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Tranchées–abris allemandes, à Saint–Mihiel, dans la Meuse

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Tranchées–abris allemandes, à Saint–Mihiel, dans la Meuse
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Vue de côté d'un SPAD S.VII, aérodrome de Neufchâteau

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Vue de côté d'un SPAD S.VII, aérodrome de Neufchâteau
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Compagnie « B » à la batte. Le lieutenant Felt jouant le rôle d'arbitre. Remarquez les veuves de guerre françaises au premier plan, à Vittel, dans les Vosges

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Compagnie « B » à la batte. Le lieutenant Felt jouant le rôle d'arbitre. Remarquez les veuves de guerre françaises au premier plan, à Vittel, dans les Vosges
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Rassemblement de la main–d'œuvre chinoise

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Rassemblement de la main–d'œuvre chinoise
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Troupes de main–d'œuvre de couleur du génie réalisant des travaux routiers à proximité d'Arracourt, à Verdun

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Troupes de main–d'œuvre de couleur du génie réalisant des travaux routiers à proximité d'Arracourt, à Verdun
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Tranchées allemandes près de Marchéville. Remarquez la méthode de construction dans la terre boueuse

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Tranchées allemandes près de Marchéville. Remarquez la méthode de construction dans la terre boueuse
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Avion de chasse Halberstadt CL allemand capturé par nos troupes

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Avion de chasse Halberstadt CL allemand capturé par nos troupes
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Cette autre guerre

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Cette autre guerre
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Vue depuis le côté allemand de la « zone neutre » près de Verdun

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Vue depuis le côté allemand de la « zone neutre » près de Verdun
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Ruines de Verdun

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Ruines de Verdun
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Cette construction en béton, avec des murs d'un mètre d'épaisseur environ, défendait les abords et l'intersection des routes

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Cette construction en béton, avec des murs d'un mètre d'épaisseur environ, défendait les abords et l'intersection des routes
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Arrachage de la motte pour préparer une tranchée, à Fort Leavenworth, au Kansas

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Arrachage de la motte pour préparer une tranchée, à Fort Leavenworth, au Kansas
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Vue d'un abri antibombe construit avec des gabions, des poteaux de tourbe et des fascines

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Vue d'un abri antibombe construit avec des gabions, des poteaux de tourbe et des fascines
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Escouade construisant des chevaux de frise en bois

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Escouade construisant des chevaux de frise en bois
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Vue d'un système de tranchées avec les traverses de protection contre les tirs en enfilade

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Vue d'un système de tranchées avec les traverses de protection contre les tirs en enfilade
Frederick Clarence Stilson (1889–1974), originaire de l'Illinois, servit dans le Corps du génie de l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Ingénieur qualifié employé par l'Interstate Commerce Commission des États–Unis avant le conflit, Stilson obtint le grade de lieutenant et reçut l'ordre de se présenter à Fort Sheridan, dans l'État de l'Illinois, en mai 1917. Après une formation complémentaire à Fort Leavenworth, au Kansas, l'unité de Stilson, la Compagnie B du 23e Bataillon du génie, embarqua pour la France à Hoboken, dans l'État du New Jersey, en janvier 1918. Il passa au total 19 mois en Europe, avant de rentrer aux États–Unis en juin 1919. Le 23e Bataillon du génie participa essentiellement à la construction de grandes routes utilisées par l'armée pour le transport des hommes et des équipements au front, à la réparation de celles détruites par les tirs d'obus et à la réhabilitation des zones contaminées par les armes chimiques. Les ingénieurs furent souvent déployés au front ou à proximité, et l'armée attribue à Stilson le mérite d'avoir participé à l'offensive de Saint–Mihiel et à l'offensive Meuse–Argonne, dans le secteur de Toul. Le 11 novembre 1968, Stilson acheva ses Mémoires, Cette autre guerre, qui est autant un carnet de voyage qu'une histoire de la guerre. L'ouvrage décrit en détail la campagne française et les villes que Stilson visita durant son temps libre. Le fils de Stilson, Malcolm, finalisa la révision des Mémoires en 1993. Un autre membre de la famille légua plus tard le texte au Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains. La collection Stilson inclut également la carte d'identité de Stilson au sein de l'American Expeditionary Force, ainsi que de nombreuses photographies qu'il prit durant sa formation aux États–Unis et son service en Europe.

