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Plantation en Ouganda. Café, latex et cacao

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Plantation en Ouganda. Café, latex et cacao
Plantation en Ouganda. Café, latex et cacao est une analyse complète des plantations agricoles au début du XXe siècle en Ouganda, écrite par deux dirigeants d'entreprises ougandaises. Selon la préface, l'ouvrage avait pour but d'aider les planteurs blancs attirés par l'Ouganda grâce à ses sols fertiles et à son climat favorable, mais qui, souvent, ne connaissaient pas les conditions agricoles du pays. Il aborde trois produits majeurs : le café, le latex, (aujourd'hui appelé simplement caoutchouc) et le cacao, et se concentre sur deux provinces, le Buganda et le Bugosa, où les plantations agricoles étaient les plus développées. Les chapitres abordent les caractéristiques physiques du pays, l'histoire des produits en Ouganda, les récoltes et les rendements, la durée de vie probable des arbres et comment la prolonger, le choix de la terre pour les plantations, les pépinières, l'aménagement d'une plantation, le défrichage et l'ensemencement, les mauvaises herbes et le sarclage, les usines et la machinerie, la récolte et la préparation du café, du latex et du cacao, la gestion de la propriété, les coûts d'établissement des plantations et de la préparation des produits, les parasites et les maladies fongiques. Des tableaux fournissent de nombreuses informations sur les précipitations, les rendements, les prix, le nombre recommandé d'arbres à planter par hectare et les distances entre les arbres. Les illustrations représentent des caféiers, des hévéas et des cacaoyers, les mauvaises herbes courantes et les méthodes d'extraction du latex.

Tucker d'Ouganda : artiste et apôtre, 1849-1914

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Tucker d'Ouganda : artiste et apôtre, 1849-1914
Tucker d'Ouganda : artiste et apôtre, 1849-1914 est une biographie d'Alfred R. Tucker, premier évêque de l'Ouganda. Le livre retrace le début de la vie de Tucker en Angleterre, sa formation et son succès en tant qu'artiste, ses études à Oxford, son travail comme membre du clergé anglican et sa vocation de missionnaire en Afrique. Consacré évêque de l'Afrique équatoriale de l'Est par l'archevêque de Canterbury le 25 avril 1890, Tucker partit pour l'Afrique le jour même. Il entreprit un voyage à caractère topographique au protectorat de l'Ouganda entre la fin des années 1880 et le début de l'année 1891, où il découvrit le pays dans une situation précaire, miné par les conflits entre les missionnaires chrétiens et les commerçants arabes, les rivalités entre les protestants et les catholiques romains, et les graves difficultés économiques. Au cours des sept années qui suivirent, Tucker quitta à deux reprises Mombasa, au Kenya, où il était installé, pour visiter longuement l'Ouganda. Il contribua à l'implantation de l'Église anglicane, et il fut également le témoin de la famine dévastatrice et des épidémies de fièvre. En 1897, Tucker devint le premier évêque du diocèse de l'Ouganda récemment fondé. En 1899, il fut transféré à Mengo, près de l'actuelle ville de Kampala, où il officia jusqu'en 1911. En sa qualité d'évêque, il œuvra à la constitution d'une Église ougandaise autonome et dotée de ses propres dirigeants, et établit des écoles, insistant sur l'importance de l'éducation. Il servit les dernières années de sa vie comme chanoine de la cathédrale de Durham au nord de l'Angleterre, où il mourut en 1914.

Grondements de l'Ouganda

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Grondements de l'Ouganda
Grondements de l'Ouganda est un livre de réflexions sur différents aspects de la vie moderne, écrit par un Anglais non identifié vivant en Ouganda au début du XXe siècle. Le pseudonyme de l'auteur, Critolaos, provient d'un ancien philosophe grec relativement obscur, appartenant à l'école des sceptiques. Le premier chapitre, intitulé « Civilisation lointaine », décrit l'expérience de l'auteur lorsqu'il vivait dans une paillote baganda, construite selon ses propres spécifications. Les chapitres suivants traitent de ce que l'auteur considère, avec le détachement d'un reclus en Afrique, comme les maux des civilisations modernes européennes et américaines : la publicité, le mercantilisme, un appât du gain démesuré, un système d'éducation défaillant et des accidents d'automobiles. Le dernier chapitre retrace le début de la vie de l'auteur alors qu'il était prospecteur d'or en Colombie-Britannique, au Canada, incluant des réflexions sur la perspective de « faire fortune » et les injustices auxquelles les prospecteurs devaient souvent faire face. Bien qu'un érudit indique que le vrai nom de l'auteur était H.B. Cater et qu'il écrivit un livre sur le chômage publié en 1905 sous le même pseudonyme, l'on sait peu de choses sur sa véritable identité, la raison pour laquelle il s'installa en Ouganda ou la durée de son séjour.

