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Monastère de Purba Chog

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Monastère de Purba Chog
Cette vue du monastère de Purba Chog (également ermitage de P'urba'-Ch'og ou Purbuchok dans d'autres sources), perché au sommet d'une colline, est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Purba Chog était un monastère situé au nord de Séra. Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, palais de Ganden Khangsar, l'ancien palais

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Lhassa, palais de Ganden Khangsar, l'ancien palais
Cette vue du palais de Ganden Khangsar (également Gadan-Khangsar dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans son article intitulé « Nouvelle lumière sur Lhassa, cité interdite » (1903), J. Deniker raconte : « Parmi d'autres bâtiments curieux à Lhassa, Narzounof a pu photographier l'ancien palais des rois du Tibet. Bien qu'il tombe en ruine, des personnes privées l'habitent encore. La façade est s'est affaissée par rapport au mur ouest, qui est plus remarquable d'un point de vue architectural, mais le photographier fut impossible. Seul édifice de Lhassa qui n'a pas été chaulé, il commémore l'un des événements les plus importants de l'histoire du Tibet. Il s'agit de la résidence de Gyurme Namgyal, dernier roi du Tibet. Gyurme Namgyal mena une guerre contre le dalaï-lama, chef spirituel uniquement à l'époque, mais qui prétendait déjà à des pouvoirs civils. La Chine intervint dans cette guerre intestine, et le roi fut assassiné en 1706. Le septième dalaï-lama, Kelzang Gyatso (1708–1758), fut ensuite proclamé par les Chinois à la fois roi du Tibet et chef spirituel des bouddhistes orthodoxes ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, vue sud-sud-est de Marpari (montagne rouge) et du Potala

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Lhassa, vue sud-sud-est de Marpari (montagne rouge) et du Potala
Cette photographie montre Marpari (montagne rouge) et le Potala, palais du dalaï-lama, à Lhassa, vus depuis le sud-sud-est. Elle est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans l'article de 1901 intitulé « Lhassa », T.H. Holdich écrit : « Le principal intérêt du Potala vient du fait qu'il s'agit de la résidence du chef suprême de la grande hiérarchie bouddhiste, le dalaï-lama, dont la présence est incarnée par un enfant en bas âge ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Purba Chog vu depuis le sud-est

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Monastère de Purba Chog vu depuis le sud-est
Cette vue depuis le sud-est du monastère de Purba Chog (également ermitage de P'urba'-Ch'og ou Purbuchok dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Purba Chog était situé au nord de Séra. Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, Bar Chorten, porte Pargo Kaling ou portail de l'Occident

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Lhassa, Bar Chorten, porte Pargo Kaling ou portail de l'Occident
Cette photographie, qui montre le Bar Chorten, ou portail de l'Occident, situé entre les montagnes Chakpori et Marpari, fut prise sur la route menant à Lhassa. Elle est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Bar Chorten est également appelé dans d'autres sources Barkokani, Bakokani et porte Pargo Kaling. Dans son ouvrage La terre des lamas (1891), W.W. Rockhill explique que le mot « chorten » signifie « réceptacle d'offrandes ». Rockhill ajoute : « Un grand nombre [de chortens] furent construits à proximité des lamaseries, et ils permettent d'indiquer les routes jusqu'à celles-ci. Ils sont comparables aux stations du " chemin de croix " des catholiques, où les pèlerins se rendant à un sanctuaire se prosternent devant chaque churten [chorten] érigé sur le sentier ». Dans son ouvrage Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das décrit le Bar Chorten photographié ici : « Le grand bâtiment à deux étages à droite est une maison privée. Des fils, sur lesquels des clochettes sont suspendues, s'étendent de la cime du chorten au sommet de deux autres chortens plus petits de part et d'autre du passage. L'un d'entre eux est visible à gauche à travers les branches d'un arbre ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, palais de Norbulingka, résidence d'été des dalaï-lamas

