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Zhvandūn, numéro 17, samedi 14 juillet 1973

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Zhvandūn, numéro 17, samedi 14 juillet 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéro 16, samedi 7 juillet 1973

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Zhvandūn, numéro 16, samedi 7 juillet 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéro 15, samedi 30 juin 1973

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Zhvandūn, numéro 15, samedi 30 juin 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéros 24-25, jeudi 6 septembre 1973

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Zhvandūn, numéros 24-25, jeudi 6 septembre 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéros 22-23, jeudi 23 août 1973

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Zhvandūn, numéros 22-23, jeudi 23 août 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéro 21, samedi 11 août 1973

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Zhvandūn, numéro 21, samedi 11 août 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Zhvandūn, numéro 20, samedi 4 août 1973

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Zhvandūn, numéro 20, samedi 4 août 1973
Zhvandūn fut l'un des magazines les plus populaires publiés en Afghanistan dans la seconde moitié du XXe siècle. Il s'agissait initialement d'un périodique progressiste publié à la fois en persan et en pachto, à partir du mois de mai 1949. Le magazine publiait des articles sur l'histoire afghane et mondiale, les découvertes et les artefacts archéologiques, la poésie et la langue, les biographies de personnalités afghanes et étrangères, les arts et la culture, la philosophie et la religion, et d'autres sujets liés à la culture et à la vie quotidienne, y compris la musique, la danse, le théâtre, la santé, et la famille. Même si Zhvandūn présentait des articles sur des sujets littéraires, historiques, éducatifs et de divertissement pendant toute la période où il fut publié, l'évolution des dynamiques sociales et politiques de l'Afghanistan influença le caractère de son contenu éditorial. Dans les années 1960, le magazine reflétait le royalisme du Royaume d'Afghanistan. En revanche, les régimes de gauche des années 1980 favorisèrent un contenu révolutionnaire, tel que les débats sur l'idéologie marxiste, les chants anticapitalistes, et les articles sur les réformes agricoles. Alors que Zhvandūn se positionnait comme un magazine pour les familles (khanawadah), la génération de l'après-Seconde Guerre mondiale composée d'Afghans citadins issus de milieux divers constituait son lectorat principal : étudiants, universitaires, écrivains, poètes, chercheurs et grand public. Zhvandūn fut publié toutes les deux semaines jusqu'en 1952, puis il devint hebdomadaire. Le 6 mai 1954, la gestion de Zhvandūn fut confiée au Riyasat-i Mustaqil-i Matbu’at (département des Médias indépendants). Le Vizarat-i Ittilaʻat va Kultur (ministère de l'Information et de la Culture) reprit le magazine en 1970 et l'administra jusqu'en 1982, lorsque son contrôle fut transféré à l'Itihadyah-yi Navisandagan Jumhur-i Dimukratik-i Afghanistan (Union des écrivains de la République démocratique d'Afghanistan). Sous le gouvernement moudjahidine dans les années 1990, l'organisation rebaptisée Union des écrivains afghans publia des éditions distinctes en pachto et en persan de Zhvandūn, et ce jusqu'à la fin de sa parution en 1996.

Réfugiés juifs à Rowne, en Pologne

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Réfugiés juifs à Rowne, en Pologne
Cette photographie de 1921 représente trois réfugiés juifs affamés, à Rowne, en Pologne (aujourd'hui Rovno ou Rivne, en Ukraine), fixant l'objectif. Outre les déplacements massifs, la famine, les maladies et la précarité économique au lendemain de la Première Guerre mondiale, les populations juives d'Europe de l'Est subirent des souffrances supplémentaires causées par la révolution russe et par la guerre civile qui s'ensuivit. Rowne, centre commercial comptant une population juive importante, fut l'une des villes visitées par la première équipe de représentants sur le terrain que le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC) dépêcha en Pologne. Ces équipes comprenaient des travailleurs sociaux, des médecins et des enseignants. Le JDC fut créé par des Juifs américains de New York en 1914 pour apporter des secours aux communautés juives pendant la guerre. Depuis 1914, le JDC exerce une activité humanitaire à vocation mondiale, fournissant des denrées alimentaires, des vêtements, des médicaments, des soins aux enfants, des formations professionnelles et de l'assistance aux réfugiés dans plus de 90 pays. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Étudiants en charpenterie dans un atelier de menuiserie à Jaroslaw, en Pologne