Histoire de la vie de Mackay d'Ouganda racontée pour les garçons

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Histoire de la vie de Mackay d'Ouganda racontée pour les garçons
Histoire de la vie de Mackay d'Ouganda racontée pour les garçons est une biographie d'Alexander Murdoch Mackay (1849–1890), missionnaire pionnier écossais en Ouganda. Écrit par la sœur de Mackay, Alexina Mackay Harrison, et publié à Londres en 1892, le livre était destiné à encourager les jeunes garçons à suivre l'exemple de Mackay et dévouer leur vie au service en Afrique. L'ouvrage commence par un court récit sur les premiers explorateurs européens en Afrique, notamment : Mungo Park, qui explora le fleuve Niger en 1796, James Bruce, qui découvrit la source du Nil Bleu en 1770, et d'autres explorateurs, tels que Speke, Grant, Stanley et Livingstone. Cette section est suivie d'un récit sur le début de la vie de Mackay en Écosse, évoquant comment sa famille profondément religieuse et très instruite l'avait influencé, et son engagement précoce pour la prédication de l'évangile chrétien. Ses études d'ingénierie à l'université de Berlin, son apprentissage de l'allemand, et les liens étroits qu'il établit avec l'Église allemande et les cercles de missionnaires sont également abordés. En 1876, Mackay répondit à un appel de la Church Missionary Society pour servir en Ouganda. En novembre 1878, il arriva en Afrique, où il passa près de 14 ans, sans jamais retourner dans son Écosse natale. Le livre décrit l'amitié de Mackay avec le roi Mutesa Ier du Buganda (règne : 1856–1884) et les difficultés qu'il rencontra sous le successeur de Mutesa, le roi Mwanga, qui persécuta farouchement les premiers chrétiens ougandais. Le dernier chapitre retrace le travail d'Alfred R. Tucker, évêque anglican de l'Afrique équatoriale de l'Est entre 1890 et 1899, et premier évêque de l'Ouganda de 1899 à 1911, ainsi que de six chrétiens ougandais qui poursuivirent la mission de Mackay après sa mort : Sembera Mackay, Henry Wright Duta, Mika Sematimba, Paulo Bakunga, Zachariah Kizito et Yohann Mwira.

Le katikiro de l'Ouganda en Angleterre

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Le katikiro de l'Ouganda en Angleterre
Le katikiro de l'Ouganda en Angleterre est le récit officiel de la visite en Angleterre du katikiro (Premier ministre) du Buganda, Apolo Kagwa (1864–1927 env.) en 1902 afin de participer au couronnement du roi Édouard VII, qui monta sur le trône britannique après la mort de sa mère, la reine Victoria, au début de l'année 1901. Petit-fils d'un chef ougandais, Apolo servit en tant que page à la cour du roi Mutesa Ier du Buganda (règne : 1856–1884) et devint chrétien à un jeune âge. Il gravit les échelons et fut chef magasinier, puis Premier ministre du roi Mwanga II (règnes : 1884–1888 et 1889–1897), fils et successeur de Mutesa Ier . Le livre fut écrit en luganda par Ham Mukasa, secrétaire d'Apolo, et traduit par le révérend Ernest Millar, missionnaire anglais qui fut l'interprète du katikiro lors de sa visite. Il s'agit du récit du voyage par route de Kampala à Mombasa, au Kenya, du voyage en bateau via la mer Rouge et le canal de Suez vers Naples, et du voyage en train, traversant l'Europe pour arriver en Grande-Bretagne. Mukasa décrit les réunions d'Apolo à Londres avec l'explorateur Henry M. Stanley, évêque de Londres, différents officiers militaires et de marine, et d'autres personnalités importantes. Il évoque également ses visites à Southampton, Birmingham, Cambridge, Glasgow, Sheffield et autres villes britanniques, ainsi que sa participation au couronnement lui-même. Le livre conclut par un récit du voyage de retour à travers l'Europe, avec un arrêt à Rome, la traversée vers Mombasa sur un bateau à vapeur allemand et la célébration de son arrivée à Kampala. Cet ouvrage offre un portrait inhabituel et précieux des sociétés britanniques et européennes vues par un Africain influent au cours de la période coloniale.

