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Ruines près du pont et de la gare d’Auteuil. Vue d'ensemble des ruines

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Ruines près du pont et de la gare d’Auteuil. Vue d'ensemble des ruines
La guerre franco-allemande fut provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse lors de la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus tombèrent sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris capitula le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. La défaite française fut suivie d’une révolte populaire et l’établissement de la Commune de Paris en mars 1871, organisation gouvernementale révolutionnaire formée selon des principes anarchistes et socialistes. En mai 1871, la Commune fut réprimée dans un bain de sang par les troupes françaises du gouvernement d’Adolphe Thiers. La colonne impériale de la place Vendôme fut démantelée par les communards durant la brève période où ils contrôlèrent Paris. La répression de la Commune provoqua d’autres destructions importantes dans la ville par les communards, notamment les incendies du palais des Tuileries, du Louvre, et d’autres monuments. Les combats acharnés entre les communards et les forces contre-révolutionnaires détruisirent ou endommagèrent beaucoup d’autres structures également. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier du photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement, ainsi que les destructions entraînées par la Commune de Paris. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Pont ferroviaire près de la gare d’Auteuil

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Pont ferroviaire près de la gare d’Auteuil
La guerre franco-allemande fut provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse lors de la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus tombèrent sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris capitula le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. La défaite française fut suivie d’une révolte populaire et l’établissement de la Commune de Paris en mars 1871, organisation gouvernementale révolutionnaire formée selon des principes anarchistes et socialistes. En mai 1871, la Commune fut réprimée dans un bain de sang par les troupes françaises du gouvernement d’Adolphe Thiers. La colonne impériale de la place Vendôme fut démantelée par les communards durant la brève période où ils contrôlèrent Paris. La répression de la Commune provoqua d’autres destructions importantes dans la ville par les communards, notamment les incendies du palais des Tuileries, du Louvre, et d’autres monuments. Les combats acharnés entre les communards et les forces contre-révolutionnaires détruisirent ou endommagèrent beaucoup d’autres structures également. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier du photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement, ainsi que les destructions entraînées par la Commune de Paris. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Le siège de Paris : album historique des malheurs de la France

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Le siège de Paris : album historique des malheurs de la France
La guerre franco-allemande fut provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse lors de la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus tombèrent sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris capitula le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. La défaite française fut suivie d’une révolte populaire et l’établissement de la Commune de Paris en mars 1871, organisation gouvernementale révolutionnaire formée selon des principes anarchistes et socialistes. En mai 1871, la Commune fut réprimée dans un bain de sang par les troupes françaises du gouvernement d’Adolphe Thiers. La colonne impériale de la place Vendôme fut démantelée par les communards durant la brève période où ils contrôlèrent Paris. La répression de la Commune provoqua d’autres destructions importantes dans la ville par les communards, notamment les incendies du palais des Tuileries, du Louvre, et d’autres monuments. Les combats acharnés entre les communards et les forces contre-révolutionnaires détruisirent ou endommagèrent beaucoup d’autres structures également. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier du photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement, ainsi que les destructions entraînées par la Commune de Paris. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Palais de la Légion d’honneur

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Palais de la Légion d’honneur
La guerre franco-allemande fut provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse lors de la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus tombèrent sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris capitula le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. La défaite française fut suivie d’une révolte populaire et l’établissement de la Commune de Paris en mars 1871, organisation gouvernementale révolutionnaire formée selon des principes anarchistes et socialistes. En mai 1871, la Commune fut réprimée dans un bain de sang par les troupes françaises du gouvernement d’Adolphe Thiers. La colonne impériale de la place Vendôme fut démantelée par les communards durant la brève période où ils contrôlèrent Paris. La répression de la Commune provoqua d’autres destructions importantes dans la ville par les communards, notamment les incendies du palais des Tuileries, du Louvre, et d’autres monuments. Les combats acharnés entre les communards et les forces contre-révolutionnaires détruisirent ou endommagèrent beaucoup d’autres structures également. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier du photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement, ainsi que les destructions entraînées par la Commune de Paris. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Paris. Rue Royale. Prise de vue depuis les marches de la Madeleine