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Étudiants en charpenterie dans un atelier de menuiserie à Jaroslaw, en Pologne
Cette photographie datant de 1922 montre des étudiants et des professeurs lors d'un cours de charpenterie à Jaroslaw, un des nombreux programmes de formation professionnelle d'après-guerre établis en Pologne en réponse à la précarité économique. Les cours étaient dispensés par l'Organisation pour la réhabilitation par la formation (ORT) et parrainés par le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC). Le JDC fut créé par des groupes de Juifs américains au début de la Première Guerre mondiale pour venir en aide aux Juifs démunis d'Europe et de Palestine. Depuis 1914, le JDC fournit des denrées alimentaires, des vêtements, des soins aux enfants, des formations professionnelles et de l'assistance aux réfugiés dans plus de 90 pays. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Orchestre de l'École professionnelle Natanson à Varsovie, en Pologne

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Orchestre de l'École professionnelle Natanson à Varsovie, en Pologne
Cette photographie montre l'orchestre de l'École professionnelle Natanson de la Communauté juive de Varsovie, en Pologne, vers 1921. Les étudiants posent avec leur instrument devant l'entrée de l'école. La Première Guerre mondiale eut des effets dévastateurs parmi les communautés juives d'Europe de l'Est, laissant dans son sillage une famine généralisée, des maladies et la précarité économique. Dans l'immédiat après-guerre, les communautés juives assiégées affrontèrent des difficultés permanentes qui menaçaient leur existence. De nouvelles réalités socio-économiques dépouillèrent les Juifs européens de leurs anciens moyens de subsistance, les laissant incapables de subvenir à leurs besoins. Leur infrastructure communautaire était également en ruines. Pour faire face à cette situation, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale, aida la communauté juive polonaise à reconstruire des institutions communautaires. Pendant l'entre-deux-guerres, le JDC joua un rôle essentiel en rétablissant et en soutenant les institutions et les écoles juives, ainsi qu'en collaborant avec le large éventail de groupes et d'idéologies juifs : groupes hassidiques, sionistes, bundistes, yiddish et représentants du courant dominant orthodoxe. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Cours de charpenterie dans une école juive de Cracovie, en Pologne

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Cours de charpenterie dans une école juive de Cracovie, en Pologne
Cette photographie représente un cours de charpenterie dans une école juive de Cracovie, en Pologne, en 1921‒1922 environ. La Première Guerre mondiale eut des effets dévastateurs parmi les communautés juives d'Europe de l'Est, laissant dans son sillage une famine généralisée, des maladies et la précarité économique. Dans l'immédiat après-guerre, les communautés juives assiégées affrontèrent des difficultés permanentes qui menaçaient leur existence. De nouvelles réalités socio-économiques dépouillèrent les Juifs européens de leurs anciens moyens de subsistance, les laissant incapables de subvenir à leurs besoins. Leur infrastructure communautaire était également en ruines. Pour faire face à cette situation, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale, aida la communauté juive polonaise à reconstruire des institutions communautaires et à développer de nouveaux programmes de santé et de couverture sociale. Pendant l'entre-deux guerres, le JDC collabora avec l'Organisation pour la réhabilitation par la formation (ORT) afin de développer des programmes de formation professionnelle destinés à des artisans juifs, ainsi que des programmes de formation professionnelle dans les écoles juives. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Étudiants et corps enseignant devant l'École de la communauté juive à Varsovie, en Pologne

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Étudiants et corps enseignant devant l'École de la communauté juive à Varsovie, en Pologne
Sur cette photographie datant de 1921, un groupe d'étudiants et d'enseignants pose devant l'École de la communauté juive de la Maison des travailleurs à Varsovie, en Pologne. La première Guerre mondiale et ses conséquences préjudiciables ont menacé la survie de nombreuses institutions religieuses, éducatives et culturelles qui, avant la guerre, avaient fait de la Pologne l'un des centres les plus importants d'érudition, d'enseignement et de culture judaïque. Pendant l'entre-deux-guerres, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale, joua un rôle essentiel en rétablissant et en soutenant les institutions et les écoles juives, ainsi qu'en collaborant avec le large éventail de groupes et d'idéologies juifs : groupes hassidiques, sionistes, bundistes, yiddish et représentants du courant dominant orthodoxe. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Distribution de lait dans une clinique médicale pour enfants à Piotrków Trybunalski, en Pologne