L'Ouganda et ses peuples. Notes sur le protectorat de l'Ouganda, particulièrement sur l'anthropologie et l'ethnologie des races autochtones

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L'Ouganda et ses peuples. Notes sur le protectorat de l'Ouganda, particulièrement sur l'anthropologie et l'ethnologie des races autochtones
L'Ouganda et ses peuples est une étude détaillée sur les autochtones du protectorat de l'Ouganda, reposant sur les principes de l'ethnographie et l'anthropologie du début du XXe siècle. Cet ouvrage est organisé en neuf chapitres, dont chacun est consacré à l'un des principaux groupes tribaux et ethniques : les Bahimas, les Banyoros, les Batoros, les Banabuddus, les autochtones de l'île de Sese, les Bakokis, les Basogas, les Bavumas et les Bagandas. Les thèmes traités incluent les cérémonies de mariage, les cérémonies de naissance, le régime alimentaire, les cérémonies mortuaires, les croyances et les superstitions, l'histoire, le droit, les systèmes de poids et de mesures, le folklore, les coutumes et les traditions, et les activités économiques. L'ouvrage comporte également des portraits des rois des différentes tribus, plus de 200 autres photographies de lieux notables, de personnes de différents milieux sociaux et des images de membres des principaux groupes ethniques. Une carte indique les localités habitées par les peuples abordés dans le livre, de la frontière nord avec le Soudan, à environ 5 degrés nord, à la frontière sud avec l'Afrique orientale allemande. L'auteur, James Frederick Cunningham, avait déjà assisté l'explorateur et officier colonial britannique Sir Henry Hamilton (Harry) Johnston (1858–1927) dans la préparation de son œuvre monumentale Le protectorat de l'Ouganda, publiée en 1902. D'ailleurs, le livre de Cunningham contient une préface élogieuse de Johnston.

Anthologie de la poésie de Rûmî

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Anthologie de la poésie de Rûmî
Divan-i Mawlavī Rumi (Anthologie de la poésie de Rûmî) est un recueil du grand poète persan Jalāl ad-Dīn Muḥammad Rūmī, plus connu sous le nom de Mawlānā en persan et de Rûmî en français (1207–1273). Le recueil comprend des poèmes du soufisme, des supplications et de la philosophie. Le manuscrit ne comporte pas de page de titre. Tous les poèmes sont distincts et indépendants, et le nom du poète apparaît à la fin de la plupart des poèmes. On ne sait rien du copiste, bien que l'on pense que ce volume date du XIXe siècle.

Départ au travail

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Départ au travail
Cette aquarelle sur planche, montrant le personnel militaire des Women’s Army Corps en Nouvelle-Guinée en 1944, pendant la Seconde guerre mondiale est signée et datée par l'artiste, John Cullen Murphy (1919-2004). Murphy était un dessinateur américain très connu pour avoir dessiné la bande dessinée Prince Valiant (Le Prince Vaillant). Murphy rejoignit les forces armées en 1940 et passa les années de guerre dans le Pacifique, où il fut officier de défense anti-aérienne, et dessina des illustrations pour le Chicago Tribune. La bataille pour la Nouvelle-Guinée fut l'une des campagnes militaires majeures du théâtre du Pacifique, commençant en janvier 1942 et se poursuivant dans certaines parties de l'Île jusqu'à la fin de la guerre. L'aquarelle fait partie de la collection militaire Anne S.K. Brown à la Bibliothèque de l'Université Brown, la plus importante collection américaine consacrée à l'histoire et à l'iconographie des soldats et à la vie militaire, et l'une des plus vastes collections au monde dédiée à l'étude des uniformes militaires et marins.