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Paris. Rue Royale. Prise de vue depuis les marches de la Madeleine
La guerre franco-allemande fut provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse lors de la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus tombèrent sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris capitula le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. La défaite française fut suivie d’une révolte populaire et l’établissement de la Commune de Paris en mars 1871, organisation gouvernementale révolutionnaire formée selon des principes anarchistes et socialistes. En mai 1871, la Commune fut réprimée dans un bain de sang par les troupes françaises du gouvernement d’Adolphe Thiers. La colonne impériale de la place Vendôme fut démantelée par les communards durant la brève période où ils contrôlèrent Paris. La répression de la Commune provoqua d’autres destructions importantes dans la ville par les communards, notamment les incendies du palais des Tuileries, du Louvre, et d’autres monuments. Les combats acharnés entre les communards et les forces contre-révolutionnaires détruisirent ou endommagèrent beaucoup d’autres structures également. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier du photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement, ainsi que les destructions entraînées par la Commune de Paris. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Description de l'Égypte. Seconde édition. Histoire naturelle. Volume I (plaques)

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Description de l'Égypte. Seconde édition. Histoire naturelle. Volume I (plaques)
Lorsque Napoléon Bonaparte envahit l’Égypte en 1798, il fut accompagné de plus de 160 chercheurs et scientifiques. Connu sous le nom de Commission des Sciences et des Arts en Égypte, ce groupe d’experts entreprit une vaste étude de l’archéologie, de la topographie et de l’histoire naturelle du pays. Un soldat prenant part à cette expédition trouva la fameuse pierre de Rosette que Jean-François Champollion (1790-1832), érudit et linguiste français, utilisa par la suite pour résoudre un grand nombre des mystères qui entourèrent longtemps la langue de l’Égypte antique. En 1802, Napoléon autorisa la publication des résultats de la Commission dans une œuvre monumentale en plusieurs volumes comprenant des planches, des cartes, des essais scientifiques et un index détaillé. La publication de l’Édition Impériale originale commença en 1809. Elle s’avéra si populaire qu’une deuxième édition fut publiée sous la Restauration postnapoléonienne des Bourbons. L’« Édition Royale » (1821-1829) provenant des collections de la Bibliotheca Alexandrina est présentée ici.

Description de l'Égypte. Seconde édition. État moderne. Volume II (plaques)

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Description de l'Égypte. Seconde édition. État moderne. Volume II (plaques)
Lorsque Napoléon Bonaparte envahit l’Égypte en 1798, il fut accompagné de plus de 160 chercheurs et scientifiques. Connu sous le nom de Commission des Sciences et des Arts en Égypte, ce groupe d’experts entreprit une vaste étude de l’archéologie, de la topographie et de l’histoire naturelle du pays. Un soldat prenant part à cette expédition trouva la fameuse pierre de Rosette que Jean-François Champollion (1790-1832), érudit et linguiste français, utilisa par la suite pour résoudre un grand nombre des mystères qui entourèrent longtemps la langue de l’Égypte antique. En 1802, Napoléon autorisa la publication des résultats de la Commission dans une œuvre monumentale en plusieurs volumes comprenant des planches, des cartes, des essais scientifiques et un index détaillé. La publication de l’Édition Impériale originale commença en 1809. Elle s’avéra si populaire qu’une deuxième édition fut publiée sous la Restauration postnapoléonienne des Bourbons. L’« Édition Royale » (1821-1829) provenant des collections de la Bibliotheca Alexandrina est présentée ici.

Description de l'Égypte. Seconde édition. État moderne. Volume I (plaques)

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Description de l'Égypte. Seconde édition. État moderne. Volume I (plaques)
Lorsque Napoléon Bonaparte envahit l’Égypte en 1798, il fut accompagné de plus de 160 chercheurs et scientifiques. Connu sous le nom de Commission des Sciences et des Arts en Égypte, ce groupe d’experts entreprit une vaste étude de l’archéologie, de la topographie et de l’histoire naturelle du pays. Un soldat prenant part à cette expédition trouva la fameuse pierre de Rosette que Jean-François Champollion (1790-1832), érudit et linguiste français, utilisa par la suite pour résoudre un grand nombre des mystères qui entourèrent longtemps la langue de l’Égypte antique. En 1802, Napoléon autorisa la publication des résultats de la Commission dans une œuvre monumentale en plusieurs volumes comprenant des planches, des cartes, des essais scientifiques et un index détaillé. La publication de l’Édition Impériale originale commença en 1809. Elle s’avéra si populaire qu’une deuxième édition fut publiée sous la Restauration postnapoléonienne des Bourbons. L’« Édition Royale » (1821-1829) provenant des collections de la Bibliotheca Alexandrina est présentée ici.