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Lhassa, palais de Norbulingka, résidence d'été des dalaï-lamas
La photographie présentée ici montre, depuis l'est, l'entrée principale du parc du palais de Norbulingka (la résidence d'été du dalaï-lama) à Lhassa. Elle est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Norbulingka est également appelé Nurbu Linga, Norbu Lingka, Norbulingka, Nerbuling K'ang et Nor-bu Ling dans d'autres sources. Dans son ouvrage intitulé Tibet (1890), W.W. Rockhill écrit : « Le Norbulingka se trouve au sud-ouest de Potala, sur la rive nord de la rivière Kyi chu. Il renferme un grand réservoir en pierre dans lequel s'écoule l'eau de la rivière. Le palais est entouré de feuillages denses, et de nombreux chemins permettent d'y accéder. Il inclut une maison d'un étage, merveilleusement décorée de fleurs, etc. C'est ici que le talé [dalaï-]lama séjourne une vingtaine de jours et se baigne durant la saison chaude ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, le Yu-tog zamba, pont aux portes de la ville

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Lhassa, le Yu-tog zamba, pont aux portes de la ville
Cette image, montrant le Yu-tog zamba, pont de pierre aux portes de Lhassa, est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le pont (également appelé Yutok jampa et pont Yu-tok dans d'autres sources) est situé sur la route entre Lhassa et le Potala (palais du dalaï-lama). Il est recouvert de tuiles vitrifiées bleues, mais le nom signifie « pont au toit de turquoise ». Dans son ouvrage Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das décrit le Yu-tog zamba comme « un petit pont de pierre avec un garde, sous l'autorité d'un lama, stationné à l'entrée et interrogeant tous les passants pour déterminer l'objet de leur visite dans la ville ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, palais du Potala vu depuis l'est

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Lhassa, palais du Potala vu depuis l'est
Cette vue depuis l'est du Potala (palais du dalaï-lama) à Lhassa est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans Le bouddhisme du Tibet ou lamaïsme (1899), L.A. Waddell aborde les origines du Potala : « Afin de consolider son règne récemment acquis, et celui de son Église au sein de la prêtrise, ce prélat [Ngawang Lobsang, chef du monastère de Drepung], comme nous l'avons vu, se fit passer pour la divinité Avalokita. Il inventa des légendes amplifiant les pouvoirs et les attributs de cette déité, et transféra sa résidence personnelle du monastère de Drepung à un palais qu'il se fit bâtir près de Lhassa, sur la " colline rouge ", désormais appelée mont Potala d'après la résidence indienne mythique de son modèle divin ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Samyé

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Monastère de Samyé
Cette vue rapprochée montre le monastère de Samyé (également Sam-ye ou Sam-yai dans d'autres sources), et particulièrement son temple principal, le Tsuglakhan (ou Tsug-lha-khang), qui signifie maison au toit doré. L'image est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, vue ouest-nord-ouest du palais du Potala

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Lhassa, vue ouest-nord-ouest du palais du Potala
Cette photographie du Potala (palais du dalaï-lama), à Lhassa, vu depuis l'ouest-nord-ouest, fut prise sur la route menant au monastère de Drepung (également De-Pung, De-p'ung, Debang, Drabung, Dabung, Brebung ou Brasbung dans d'autres sources). Elle est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le photographe, Ovché (O.M.) Narzounof, raconte dans ses notes : « Tous les oiseaux visibles sur le sol sont des coqs, rapportés ici de Lhassa. Les coqs sont [illisible] très nombreux dans les foyers, mais comme aucune créature ne peut être tuée dans la zone du sentier de circumambulation rituel extérieur, les coqs sont amenés sur ce site où ils sont laissés à la merci des passants et de ceux accomplissant les circumambulations, qui les nourrissent en leur jetant du maïs ». Le rite « srog-slu », ou charité sauvant la vie, qui garantirait la vie au donneur, peut également être pratiqué en apportant des poulets à cet endroit. Dans son ouvrage Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das décrit ce rite : « Tromper la vie (srog-slu) en épargnant des animaux sur le point d'être tués [...] est également appelé " charité sauvant la vie ". Épargner la vie d'hommes, d'animaux et particulièrement de poissons est considéré comme une garantie de vie. Lorsque Tsing-ta me proposa de pratiquer ce rite, j'ai sans tarder accepté de sauver 500 poissons. Le vieux docteur me dit qu'il pouvait se rendre au village de pêcheurs, à près de cinq kilomètres de là, acheter les poissons et les remettre à l'eau à ma place si je lui prêtais un poney. Il revint dans la soirée, et m'affirma qu'il avait accompli cette mission des plus importantes, grâce à laquelle je recevrais un grand mérite ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et O.M. Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Dzong de Gyantsé (Gyangzê), Chorten Goman