Construction des renforts de la centrale hydroélectrique de Ķegums, juillet 1937

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Construction des renforts de la centrale hydroélectrique de Ķegums, juillet 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise en juillet 1937, montre l'assemblage des renforts sur le site de construction de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Travaux de construction sur le barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, mai 1937

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Travaux de construction sur le barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, mai 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise en mai 1937, montre les ouvriers coulant le béton dans les fondations du barrage de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Construction du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, janvier 1937

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Construction du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, janvier 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise en janvier 1937, montre la construction de la galerie du barrage de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Assemblage d'une vanne du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 3 novembre 1938

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Assemblage d'une vanne du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 3 novembre 1938
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 3 novembre 1938, montre l'assemblage d'une vanne du barrage de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Construction sur le site du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 16 septembre 1938

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Construction sur le site du barrage de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 16 septembre 1938
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 16 septembre 1938, montre les blocs servant au bétonnage des piliers du nouveau pont métallique sur fleuve et les brise-glaces du barrage de la centrale. La perspective met clairement en évidence l'échelle massive du projet. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Construction sur le site de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 7 juillet 1938

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Construction sur le site de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 7 juillet 1938
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 7 juillet 1938, montre les travaux de construction du bâtiment de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Construction de la paroi brise-glace sur le site de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 20 mai 1938

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Construction de la paroi brise-glace sur le site de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 20 mai 1938
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 20 mai 1938, montre les blocs servant au bétonnage de la paroi brise-glace de la centrale. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Construction du pont sur la Daugava et de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 28 octobre 1937

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Construction du pont sur la Daugava et de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 28 octobre 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 28 octobre 1937, montre la construction de la structure métallique et des piliers définitifs du pont sur le fleuve. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Vue du site de construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 19 août 1937

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Vue du site de construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 19 août 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 19 août 1937, montre le site de construction avec le nouveau pont métallique sur le fleuve au premier plan. Une partie de sa forme architecturale fut conservée jusqu'en septembre 1986. Les logements des ingénieurs et des ouvriers sont visibles en arrière-plan, sur la rive droite. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Assemblage des turbines de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 15 juillet 1937

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Assemblage des turbines de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 15 juillet 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 15 juillet 1937, montre l'assemblage des turbines d'aspiration de la centrale hydroélectrique. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Le site de construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 21 janvier 1937

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Le site de construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 21 janvier 1937
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 21 janvier 1937, montre des ouvriers sur le site de construction, ainsi que des chevaux et des wagonnets transportant les matériaux de construction. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.

Le barrage temporaire de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 10 décembre 1936

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Le barrage temporaire de la centrale hydroélectrique de Ķegums, 10 décembre 1936
Célèbre photographe et cinématographe letton, Eduards Kraucs (1898–1977) documenta entre 1936 et 1940 la construction de la centrale hydroélectrique de Ķegums sur le fleuve Daugava, en Lettonie centrale. Cette photographie, prise le 10 décembre 1936, montre la construction du barrage temporaire sur la rive droite du fleuve. La centrale fut un ouvrage de génie civil unique dans les pays baltes et en Europe du Nord, impliquant la collaboration d'ingénieurs lettons et suédois. Des solutions technologiques inédites en Europe furent utilisées pour sa construction. Structure essentielle en Lettonie, elle fut le symbole de l'État et de l'identité nationale au cours de la première période de l'histoire de l'État indépendant letton (1918–1940). Son achèvement marqua le début d'un système électrique national unifié et du groupe Latvenergo. La centrale permit d'amorcer une croissance économique rapide, d'électrifier les différentes régions de la Lettonie et d'améliorer le bien-être de sa population. Durant sa construction, Kraucs photographia l'avancée des travaux une à deux fois par semaine. La collection de 1 736 négatifs sur plaque de verre qui en résulta constitue le seul témoignage photographique connu en Europe aussi complet retraçant un projet de construction de grande envergure. Cette collection fut inscrite au Registre national letton de la Mémoire du monde de l'UNESCO en 2009.
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