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Place Bab Souika, à Tunis, en Tunisie

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Place Bab Souika, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre la place Bab Souika, à Tunis. La mosquée Sidi Mahrez, datant de la fin du XVIIe siècle, est visible en arrière–plan. Elle fut nommée d'après Mahrez Ibn Khalaf (951–1022), saint patron de la médina de Tunis. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Rue Marr, à Tunis, en Tunisie

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Rue Marr, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre la rue Marr, voie de circulation anormalement large, dans la vieille ville de Tunis. La majorité des rues de la médina mesuraient moins de cinq mètres de large. Leurs souks étaient parfois bondés de gens issus des nombreuses tribus d'Afrique du Nord et du Sahara. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Cuisinier itinérant, à Kairouan, en Tunisie

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Cuisinier itinérant, à Kairouan, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre des hommes rassemblés autour d'un cuisinier dans une rue de Kairouan (parfois al–Qayrawan), ville située au centre de la Tunisie, presque à équidistance de la mer et des montagnes. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit Kairouan comme « une cité de type purement arabe, la plus curieuse de Tunisie […], où les nombreuses mosquées et zaouïas datent surtout de la période turque. Ses marchés approvisionnent la vaste plaine de Kairouan et les souks sont toujours importants malgré le déclin des productions ». Ce fut durant l'ère turque que la « ville sacrée, " une des quatre portes du paradis ", dans laquelle ne s'aventuraient ni les chrétiens ni les juifs, redevint le centre religieux de la région. Pour les croyants, le summum du bonheur consistait à passer leurs derniers jours dans les murs de la ville et à être enterrés dans la terre bénie en dehors de ses portes ». La plupart des musulmans considèrent Kairouan comme le quatrième lieu le plus sacré du monde islamique. La ville est aujourd'hui inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Charmeur de serpents, à Tunis, en Tunisie

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Charmeur de serpents, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un charmeur de serpents dans la médina de Tunis, avec une vue sur la ville en arrière–plan. Les charmeurs de serpents prétendent « hypnotiser » des serpents en jouant d'un instrument de musique. Les badauds de la plupart des villes d'Afrique du Nord pouvaient autrefois voir cette attraction. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Marché de bois d'ébène, à Tunis, en Tunisie

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Marché de bois d'ébène, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un marché de bois d'ébène, à Tunis, avec des marchands et des clients faisant affaire devant un bâtiment doté de grandes entrées en arche. Le marché de bois d'ébène constituait un des nombreux souks de la ville, où la plupart des artisanats étaient établis dans des rues spécifiques. Ces marchés à ciel ouvert offraient une gamme de marchandises allant des textiles en soie et en laine, aux biens plus exotiques, comme l'ambre, les produits à base de henné et les bijoux. Le commerce des articles en ébène, en ivoire et en métaux précieux en Afrique du Nord remonte à l'ère pharaonique. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Extérieur d'un café maure, à Tunis, en Tunisie

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Extérieur d'un café maure, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre des clients à l'extérieur d'un café de Tunis. Ce type de café offrait aux hommes un lieu plaisant ombragé et convivial. Sur l'image, une des personnes en grande conversation est habillée à l'européenne, témoignant d'une certaine diversité de la clientèle à la fin du XIXe siècle. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Café maure, à Tunis, en Tunisie

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Café maure, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un café à proximité de la kasbah de Tunis, centre du gouvernement tunisien pendant des siècles. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit les marchés et les souks de Tunis comme des « entrelacs de ruelles étroites », où abondent « les petits cafés et les barbiers ». La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Bazar, à Tunis, en Tunisie

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Bazar, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un bazar de Tunis, appelé souk El Berka, où pendant des siècles les esclaves étaient vendus, devenu un marché de bijoux au milieu du XIXe. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit les souks de la médina qui remontent au début de la période hafside au XIIIe siècle. Il raconte que « les ruelles étroites sont barrées par un comptoir, au–dessus duquel le marchand se balance dans son siège à l'aide d'une corde ». Baedeker note également que bon nombre des marchandises sont fabriquées sur place et que « les bazars plus grands dans certaines rues sont uniquement destinés à attirer les étrangers ». La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Groupe d'Arabes vagabonds, à Tunis, en Tunisie

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Groupe d'Arabes vagabonds, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un groupe de nomades aux abords de Tunis, à proximité leurs gourbis (huttes ou abris misérables de fortune), mot emprunté à l'arabe. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Groupe de personnes devant Bab Alioua, à Tunis, en Tunisie

