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Comprendre la vérité, numéro 55, 18 novembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 55, 18 novembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 54, 11 novembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 54, 11 novembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 53, 4 novembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 53, 4 novembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 52, 28 octobre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 52, 28 octobre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 59, 16 décembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 59, 16 décembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 58, 9 décembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 58, 9 décembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 57, 2 décembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 57, 2 décembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 56, 25 novembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 56, 25 novembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 63, 13 janvier 1919

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Comprendre la vérité, numéro 63, 13 janvier 1919
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 62, 6 janvier 1919

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Comprendre la vérité, numéro 62, 6 janvier 1919
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 61, 30 décembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 61, 30 décembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 60, 23 décembre 1918

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Comprendre la vérité, numéro 60, 23 décembre 1918
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 65, 27 janvier 1919

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Comprendre la vérité, numéro 65, 27 janvier 1919
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

Comprendre la vérité, numéro 64, 20 janvier 1919

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Comprendre la vérité, numéro 64, 20 janvier 1919
Têgeyştinî Rastî (Comprendre la vérité) était un bi-hebdomadaire publié par le commandement de l'armée britannique en Irak entre 1918 et 1919. À l'époque, la Grande-Bretagne était en guerre contre l'Empire ottoman qui contrôlait l'Irak depuis le XVIe siècle. Quand les forces britanniques commencèrent à progresser au nord, en direction de la région du Kurdistan irakien au printemps 1918, le journal devint l'organe de l'Empire britannique, faisant la propagande des positions Britanniques lorsqu'il traitait de questions politiques, sociales et culturelles. Le journal était vendu au prix d'un anna, ou quatre fulûs, un prix modique à l'époque. Le siège du journal était situé à Bagdad, dans l'actuelle rue Nahr, dans le même immeuble que le journal Jareedet Al-Arab. L'ours du journal ne faisait aucune mention des noms des propriétaires, du rédacteur en chef ou du comité de rédaction, et aucun article n'était signé. On sait cependant que le commandant Soane en était le rédacteur en chef et qu'il préparait la publication de tout le journal. Soane maîtrisait le kurde et était assisté dans son travail par le poète et célèbre littéraire Shukri Fadhli. Média conçu comme le bras de la propagande dans le but de mobiliser les Kurdes contre les Turcs ottomans, Têgeyştinî Rastî attaquait l'Empire ottoman dans ses articles et sujets d'actualité. Il encensait l'Islam et exaltait les sentiments nationaux kurdes pour gagner les cœurs et les esprits du peuple Kurde. Il alla jusqu'à publier le nom de plusieurs officiers britanniques qui s'étaient convertis à l'Islam et avaient adopté un nom islamique. Le journal pris une position hostile à la Révolution d'octobre en Russie. Il essaya de faire appel aux chefs de tribus, anciens, et autres meneurs d'opinion qui avaient de l'influence au sein de la communauté kurde. Il présentait l'armée britannique comme libérant les Kurdes du joug ottoman. Il promouvait la littérature kurde et la poésie d'Al-Haj Qadir Al-Koobi et de Nali Rimhawi Ka, et fut le premier journal kurde à écrire sur l'histoire et les origines du peuple kurde.