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Distribution de lait dans une clinique médicale pour enfants à Piotrków Trybunalski, en Pologne
Sur cette photographie, des mères reçoivent du lait remis par le personnel d'une clinique médicale pour enfants dans une ville de Pologne. Les conflits et les pogroms qui eurent lieu pendant et après la Première Guerre mondiale provoquèrent maladies, famine et bouleversements envers des centaines de milliers de Juifs en Europe de l'Est, notamment en Pologne. En réponse à cette situation, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale par des groupes de Juifs américains, mit en place des soupes populaires, reconstruisit et équipa des hôpitaux, ouvrit des orphelinats et envoya des convois de nourriture à des centaines de villes et de villages en Pologne. Le programme de soins aux enfants, destiné à près de 400 000 enfants nécessitant une aide supplémentaire, était considéré de première importance. Le JDC créa des dépôts de lait où les nouveau-nés et les enfants pouvaient recevoir un verre de lait pour moins d'un centime de dollar. À Varsovie, durant le pic de la période d'urgence, ces dépôts dispensèrent chaque jour du lait à 35 000 enfants. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Équipe soignante au cours d'une campagne contre le typhus, en Pologne

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Équipe soignante au cours d'une campagne contre le typhus, en Pologne
Lors de la Première Guerre mondiale, et durant les conflits et les bouleversements qui s'ensuivirent, la destruction des logements et des installations de bains publics en Pologne, ainsi que les déplacements massifs de population, entraînèrent de graves épidémies de typhus et d'autres maladies. Le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée pour aider les Juifs affectés par la guerre et ses conséquences, apporta un soutien médical et sanitaire aux organisations régionales existantes. En avril 1920, le JDC dépêcha le docteur Harry Plotz, découvreur du vaccin contre le typhus, afin d'enquêter sur les conditions de crise en Pologne (notamment dans des régions faisant aujourd'hui partie de l'Ukraine), et de développer une approche plus complète et systématique de prévention de la propagation de la maladie. Plotz emmena une équipe de médecins, infirmières et inspecteurs sanitaires, ainsi qu'une machine d'épouillage mobile qui chauffait les vêtements et les couvertures à très haute température. Cette photographie représente une équipe de professionnels de la santé mobilisée dans la campagne contre le typhus. Elle provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Bains publics américains à Cracovie, en Pologne

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Bains publics américains à Cracovie, en Pologne
Cette photographie montre des mikveh (bains publics) à Cracovie, reconstruits dans les années 1921‒1922. L'ancien bâtiment de bains rituels juifs, face à la rue Szeroka, réduit en ruines par la guerre, fut utilisé pour la reconstruction. L'inscription en polonais indique : « Bains publics américains ». La Première Guerre mondiale eut des effets dévastateurs parmi les communautés juives d'Europe de l'Est, laissant dans son sillage une famine généralisée, des maladies et la précarité économique. Dans l'immédiat après-guerre, les communautés juives assiégées affrontèrent des difficultés permanentes qui menaçaient leur existence. De nouvelles réalités socio-économiques dépouillèrent les Juifs européens de leurs anciens moyens de subsistance, les laissant incapables de subvenir à leurs besoins. Leur infrastructure communautaire était également en ruines. Pour faire face à cette situation, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale, aida la communauté juive polonaise à reconstruire des institutions communautaires et à développer de nouveaux programmes de santé et de couverture sociale. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

En attente de nourriture devant la soupe populaire de Dreyfus, à Jérusalem

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En attente de nourriture devant la soupe populaire de Dreyfus, à Jérusalem
Cette photographie représente des personnes affamées, dont de nombreux enfants, tandis qu'elles attendent de recevoir de la nourriture à la soupe populaire de Dreyfus, à Jérusalem, qui servit près de 900 repas par jour en 1921. Pendant la Première Guerre mondiale, et immédiatement après, des Juifs nécessiteux vivant en Palestine sous mandat britannique furent privés de leurs sources de soutien régulières en Europe. Beaucoup d'entre eux dépendirent du secours alimentaire et d'autres formes d'aide financière offerts par des Juifs américains. Le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale pour répondre à ces besoins urgents, finança des soupes populaires et d'autres formes essentielles de soutien au Moyen–Orient et en Europe. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Des patients attendent leur tour dans une infirmerie à Jérusalem

