomet, suivi de 12 chapitres, chacun consacré à un mois de l'année, puis de sept autres pour les jours de la semaine. Les autres chapitres abordent les « vertus des cinq prières » et une « prière sacrée à réciter le matin et le soir ». Le manuscrit conclut avec des poèmes faisant l'éloge de Mahomet. L'auteur de cet ouvrage n'a pas été identifié de façon définitive, mais le sujet, le style et la similitude avec d'autres œuvres suggèrent qu'il s'agit d'Aḥmad ibn ‘Alī ibn Yūsuf al- Būnī (mort en 1225), écrivain prolifique et théologien mystique de grande renommée. Une note au début du manuscrit indique que « Bayazid Al-Bastami est Tayfur ibn ‘Isa », faisant référence à un Perse soufi connu du IXe siècle, que d'autres sources identifient comme l'une des influences spirituelles d'al-Būnī. Théologien controversé considéré comme un magicien par ses opposants, al-Būnī naquit à Buna (anciennement Bône et aujourd'hui Annaba), en Algérie, et mourut vraisemblablement en Tunisie. Il est mieux connu pour son œuvre majeure Shams al-Ma‘ārif al-Kubra (Le grand soleil de la gnose), texte de référence sur l'occultisme islamique.

Lectionnaire des apôtres

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Lectionnaire des apôtres
Le Lectionnaire des apôtres, écrit sur parchemin au cours de la seconde moitié du XIIIe siècle, constitue l'une des sources linguistiques marquant la transition entre l'ancienne rédaction (de Preslav) et la nouvelle (athonite) de ce livre liturgique. Ce lectionnaire contient les parties des écritures et les leçons devant être lues dans le cadre de la liturgie des heures lors de jours particuliers. Le manuscrit présenté ici est remarquable pour ses lectures complètes tirées des Actes et épîtres des apôtres, et pour son ménée détaillé, calendrier mensuel indiquant les jours des fêtes des saints essentiel dans l'histoire et la culture médiévales religieuses bulgares.

Chasoslovets

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Chasoslovets
Ce chasoslovets (livre d'heures ou horologion) est le premier livre imprimé par l'imprimeur bulgare Iakov (Jacob) Kraikov. Recueil incluant des prières, des panégyriques, des vies des saints et des apocryphes, il servit de manuel aux prêtres et fut apprécié par les lecteurs laïques en quête de savoir et d'éclaircissements. Kraikov imprima le livre à Venise, dans la plus grande imprimerie slave cyrillique pour les Serbes et les Bulgares de la ville, qu'il acquit en 1566. Les caractères, la composition, la pagination et la riche décoration astucieuse (plus de 30 gravures) qu'il choisit témoignent des compétences typographiques de Kraikov. Le livre est aujourd'hui reconnu comme une rareté bibliographique, et des copies sont conservées dans plusieurs bibliothèques d'Europe, notamment la Bibliothèque vaticane, la British Library, le musée ecclésiastique de Belgrade et la bibliothèque Matica Srpska à Novi Sad. En Bulgarie, les copies du chasoslovets appartiennent à la Bibliothèque nationale de Sofia, à la bibliothèque municipale Ivan Vazov à Plovdiv et au Musée national d'histoire.

Copie de Bashkioi d'Histoire slavo-bulgare

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Copie de Bashkioi d'Histoire slavo-bulgare
Cette copie manuscrite d'Istoriia slavianobolgarskaia (Histoire slavo-bulgare) de Paisiĭ Khilendarski fut réalisée en 1841 par le prêtre Vasilii Manuilov. Outre le texte principal, le manuscrit contient les récits de deux miracles de la sainte Mère. Publiée pour la première fois en 1762, l'histoire de Paisiĭ encouragea les Bulgares, sous la tutelle de l'Empire ottoman depuis des siècles, à découvrir leur conscience nationale et à embrasser la langue bulgare. L'ouvrage eut tant d'influence qu'il fut copié à la main et utilisé comme source de nombreuses fois, sans que Paisii soit identifié comme en étant l'auteur ou que son nom soit associé à ces travaux. Cette copie manuscrite est un exemple de ce phénomène. Le copiste, originaire de la ville de Sliven, était le fils du prêtre Emanuil, fils du protohiereus (archiprêtre) Stephan. Il se présente comme le compilateur de la chronique et indique que le Hilandar Tsarstvenik de 1820 en est la source directe. Au lieu d'utiliser le titre d'origine, il intitula son ouvrage Tsarstvenik. Le colophon indique que le manuscrit fut réalisé dans la colonie des Bulgares de Bessarabie à Bashkioi, ou Novo Kirsovo. Avant d'entrer dans la collection de la Bibliothèque nationale de Bulgarie, le manuscrit était conservé à Tulcea, en Roumanie.

Ménée de juin à août avec synaxaire

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Ménée de juin à août avec synaxaire
Ce manuscrit sur parchemin du ménée de juin à août avec synaxaire (recueil de courtes biographies des saints) remonte à la seconde moitié du XIIIe siècle. Il tire toute son importance du fait qu'il est le premier manuscrit connu incluant le service du saint Ioakim Osogovski (Joachim d'Osogovo), ermite et fondateur du monastère appelé Sarandapor. Sa mémoire, célébrée le 16 août, fut populaire en Bulgarie et dansd'autres régions des Balkans au cours du Moyen Âge et pendant la période du Renouveau national bulgare des XVIIIe et XIXe siècles. Le manuscrit fut probablement produit au monastère de Saint-Joachim-d'Osogovo-et-Sarandapor (situé dans l'actuelle Ex-République yougoslave de Macédoine). Il manque le début et la fin du codex.
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