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Dzong de Gyantsé (Gyangzê), Chorten Goman
Cette vue du Chorten Goman dans la ville de Gyantsé (également Gyangze, Gangtse ou Gyangtse dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans son ouvrage La terre des lamas (1891), W.W. Rockhill explique que le mot « chorten » signifie « réceptacle d'offrandes ». Rockhill ajoute : « Un grand nombre [de chortens] furent construits à proximité des lamaseries, et ils permettent d'indiquer les routes jusqu'à celles-ci. Ils sont comparables aux stations du " chemin de croix " des catholiques, où les pèlerins se rendant à un sanctuaire se prosternent devant chaque churten [chorten] érigé sur le sentier ». Dans son ouvrage Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das décrit le chorten photographié ici : « Le chorten est un édifice splendide d'un style d'architecture unique. Jusqu'ici, je pensais que les chortens étaient de simples tombes seulement destinées à contenir la dépouille des saints décédés, mais maintenant mon opinion a totalement changé. Ce chorten est un temple noble haut de neuf étages ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Ovoo

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Ovoo
Cette image d'un ovoo est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans son ouvrage La terre des lamas (1891), W.W. Rockhill explique : « Ovoo est une translittération mongole du mot tibétain do bong, " talus de pierres ", ou do bum, " dix myriades de pierres ". On les retrouve partout en Mongolie et au Tibet. Dans de nombreux pays, les bergers amoncellent des tas plus petits pour servir de repères et guider leurs troupeaux vers les cours d'eau ou jusqu'aux camps ». Selon les notes du photographe, Ovché (O.M.) Narzounof, cet ovoo mesurait près de six mètres de hauteur, et il était situé sur la route entre Lhassa et le monastère de Drepung (également De-Pung, De-p'ung, Debang, Drabung, Dabung, Brebung ou Brasbung dans d'autres sources), plus proche de Drepung que de Lhassa. Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et O.M. Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Tashilhunpo

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Monastère de Tashilhunpo
Cette photographie du monastère de Tashilhunpo (également appelé Tashi-lhumpo dans d'autres sources) montre plus particulièrement l'arrière du toit (doré) recouvrant la tombe du quatrième panchen-lama (ou pan-ch'en). L'image est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das raconte : « Nous entrâmes dans le monastère de Tashilhunpo par la petite porte ouest, en face de laquelle s'élèvent deux chortens, un très grand avec une flèche dorée, et l'autre, plus petit, soigneusement construit. [. . .] Les rayons du soleil couchant brillaient sur les flèches dorées des maisons et des tombes du monastère, offrant une vue des plus enchanteresses ». Das rapporte également les paroles du capitaine Samuel Turner, qui connut le monastère à ses débuts : « Si un facteur extérieur devait accroître la magnificence de ce lieu, nul autre que le soleil se levant de toute sa splendeur directement de l'autre côté ne pouvait embellir davantage ses nombreux auvents et tourelles dorés. Ce spectacle fut absolument magnifique et brillant, d'un effet magique, me laissant une impression que le temps ne pourrait jamais effacer de mon esprit ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Ganden

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Monastère de Ganden
Cette vue panoramique du monastère de Ganden (également Gandan dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le mont Brog-ri est visible à droite et le Wangbur (ou Wan-kur-ri) à gauche. Le professeur de bouddhisme et philosophe religieux tibétain Tsongkhapa (également Tson-k'apa ou Tsongk'apa) fonda ce monastère et la secte lamaïste gelugpa, ou « ordre vertueux », aujourd'hui dominante. Tsongkhapa est enterré au sanctuaire à gauche du Tsuglakhan, temple principal auquel on accède par une grande entrée à deux escaliers. La demeure où Tsongkhapa vécut et mourut se trouve à droite du temple de Tsuglakhan. Dans l'ouvrage Tibet (1890), W.W. Rockhill écrivit : « Ce monastère mesure environ un kilomètre de circonférence. Il contient de nombreux temples bien construits, avec des idoles ressemblant beaucoup à celles de Séra. Il est considéré comme un monastère très riche, hébergeant 3 000 prêtres. Les Tibétains racontent que le mont Kant-tan fut la résidence de Tsongkhapa, homme parfaitement éclairé. En outre, ils pensent qu'il était Jeng-teng-ku Fo (bouddha Dipankara). À l'intérieur du monastère, une salle est décorée des classiques, avec des images des dieux, des rouleaux de soie suspendus et des auvents magnifiques. Elle est immense, presque aussi grande que le [temple] Jokhang ou Ramoché. Un lama k'an-po, qui explique et discourt sur la doctrine jaune, habite ici ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Samyé