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Groupe de personnes devant Bab Alioua, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un petit groupe de personnes devant la porte Bab Alioua, à Tunis. Deux d'entre eux sont assis sur des mules de bât, tandis que deux autres tiennent des marchandises en équilibre sur la tête. Bab Alioua, située à l'extrémité sud–est de Tunis, abritait jadis une station de tramway. Celle–ci donnait sur le cimetière Sidi Belhassen, décrit dans l'édition de 1911 de l'ouvrage de Baedeker La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs comme « le plus grand cimetière musulman de Tunis, désormais désacralisé et donc ouvert aux " non–croyants " ». À proximité, une mosquée, « lieu de sépulture de nombreuses épouses d'anciens beys, fut érigée sur le site d'une grotte où le saint marocain Abou Hassan al–Chadhili (mort en 1258), fondateur de la confrérie Chadhiliyya, habita plusieurs années ». La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Marchands de couscous devant un café arabe, à Tunis, en Tunisie

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Marchands de couscous devant un café arabe, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre des vendeurs ambulants devant un café de la médina de Tunis. Le couscous, constitué d'une semoule de blé dur, est un des ingrédients de plats omniprésents en Tunisie et dans le reste de l'Afrique du Nord. Il est traditionnellement servi avec de la viande, des légumes et des épices. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Sidi–Ben–Ziad, à Tunis, en Tunisie

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Sidi–Ben–Ziad, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une partie de la rue Sidi–Ben–Zaid, à Tunis, orientée vers le minaret de la mosquée Zitouna (ou Ezzitouna, qui signifie la mosquée de l'olivier), datant du VIIIe siècle. Cette rue est située dans la médina historique de Tunis, au sud du Dar El Bey, autrefois résidence et siège du bey, puis Palais du gouvernement, siège de l'administration coloniale française et par la suite du gouvernement tunisien indépendant. Célèbre pour ses souks (marchés couverts), la rue grouillait généralement de chalands, de tailleurs, de brodeurs, de marchands de bijoux, d'orfèvres et d'autres commerçants. La mosquée hanéfite de Youssef Dey (ou mosquée Sidi Youssef), construite au début du XVIIe siècle et arborant son minaret octogonal caractéristique, est également située dans cette rue. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Bédouine, à Tunis, en Tunisie

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Bédouine, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une Bédouine, à Tunis, portant une cruche d'eau sur l'épaule. Elle est vêtue d'un couvre–chef traditionnel et une robe, mais son visage n'est pas voilé ni autrement couvert. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Différents types d'Arabes, à Tunis, en Tunisie

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Différents types d'Arabes, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre des hommes arabes dans les rues de Tunis. Certains sont vêtus des chemises et des pantalons amples traditionnels, souvent portés avec une robe ou une veste, et sont coiffés d'une calotte rouge ou d'un autre couvre–chef. Trois hommes portent des pantalons, des vestes, des chapeaux ou des casquettes de style européen, témoignant de l'influence coloniale sur les tenues vestimentaires. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Mendiantes bédouines et leurs enfants, à Tunis, en Tunisie

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Mendiantes bédouines et leurs enfants, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre des mendiantes bédouines et leurs enfants, à Tunis. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker souligne « l'accoutrement étrange » des femmes tunisiennes, caractéristique chez les personnes âgées. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Des Arabes quittant la mosquée, à Tunis, en Tunisie

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Des Arabes quittant la mosquée, à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre un groupe d'hommes sortant d'une mosquée de Tunis. La mosquée visible sur cette image compte parmi les plus connues de Tunis. Il s'agit de la mosquée Zitouna (ou Ezzitouna, qui signifie la mosquée de l'olivier), fondée en 732 par Abdallah ibn al–Habhab et reconstruite au IXe siècle. Le site est également associé à sainte Olive de Palerme. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Tunis. La Porte française

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Tunis. La Porte française
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre la Porte française, également appelée Bab El Bhar (Porte de la mer) ou Porte de France, à Tunis. Dans l'édition de 1911 de son ouvrage La Méditerranée, ses ports et ses routes maritimes : manuel pour voyageurs, Baedeker décrit cette porte comme l'une des principales frontières entre « le quartier maure le plus ancien » de la médina, à l'ouest, et « la nouvelle ville européenne monotone », à l'est. Cette porte et la place sur laquelle elle se trouve sont très animées et donnent accès aux « deux artères principales de la médina », vers les nombreux souks de la vieille ville et le quartier juif. La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Mohamedia (ville disparue), à Tunis, en Tunisie