Description de l'Égypte. Seconde édition. Antiquités. Volume II (plaques)

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Description de l'Égypte. Seconde édition. Antiquités. Volume II (plaques)
Lorsque Napoléon Bonaparte envahit l’Égypte en 1798, il fut accompagné de plus de 160 chercheurs et scientifiques. Connu sous le nom de Commission des Sciences et des Arts en Égypte, ce groupe d’experts entreprit une vaste étude de l’archéologie, de la topographie et de l’histoire naturelle du pays. Un soldat prenant part à cette expédition trouva la fameuse pierre de Rosette que Jean-François Champollion (1790-1832), érudit et linguiste français, utilisa par la suite pour résoudre un grand nombre des mystères qui entourèrent longtemps la langue de l’Égypte antique. En 1802, Napoléon autorisa la publication des résultats de la Commission dans une œuvre monumentale en plusieurs volumes comprenant des planches, des cartes, des essais scientifiques et un index détaillé. La publication de l’Édition Impériale originale commença en 1809. Elle s’avéra si populaire qu’une deuxième édition fut publiée sous la Restauration postnapoléonienne des Bourbons. L’« Édition Royale » (1821-1829) provenant des collections de la Bibliotheca Alexandrina est présentée ici.

Rue de l'Empereur

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Rue de l'Empereur
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Rue Bragança

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Rue Bragança
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Rue Rhenania

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Rue Rhenania
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Rue et chemin Joinville

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Rue et chemin Joinville
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Rue Dom Afonso

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Rue Dom Afonso
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Vues de Petrópolis

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Vues de Petrópolis
La ville de Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. Cet album, qui date des années 1860, contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Il fut réalisé par Pedro Hees (1841-1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée. L'album fait partie de la collection Thereza Christina Maria de la Bibliothèque nationale du Brésil. La collection est composée de 21 742 photographies que l'empereur Pierre II réunit sa vie durant, puis légua à la bibliothèque nationale.

Cascatinha do Retiro

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Cascatinha do Retiro
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

Rue Dona Januária

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Rue Dona Januária
Cette photographie provient de l'album Vistas de Petrópolis (Vues de Petrópolis) qui fut réalisé dans les années 1860 par Pedro Hees (1841–1880), un des pionniers les plus importants de la photographie brésilienne. Petrópolis fut fondée par décret gouvernemental le 16 mars 1843 et fut nommée en l'honneur de l'empereur Pierre II (1825–1891, règne : 1831-1889). Ce décret prévoyait la construction du palais impérial et de ses dépendances et jardins, qui allaient former la Quinta Imperial de Petrópolis (ferme impériale de Petrópolis). Appelée la Cité impériale en raison de ses liens avec la famille royale, Petrópolis servait de résidence d'été aux empereurs brésiliens et fut la capitale de l'État de Rio de Janeiro de 1894 à 1902. L'album contient 15 vues montrant l'essentiel du patrimoine de la ville, notamment le palais, l'Église Mère, la chute d'eau, des rues et le nouveau cimetière. Hees gérait un studio de photographie à Petrópolis que son fils Otto Hees (1870-1941) reprit après sa mort prématurée.

La situation actuelle des Antilles : avec une description précise des possessions des différentes puissances européennes

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La situation actuelle des Antilles : avec une description précise des possessions des différentes puissances européennes
Ce livre, publié à Londres en 1778, est une courte compilation d'informations sur les Antilles. Comme le long titre l'indique, il contient « un récit authentique des premiers découvreurs de ces îles et des régions voisines, incluant des détails sur leur situation géographique, leur superficie, leurs frontières, leur sol, leurs produits, leurs échanges, leur commerce, leurs habitants, leur force, leur gouvernement et leurs religions, ainsi que les principaux ports et baies, informations collectées sur le terrain pendant la dernière guerre par des officiers des forces de Sa Majesté et assidûment comparées à toutes celles des narrateurs authentiques ». Bien que la Révolution américaine fît rage à l'époque de la parution du livre, la « dernière guerre » mentionnée dans le sous-titre fait référence à la guerre de Sept Ans (1756–1763 ; appelée en Amérique la guerre de la Conquête) qui entraîna des changements territoriaux majeurs aux Amériques. Pendant la guerre, la Grande-Bretagne s'empara des colonies françaises du Canada, de la Guadeloupe, de la Martinique, de Sainte-Lucie, de la Dominique, de la Grenade, de Saint-Vincent, des Grenadines et de Tobago. En vertu du traité de Paris de 1763, elle rendit la Guadeloupe, la Martinique et Sainte-Lucie à la France, et conserva les autres territoires. L'Espagne céda également la Floride à la Grande-Bretagne. Le livre décrit les possessions insulaires et continentales de l'Espagne, de la Grande-Bretagne et de la France, et il consacre quelques pages aux colonies néerlandaises et danoises.