La nouvelle génération, numéro 3, février 1922

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La nouvelle génération, numéro 3, février 1922
An-Nashi'a (La nouvelle génération) était une revue littéraire mensuelle complète consacrée aux progrès de la vie scientifique et culturelle en Irak, après la Première Guerre mondiale. Aux lendemains de la défaite de l'Empire ottoman dans cette guerre, l'Irak fut placé sous un mandat de la Société des Nations administré par les Britanniques. En 1921, une monarchie fut établie et le pays obtint son indépendance des Britanniques en 1932. An-Nashi'a fut fondé au début de la monarchie et son premier éditorial déclara que la nouvelle publication était une réponse aux besoins d'une nouvelle nation. Seuls trois numéros (appelés parties) sont parus avant que la publication d'An-Nashi'a cesse. La revue appartenait à Ibrahim Salih et Hassan al-Bayati en était le rédacteur en chef. Chaque numéro commençait par un long essai abordant des questions très variées concernant la littérature, la science, les arts, la philosophie, l'histoire, les nouvelles découvertes, le mode de vie, et autres actualités et anecdotes du monde entier, particulièrement d'Amérique. À titre d'exemple, les thèmes abordés incluent la valeur de la connaissance, la vie marine, les minéraux et autres ressources, les poètes et les poèmes, les leçons de l'histoire, citant Alexandre le Grand et Jules César, le sport et particulièrement comment la presse américaine consacrait quotidiennement de nombreuses pages aux actualités sportives, à ce qu'il ne faut pas faire en matière d'étiquette sociale et aux « mots immortels », recueil de sagesse de personnalités de renommée mondiale, notamment George Washington. Bien qu'elle restât ancrée dans la culture arabe, l'esprit de la revue était dans l'ensemble progressiste et international. La dernière page était généralement de la main « de la direction » et consacrée à la correction d'erreurs typographiques, accompagnée d'excuses aux lecteurs. Outre le propriétaire et le rédacteur en chef, des intellectuels panarabes éminents de l'époque apportèrent leur contribution, tels que le poète et philosophe kurde irakien Jamīl Ṣidqī Zahāwī, l'écrivain et essayiste égyptien Muṣṭafá Luṭfī Manfalūṭī, le poète turco-égyptien Waliy ud-Deen Yakun, et l'écrivain et artiste libano-américain, auteur de Le prophète, Khalil Gibran.

La nouvelle génération, numéro 2, janvier 1922

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La nouvelle génération, numéro 2, janvier 1922
An-Nashi'a (La nouvelle génération) était une revue littéraire mensuelle complète consacrée aux progrès de la vie scientifique et culturelle en Irak, après la Première Guerre mondiale. Aux lendemains de la défaite de l'Empire ottoman dans cette guerre, l'Irak fut placé sous un mandat de la Société des Nations administré par les Britanniques. En 1921, une monarchie fut établie et le pays obtint son indépendance des Britanniques en 1932. An-Nashi'a fut fondé au début de la monarchie et son premier éditorial déclara que la nouvelle publication était une réponse aux besoins d'une nouvelle nation. Seuls trois numéros (appelés parties) sont parus avant que la publication d'An-Nashi'a cesse. La revue appartenait à Ibrahim Salih et Hassan al-Bayati en était le rédacteur en chef. Chaque numéro commençait par un long essai abordant des questions très variées concernant la littérature, la science, les arts, la philosophie, l'histoire, les nouvelles découvertes, le mode de vie, et autres actualités et anecdotes du monde entier, particulièrement d'Amérique. À titre d'exemple, les thèmes abordés incluent la valeur de la connaissance, la vie marine, les minéraux et autres ressources, les poètes et les poèmes, les leçons de l'histoire, citant Alexandre le Grand et Jules César, le sport et particulièrement comment la presse américaine consacrait quotidiennement de nombreuses pages aux actualités sportives, à ce qu'il ne faut pas faire en matière d'étiquette sociale et aux « mots immortels », recueil de sagesse de personnalités de renommée mondiale, notamment George Washington. Bien qu'elle restât ancrée dans la culture arabe, l'esprit de la revue était dans l'ensemble progressiste et international. La dernière page était généralement de la main « de la direction » et consacrée à la correction d'erreurs typographiques, accompagnée d'excuses aux lecteurs. Outre le propriétaire et le rédacteur en chef, des intellectuels panarabes éminents de l'époque apportèrent leur contribution, tels que le poète et philosophe kurde irakien Jamīl Ṣidqī Zahāwī, l'écrivain et essayiste égyptien Muṣṭafá Luṭfī Manfalūṭī, le poète turco-égyptien Waliy ud-Deen Yakun, et l'écrivain et artiste libano-américain, auteur de Le prophète, Khalil Gibran.