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Des patients attendent leur tour dans une infirmerie à Jérusalem
Sur cette photographie, des patients attendent leur tour pour recevoir un traitement dans une salle d'urgence coordonnée par l'Organisation américaine des femmes sionistes (plus connue sous le nom d'Hadassah). Entre 1918 et 1921, Hadassah établit des hôpitaux, une école de soins infirmiers, ainsi que des programmes de santé communautaire et de soins préventifs en Palestine sous mandat britannique. Au cours de ces années, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire, fournit 200 000 dollars chaque année pour le travail d'Hadassah en Palestine sous mandat britannique. Le JDC fut créé en 1914 pour envoyer des secours, notamment des denrées alimentaires, des vêtements, des médicaments, des fonds, et des fournitures d'urgence aux Juifs d’Europe frappés par la guerre. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

De jeunes mères apprennent les soins aux nourrissons dans un centre médical Hadassah pour enfants, à Jérusalem

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De jeunes mères apprennent les soins aux nourrissons dans un centre médical Hadassah pour enfants, à Jérusalem
Cette photographie montre cinq jeunes mères avec leur bébé lors d'un cours de soins aux nourrissons dispensé par une infirmière d'Hadassah à Jérusalem. Entre 1918 et 1921, l'Organisation américaine des femmes sionistes (plus connue sous le nom d'Hadassah) établit des hôpitaux, une école de soins infirmiers, ainsi que des programmes de santé communautaire et de soins préventifs en Palestine sous mandat britannique. Au cours de ces années, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire, fournit 200 000 dollars chaque année pour le travail d'Hadassah en Palestine sous mandat britannique. Le JDC fut créé en 1914 pour envoyer des secours, notamment des denrées alimentaires, des vêtements, des médicaments, des fonds, et des fournitures d'urgence aux Juifs d’Europe frappés par la guerre. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.

Des réfugiés traversent Rowne, en Pologne

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Des réfugiés traversent Rowne, en Pologne
Sur cette photographie datant de 1921, un groupe de réfugiés juifs voyageant sur des chariots tirés par des chevaux traverse la ville de Rowne, en Pologne (aujourd'hui Rovno ou  Rivne, en Ukraine), alors qu'ils retournent chez eux. La Première Guerre mondiale engendra des déplacements massifs de population, qui augmentèrent encore avec la révolution russe et la guerre civile qui s'ensuivit. En plus des risques associés à la guerre et à la révolution, les Juifs furent confrontés au danger des pogroms. Rowne, centre commercial comptant une population juive importante, avait subi une série de pogroms en 1919, alors qu'elle appartenait encore à l'Ukraine. La ville fut transférée à la Pologne en 1920. L'année suivante, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC) envoya en Pologne sa première équipe de représentants médicaux, comprenant des travailleurs sociaux, des médecins et des enseignants. Max Colton, médecin membre de cette délégation, prit notamment ce cliché, afin de rendre compte du travail de l'unité médicale du JDC et des localités qu'elle servit. Le JDC fut créé par des Juifs américains de New York pour aider les Juifs démunis d'Europe et de Palestine affectés par la Première Guerre mondiale. Depuis 1914, le JDC exerce une activité humanitaire à vocation mondiale, fournissant des denrées alimentaires, des vêtements, des médicaments, des soins aux enfants, des formations professionnelles et de l'assistance aux réfugiés dans plus de 90 pays. Les archives du JDC contiennent des photographies, des documents, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation.

Des réfugiés de Russie retournent en Pologne

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Des réfugiés de Russie retournent en Pologne
Au début de la Première Guerre mondiale, de nombreux Juifs vivant sur les territoires contestés de Pologne furent réinstallés par les autorités militaires russes dans les provinces du centre de la Russie. Dans les zones où l'aide était possible, le Comité paritaire juif américain de distribution (JDC), organisation humanitaire créée au début de la Première Guerre mondiale par des groupes de Juifs américains, poursuivit des opérations de secours en faveur des réfugiés, et plus tard, lorsque les citoyens de la Pologne d'avant-guerre retournèrent chez eux, en faveur des rapatriés. Les personnes déplacées reçurent des bains, des repas nourrissants, des chaussures, des vêtements, des soins médicaux et un abri. Sur cette photographie, les rapatriés se trouvaient sur la route entre Rowne (aujourd'hui Rovno ou Rivne, en Ukraine) et Łuck (Loutsk, en Ukraine), après quatre mois de voyage depuis la région de la Volga, en Russie. Max Colton, médecin appartenant à la première équipe médicale des représentants du JDC, prit ce cliché pour rendre compte du travail de l'unité médicale et des communautés dans lesquelles elle intervint. Cette photographie provient des archives du JDC, qui contiennent des documents, des photographies, des films, des vidéos, des récits oraux et des objets témoignant du travail de l'organisation de la Première Guerre mondiale à nos jours.
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