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Mohamedia (ville disparue), à Tunis, en Tunisie
Cette impression photochrome est extraite de la série « Regards sur l'architecture et la population en Tunisie » dans le catalogue de la Detroit Photographic Company. Elle montre une partie du complexe palatial en ruine d'Ahmed Bey (1806–1855), aujourd'hui appelé la Mohamedia. Située à 16 kilomètres au sud de Tunis, Mohamedia visait à rivaliser avec Versailles par sa splendeur. Dans le journal de voyage écrit principalement par Emily Ward, Trois voyageurs en Afrique du Nord (1922), Mohamedia est décrite comme « une ville espagnole déserte. […] Autrefois des souks, les bâtiments voisins étaient, à l'époque d'Ahmed Bey, des quartiers généraux militaires avec des casernes pouvant accueillir quinze mille soldats. La ville déserte couvrait donc un espace considérable et était construite sur plusieurs niveaux ». La Tunisie fut occupée par les Français en 1881 et administrée en tant que protectorat au sein duquel l'autorité nominale du gouvernement local était reconnue. À une époque, les Européens constituaient la moitié de la population de Tunis. Un réaménagement urbain rapide débuta avec la construction française de nouveaux boulevards, quartiers et infrastructures, divisant la ville en une médina traditionnelle peuplée d'Arabes et un nouveau quartier habité par les immigrants. La citation de la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour la médina de Tunis indique que durant la période médiévale et avant, « Tunis fut considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des madrasa et des fontaines témoignent de ce remarquable passé ». La Detroit Photographic Company a démarré en tant que maison d'édition photographique à la fin des années 1890, lancée par l'homme d'affaires et éditeur de Détroit William A. Livingstone Junior, en association avec le photographe et éditeur de photos Edwin H. Husher. Ils obtinrent l'exclusivité des droits d'utilisation du procédé suisse « Photochrom » permettant de convertir les photographies noir et blanc en images couleur et à les imprimer par photolithographie. Ce procédé novateur permit la production en série de cartes postales, de tirages et d'albums en couleur vendus sur le marché américain. La maison d'édition devint la Detroit Publishing Company en 1905.

Gravure de mode d'Irkoutsk. Femme de juge posant devant un groupe d'amateurs de dessin

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Gravure de mode d'Irkoutsk. Femme de juge posant devant un groupe d'amateurs de dessin
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.

Femme de colon ukrainien émigré en Sibérie

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Femme de colon ukrainien émigré en Sibérie
L'artiste russe Boris Vasilievich Smirnov (1881–1954) traversa la Sibérie en 1904, depuis la Russie occidentale, à bord d'un convoi de prisonniers. Chemin faisant, il réalisa une série de dessins et d'aquarelles des personnes rencontrées et des lieux parcourus. Mieux connu pour ses portraits, Smirnov privilégiait les visages des hommes et des femmes qu'il esquissait, notamment des exilés, des prisonniers, des colons originaires d'Ukraine ou de Russie occidentale, des officiers et des fonctionnaires locaux, des paysans et des marchands. Les œuvres qu'il réalisa à cette période comprennent également quelques dessins de maisons et de paysages. Il produisit ses ouvrages dans les monts Oural, à Irkoutsk, à Omsk, à Krasnoïarsk et dans des villages le long de la route. Les détails du voyage de Smirnov sont mal connus. Certains récits indiquent que c'est en tant que volontaire qu'il voyagea le long de la Grande route sibérienne pour se rendre sur le front de la guerre russo-japonaise. D'autres affirment qu'il était en exil, probablement envoyé en Sibérie suite à son refus d'être enrôlé dans l'armée. La Grande route sibérienne, représentée dans plusieurs dessins de Smirnov, constituait l'itinéraire qui reliait Moscou à la Chine, à travers la Sibérie. La collection de 99 œuvres picturales de Smirnov est conservée au Musée national de l'histoire et des traditions régionales de Novossibirsk. Le musée fit l'acquisition de cette collection auprès de l'artiste en 1950. Elle fut numérisée dans le cadre du projet « Rencontre des frontières » au début des années 2000. La collection est présentée, dans son intégralité, sur le site de la Bibliothèque numérique mondiale.
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