La nouvelle génération, numéro 1, décembre 1921

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La nouvelle génération, numéro 1, décembre 1921
An-Nashi'a (La nouvelle génération) était une revue littéraire mensuelle exhaustive consacrée aux progrès de la vie scientifique et culturelle en Irak, après la Première Guerre mondiale. Aux lendemains de la défaite de l'Empire ottoman dans cette guerre, l'Irak fut placé sous un mandat de la Société des Nations administré par les Britanniques. En 1921, une monarchie fut établie et le pays obtint son indépendance des Britanniques en 1932. An-Nashi'a fut fondé au début de la monarchie et son premier éditorial déclara que la nouvelle publication était une réponse aux besoins d'une nouvelle nation. Seuls trois numéros (appelés parties) sont parus avant que la publication d'An-Nashi'a cesse. La revue appartenait à Ibrahim Salih et Hassan al-Bayati en était le rédacteur en chef. Chaque numéro commençait par un long essai abordant des questions très variées concernant la littérature, la science, les arts, la philosophie, l'histoire, les nouvelles découvertes, le mode de vie, et autres actualités et anecdotes du monde entier, particulièrement d'Amérique. À titre d'exemple, les thèmes abordés incluent la valeur de la connaissance, la vie marine, les minéraux et autres ressources, les poètes et les poèmes, les leçons de l'histoire, citant Alexandre le Grand et Jules César, le sport et particulièrement comment la presse américaine consacrait quotidiennement de nombreuses pages aux actualités sportives, à ce qu'il ne faut pas faire en matière d'étiquette sociale et aux « mots immortels », recueil de sagesse de personnalités de renommée mondiale, notamment George Washington. Bien qu'elle restât ancrée dans la culture arabe, l'esprit de la revue était dans l'ensemble progressiste et international. La dernière page était généralement de la main « de la direction » et consacrée à la correction d'erreurs typographiques, accompagnée d'excuses aux lecteurs. Outre le propriétaire et le rédacteur en chef, des intellectuels panarabes éminents de l'époque apportèrent leur contribution, tels que le poète et philosophe kurde irakien Jamīl Ṣidqī Zahāwī, l'écrivain et essayiste égyptien Muṣṭafá Luṭfī Manfalūṭī, le poète turco-égyptien Waliy ud-Deen Yakun, et l'écrivain et artiste libano-américain, auteur de Le prophète, Khalil Gibran.

Palais des Tuileries : grand vestibule, côté du jardin

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Palais des Tuileries : grand vestibule, côté du jardin
La guerre franco-allemande a été provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse à la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus sont tombés sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris se rendit le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier en photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Saint-Cloud

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Saint-Cloud
La guerre franco-allemande a été provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse à la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus sont tombés sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris se rendit le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier en photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Cour des Tuileries

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Cour des Tuileries
La guerre franco-allemande a été provoquée par l’escalade des tensions entre la France et la Prusse dans les années 1860. La France, sous l’empereur Napoléon III, était déterminée à contenir la croissance de la puissance prussienne et à venger ce qui était considéré comme une série d’humiliations diplomatiques. La Prusse, sous le chancelier Otto von Bismarck, considérait qu’une guerre dirigée par la Prusse et menée par les États allemands contre la France serait un acte décisif menant à la création d’un empire allemand unifié. Le conflit débuta le 19 juillet 1870, jour où la France déclara la guerre. L’armée française s’avéra terriblement mal préparée et subit une défaite désastreuse à la bataille de Sedan, laissant la voie libre vers Paris. Le 19 septembre, les Allemands encerclèrent complètement la ville et commencèrent un siège qui allait durer plus de quatre mois. Coupés du ravitaillement provenant de la campagne, les Parisiens survécurent en mangeant les chiens, les chats et même la plupart des animaux du zoo de Paris. Les arbres des Champs-Élysées et des parcs furent coupés et brûlés pour servir de combustible. Le 5 janvier, les armées allemandes entreprirent le bombardement de la ville, qui dura plusieurs heures chaque nuit durant 23 nuits. Environ 12 000 obus sont tombés sur les quartiers de Paris, tuant près de 400 personnes. Paris se rendit le 28 janvier, mettant ainsi fin à la guerre. Le siège de Paris : 1870-1871 est un album de 110 photographies prises par Auguste Bruno Braquehais (1823-1875), photographe français et pionnier en photojournalisme, documentant le siège et les effets du bombardement. L’album fait partie de la collection Thereza Christina Maria rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil et qu’il a offerte à la Bibliothèque nationale du Brésil.
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