Méthode de protection des ports et des populations de toutes les côtes des Antilles

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Méthode de protection des ports et des populations de toutes les côtes des Antilles
Durant la seconde moitié du XVIIe siècle, la piraterie endémique menaçait les intérêts économiques et commerciaux de l'Espagne dans les Antilles. Elle vint également compliquer la lutte continuelle entre l'Espagne, la France et l'Angleterre pour la prééminence dans les Caraïbes. Ce livre, publié vers 1694, inclut des recommandations, apparemment adressées par le gouverneur Sébastien de Roteta de Trinidad au roi Charles II, sur la fortification des ports espagnols dans les Antilles pour combattre les attaques des pirates. Le livre est composé de deux parties, chacune présentant une croix de fer imprimée au sommet de la première page. La première partie aborde la démographie de la région, et les perturbations de la navigation et du commerce causées par la piraterie. La seconde partie est consacrée à l'histoire de la piraterie dans la région, mentionnant qu'elle aurait commencé en 1655 et continué pendant environ les « quarante années » qui suivirent. Elle indique que les ports d'Iamayca del Caymiro (Jamaïque) et de l'île de la Tortue servaient de bases aux activités des pirates. Cette partie décrit également le réseau d'activités économiques des îles des Antilles. Les cinq dernières pages contiennent une description des îles du Vent (aujourd'hui les Antilles néerlandaises), accompagnée de notes sur leur situation géographique, leur démographie et les produits cultivés.

Le livre de la nature

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Le livre de la nature
Das Buch der Natur (Le livre de la nature) est un compendium scientifique médiéval en latin. Il fut édité et traduit en allemand au XIVe siècle par Konrad von Megenberg, érudit et auteur allemand qui naquit probablement en 1309 à Mainberg (Megenberg), près de Schweinfurt, en Bavière, et qui mourut à Ratisbonne en 1374. Konrad étudia à Erfurt, puis à l'université de Paris, où il enseigna la philosophie et la théologie de 1334 à 1342. Il s'installa à Ratisbonne en 1342, et il officia en tant que prêtre de paroisse et prédicateur. Par la suite, Konrad devint chanoine de la cathédrale et membre du conseil municipal. Il écrivit au moins 30 livres, dont Das Buch der Natur est le plus connu. Le livre repose sur le recueil latin intitulé Liber de natura rerum du prêtre dominicain du XIIIe siècle Thomas de Cantimpré. Toutefois, Konrad apporta de nombreuses révisions à l'œuvre d'origine, omettant une grande partie du contenu et introduisant ses propres observations et corrections. L'ouvrage qui en résulta est une étude de l'ensemble des connaissances de l'époque en histoire naturelle. Le livre est composé de huit parties : (1) Sur l'humanité, l'anatomie et la physiologie (50 chapitres), (2) Le paradis et les sept planètes, l'astronomie et la météorologie (33 chapitres), (3) La zoologie (69 quadrupèdes, 72 oiseaux, 20 monstres marins, 29 poissons, 37 serpents, lézards et reptiles, et 31 vers), (4) Les arbres ordinaires (55 chapitres), les arbres aromatiques (29 chapitres), (5) Les herbes et les végétaux (89 chapitres), (6) Les pierres précieuses et semi-précieuses (86 chapitres), (7) Dix sortes de métal et (8) Les rivières et les étendues d'eau. Il inclut également une partie sur les races humaines de type monstrueux que l'on trouve à l'est. Le choix et l'organisation des thèmes sont caractéristiques des nombreuses encyclopédies médiévales. Très populaire jusqu'au XVIe siècle, le livre existe dans de multiples copies manuscrites. Il fut imprimé pour la première fois à Augsbourg en 1475. L'édition présentée ici parut peu après à Augsbourg en 1481.
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