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Monastère de Samyé
Cette vue éloignée du monastère de Samyé (également Sam-ye ou Sam-yai dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le temple principal du monastère, le Tsuglakhan (ou Tsug-lha-khang), qui signifie maison au toit doré, est visible au centre, à l'intérieur des murs sur lesquels s'élèvent de petits chortens (ou ch'ortens). Dans son article intitulé « Voyage à Lhassa », G.Ts. Tsybikov rapporte : « Le monastère de Samyé est situé sur la rive gauche du Brahmapoutre, à 108 kilomètres au sud-est de Lhassa. Fondé au IXe siècle, il s'agit du temple le plus ancien du Tibet. Son sume (temple) à cinq étages, combinant les styles tibétain et indien, constitue sa principale attraction ». Dans Le bouddhisme du Tibet ou lamaïsme (1899), L.A. Waddell explique : « Sam-yas [...] . . [fut] le premier monastère fondé au Tibet [...] . . Son nom complet est " Sam-yas Mi'gyur Lhun-gyis grub-pai tsug-lug K'han ", ou " l'académie permettant d'accéder au monceau de méditation immuable ". [. . .] Une partie de l'édifice d'origine existe encore aujourd'hui. Le monastère, qui comporte un grand temple, quatre écoles immenses et plusieurs autres bâtiments, est entouré d'un haut mur circulaire mesurant environ 2,5 kilomètres de circonférence et doté de portes orientées vers les points cardinaux. Le long de la cime du mur, les nombreux chaityas de briques votifs, 1 030 au total selon l'explorateur Nain Singh, semblent être recouverts d'inscriptions en caractères indiens anciens ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Yamdo tso ou lac Palti

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Yamdo tso ou lac Palti
Cette vue du Yamdo tso (ou lac Palti), depuis le col de Kambala (également col de Khamba la dans d'autres sources), est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le sommet enneigé au loin est le Nui-jin-kang Jar'oz (également Nui-jin kang-zang) ou Hao-kang-sang (également Kao-kang-sang). Dans Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902), Sarat Chandra Das raconte la légende du lac : « Lorsque les Dzoungars envahirent le Tibet au XVIIIe siècle, ils abattirent leur colère particulièrement contre les lamaseries et les moines de la secte nyingma. À cette période, un lama saint et éclairé appelé Palti Shabdung, maîtrisant toute la littérature sacrée et les arts magiques, vivait à Palti djong [la ville de Palti]. Ayant appris que les envahisseurs avaient traversé le Nabso-la et marchaient sur Palti, il utilisa son art pour convaincre les déités du lac de faire apparaître les eaux du lac comme une plaine de verdure aux yeux des troupes dzoungares, de sorte qu'elles avancent dans le lac et se noient par milliers. Un autre corps militaire, qui avait emprunté le col de Kambala, ne parvint pas à retrouver les troupes qui passèrent par le Nabso-la et fit demi-tour ; c'est ainsi que la ville de Palti fut sauvée ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, la colline de Marpari (montagne rouge) et le palais du Potala vus depuis l'ouest

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Lhassa, la colline de Marpari (montagne rouge) et le palais du Potala vus depuis l'ouest
Cette vue, depuis l'ouest, du Potala (palais du dalaï-lama) et de la colline de Marpari est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Dans l'article de 1901 intitulé « Lhassa », T.H. Holdich raconte : « Dans le monde entier, le culte religieux des grands dieux a principalement été mené dans des lieux en altitude, la cime des montagnes ayant toujours été leur demeure favorite. [. . .] Dès le début de l'histoire du bouddhisme, le culte du Sauveur Avalokiteshvara, " Dieu miséricordieux qui regarde ici-bas et voit la misère du monde ", devint probablement le plus populaire, et le mont Potala, à proximité de l'embouchure du fleuve Indus, était considéré comme sa demeure. [. . .] Au Tibet, ce culte fut selon toute probabilité associé très tôt à une montagne, car selon les légendes, lorsqu'Avalokiteshvara arriva au Tibet pour apporter la civilisation et le salut au peuple, il établit sa résidence au sommet de Marpari (la colline rouge), à l'ouest de la ville actuelle de Lhassa. Au VIIe siècle, les rois du Tibet bâtirent leur modeste palais sur cette montagne, au pied de laquelle Lhassa se développa ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, palais du Potala vu depuis le sud

