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Lettre de Gabriela Mistral, en 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, en 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 28 janvier au 8 février 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 28 janvier au 8 février 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 8 février 1921, de Temuco (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 8 février 1921, de Temuco (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 6 mars 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 6 mars 1921, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, en 1922, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, en 1922, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 15 février 1915, de Los Andes (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 15 février 1915, de Los Andes (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 17 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 17 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 18 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 18 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, en 1915, de Los Andes (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, en 1915, de Los Andes (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 20 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 20 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 14 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 14 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 24 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 24 mars 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 27 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 27 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 28 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 28 mai 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, en 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, en 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 7 avril 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 7 avril 1915, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 14 novembre 1918, de Punta Arenas (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 14 novembre 1918, de Punta Arenas (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, en 1922, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, en 1922, de Santiago (Chili), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Lettre de Gabriela Mistral, du 29 janvier 1923, de San Angel (Mexique), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)

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Lettre de Gabriela Mistral, du 29 janvier 1923, de San Angel (Mexique), à Manuel Magallanes Moure, à Concepción (Chili)
Gabriela Mistral (1889–1957), pseudonyme de Lucila Godoy Alcayaga, fut professeur, diplomate et poétesse, et le premier auteur latino-américain à obtenir le prix Nobel de littérature, en 1945. Née dans la ville de Vicuña, au nord du Chili, Gabriela Mistral développa très tôt un intérêt pour la poésie, la littérature, la Bible et le milieu naturel, particulièrement celui de Monte Grande, où elle passa son enfance. En grande partie autodidacte, elle travailla dès l'âge de 15 ans comme aide-enseignante pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère. Elle obtint un diplôme d'enseignement en 1910. Puis, elle commença à écrire régulièrement des articles pour des journaux régionaux. Gabriela Mistral voyagea à travers tout le Chili et prit pleinement conscience des conditions socio-économiques défavorables du pays. Elle écrivit de la poésie, de la prose et des essais, et elle entretint une riche correspondance avec d'autres intellectuels. En 1914, elle remporta le prix du concours de poésie Juegos Florales (Jeux floraux) grâce à son œuvre Sonetos de la Muerte (Sonnets de la mort). Le poète chilien Manuel Magallanes Moure (1878–1924), avec qui Gabriela Mistral avait récemment commencé une correspondance, fut l'un des juges du concours. Leur échange de lettres continua jusqu'en 1923 et resta secret pour la majeure partie, car Magallanes Moure était marié et la relation avec Gabriela Mistral, une femme célibataire, aurait pu être jugée inappropriée. La correspondance incluait près de 80 lettres et un télégramme écrit par Gabriela Mistral. Cette dernière détruisit par la suite la plupart des lettres de Magallanes Moure (seules cinq d'entre elles existent encore aujourd'hui), pensant qu'il en avait fait de même. Les érudits débattent de la nature des rapports entre ces deux poètes ; certains affirment qu'ils reposaient sur une reconnaissance artistique mutuelle, tandis que pour d'autres, il s'agissait d'une relation amoureuse. L'une des 24 lettres de Gabriela Mistral destinées à Magallanes Moure est présentée ici, tirée du catalogue de l'Université catholique pontificale du Chili. Les lettres reflètent différents aspects du personnage de Gabriela Mistral, et montrent la vigueur et la richesse de sa prose.

Le livre des rois

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Le livre des rois
Ce manuscrit contenant 215 illustrations est l'un des plus grands cycles picturaux du Shāhnāma, le livre des rois en persan. Plusieurs peintres réalisèrent son enluminure à des moments différents ; c'est la raison pour laquelle les miniatures ne présentent pas toutes le même style. On peut identifier quatre groupes distincts, dont les deux plus anciens datent du XVIe siècle. Les miniatures du premier groupe montrent des compositions grand format comportant de nombreux personnages, exécutées avec minutie à l'aide de couleurs éclatantes. La composition et les dessins des personnages des images du second groupe sont de moindre qualité. Le troisième groupe comporte deux illustrations format réel dans le style de la cour d'Ispahan qui furent ajoutées au début du XVII e  siècle. Le quatrième groupe, en revanche, contient des miniatures qui ne semblent pas être liées à la tradition iranienne et qui pourraient être d'origine indienne. Quelques-unes des illustrations les plus remarquables de ce manuscrit furent probablement peintes à la cour du sultan Ibrāhīm Mīrzā à Mashhad avant 1565. Le Shāhnāma fut réalisé à la fin du Xe siècle par le poète Firdawsi (940–1020 env.). Cette épopée nationale tant appréciée est un récit héroïque de la Perse préislamique, des débuts mythiques à l'invasion arabe au VIIe siècle. Les légendes font partie intégrante de l'identité iranienne et leur statut dans la littérature mondiale est comparable à celui des épopées d'Homère et des pièces de William Shakespeare.
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