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Lhassa, palais du Potala vu depuis le sud
Cette vue du Potala (palais du dalaï-lama) depuis le sud est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Une note du photographe, Ovché (O.M.) Narzounof, indique : « Le grand bâtiment sombre (de facto rouge) au sommet de la colline est le Phodrang Marpo, ou palais rouge, [décrit par] Sarat Chandra Das [dans Voyage à Lhassa et au Tibet central (1902)]. L'édifice blanc au premier plan contient l'entrée sud principale du palais. Devant et à gauche (sur l'image) de cette entrée, un pavillon de couleur foncée (de facto jaune), entouré d'une muraille, s'élève sur un " pei " datant de 1794 sur une pierre. À droite de l'entrée principale, un pavillon de couleur foncée (jaune) similaire fut érigé sur une dalle placée sur un piédestal en pierre carré, datant de 1721. La colonne (monolithe) à proximité du pavillon de droite porte une inscription illisible en tibétain. L'hôtel des monnaies est visible dans les murs, à droite (sur l'image) de l'entrée principale ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et O.M. Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Monastère de Tashilhunpo vu depuis le sud

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Monastère de Tashilhunpo vu depuis le sud
Cette vue éloignée du monastère de Tashilhunpo (également Tashi-lhumpo dans d'autres sources), depuis le sud, est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. Le photographe, Ovché (O.M.) Narzounof, raconte dans ses notes : « Shigatse-jong, ou la citadelle de Shigatse, est visible complètement à droite de l'image. Dans les murs entourant le monastère, cinq tombes du panchen Rinpoché décédé sont alignées et dotées de toits de style chinois. Devant les tombes, entre la seconde et la troisième, le bâtiment sombre (de facto rouge) et peu élevé est la grande salle de congrégation, appelée nagk'an [ou Nag-pa Ta-Ts'an]. L'immense kiku tamsa [entrepôt sur lequel de grandes tapisseries sont suspendues] décrit et illustré par [le capitaine Samuel] Turner dans " Récit d'une ambassade à la cour du panchen-lama au Tibet " [...] se trouve à l'extrémité droite du monastère ». Dans Le bouddhisme du Tibet ou lamaïsme (1899), L.A. Waddell explique : « Tashilhunpo (bkra-sis Lhun-po), ou " monceau de gloire ", [est] le siège du grand panchen-lama, qui partage dans une certaine mesure la direction de l'Église avec le grand lama de Lhassa. [...] Le monastère forme une petite ville, et seuls les lamas appartenant à l'Église établie peuvent y passer la nuit ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et O.M. Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.

Lhassa, monastère de Drepung

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Lhassa, monastère de Drepung
Cette vue d'ensemble du monastère de Drepung (également De-Pung, De-p'ung, Debang, Drabung, Dabung, Brebung ou Brasbung dans d'autres sources) est extraite d'une collection de 50 photographies du Tibet central, acquise auprès de la Société géographique impériale de Russie à Saint-Pétersbourg par la Société américaine de géographie en 1904. La montagne de Gambo Utse est visible dans la partie droite de la photographie. W.W. Rockhill explique dans Tibet (1890) que le monastère de Drepung était le plus peuplé du Tibet. Dans Le bouddhisme du Tibet ou lamaïsme (1899), L.A. Waddell rapporte : « Il s'agit du monastère le plus puissant et le plus peuplé du Tibet. Associé à la doctrine de kalachakra, il fut fondé et nommé d'après le monastère indien tantrique appelé « tas de riz » (Sri-Dhanya Kataka), au Kalinga. Il est situé à près de cinq kilomètres à l'ouest de Lhassa, et compterait 7 000 moines ». Deux lamas bouddhistes mongols, G.Ts. Tsybikov et Ovché (O.M.) Narzounof, prirent ces photographies lorsqu'ils voyagèrent au Tibet en 1900 et 1901. Les notes accompagnant les images furent écrites en russe pour la Société géographique impériale de Russie par Tsybikov, Narzounof et d'autres Mongols qui connaissaient bien le Tibet central. En avril 1904, Alexander Grigoriev, membre correspondant de la Société américaine de géographie, traduisit les notes russes en anglais.
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