Deux hommes aux côtés d'un chasseur Nieuport français à Toul, en France

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Deux hommes aux côtés d'un chasseur Nieuport français à Toul, en France
John A. McGill, soldat américain, servit dans l'American Expeditionary Force pendant la Première Guerre mondiale comme membre du 23e Bataillon du génie. Après avoir été formé dans le Maryland, à Glen Burnie et à Camp Meade, McGill fut déployé en France à la fin du printemps ou au début de l'été 1918. Durant son séjour en France, McGill compila un album de 226 photographies, montrant notamment des scènes de bataille, des barbelés enchevêtrés, l'intérieur de tranchées, des nids de mitrailleuses, des emplacements de canon, des stocks de munitions, des avions allemands et américains abattus, ainsi que des églises endommagées et d'autres ravages causés par la guerre dans les villes et villages français. Certains des clichés furent pris par des photographes de presse de l'époque et devinrent des cartes postales, que McGill acheta, puis colla dans son album. Les photographies présentent un témoignage vivant du conflit à travers les expériences des soldats sur le front de l'Ouest. Cet album est conservé dans les collections du Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains.

Exercice avec des chiens de la Croix–Rouge dans les tranchées, près de Suippes, dans la Marne, en France

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Exercice avec des chiens de la Croix–Rouge dans les tranchées, près de Suippes, dans la Marne, en France
John A. McGill, soldat américain, servit dans l'American Expeditionary Force pendant la Première Guerre mondiale comme membre du 23e Bataillon du génie. Après avoir été formé dans le Maryland, à Glen Burnie et à Camp Meade, McGill fut déployé en France à la fin du printemps ou au début de l'été 1918. Durant son séjour en France, McGill compila un album de 226 photographies, montrant notamment des scènes de bataille, des barbelés enchevêtrés, l'intérieur de tranchées, des nids de mitrailleuses, des emplacements de canon, des stocks de munitions, des avions allemands et américains abattus, ainsi que des églises endommagées et d'autres ravages causés par la guerre dans les villes et villages français. Certains des clichés furent pris par des photographes de presse de l'époque et devinrent des cartes postales, que McGill acheta, puis colla dans son album. Les photographies présentent un témoignage vivant du conflit à travers les expériences des soldats sur le front de l'Ouest. Cet album est conservé dans les collections du Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains.

Canons de gros calibre allemands saisis par les Anglais

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Canons de gros calibre allemands saisis par les Anglais
John A. McGill, soldat américain, servit dans l'American Expeditionary Force pendant la Première Guerre mondiale comme membre du 23e Bataillon du génie. Après avoir été formé dans le Maryland, à Glen Burnie et à Camp Meade, McGill fut déployé en France à la fin du printemps ou au début de l'été 1918. Durant son séjour en France, McGill compila un album de 226 photographies, montrant notamment des scènes de bataille, des barbelés enchevêtrés, l'intérieur de tranchées, des nids de mitrailleuses, des emplacements de canon, des stocks de munitions, des avions allemands et américains abattus, ainsi que des églises endommagées et d'autres ravages causés par la guerre dans les villes et villages français. Certains des clichés furent pris par des photographes de presse de l'époque et devinrent des cartes postales, que McGill acheta, puis colla dans son album. Les photographies présentent un témoignage vivant du conflit à travers les expériences des soldats sur le front de l'Ouest. Cet album est conservé dans les collections du Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains.

Dîner dans un camp américain, sur le lac de Longemer

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Dîner dans un camp américain, sur le lac de Longemer
John A. McGill, soldat américain, servit dans l'American Expeditionary Force pendant la Première Guerre mondiale comme membre du 23e Bataillon du génie. Après avoir été formé dans le Maryland, à Glen Burnie et à Camp Meade, McGill fut déployé en France à la fin du printemps ou au début de l'été 1918. Durant son séjour en France, McGill compila un album de 226 photographies, montrant notamment des scènes de bataille, des barbelés enchevêtrés, l'intérieur de tranchées, des nids de mitrailleuses, des emplacements de canon, des stocks de munitions, des avions allemands et américains abattus, ainsi que des églises endommagées et d'autres ravages causés par la guerre dans les villes et villages français. Certains des clichés furent pris par des photographes de presse de l'époque et devinrent des cartes postales, que McGill acheta, puis colla dans son album. Les photographies présentent un témoignage vivant du conflit à travers les expériences des soldats sur le front de l'Ouest. Cet album est conservé dans les collections du Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains.

Des hommes autour d'une pièce d'artillerie sur l'USS Rambler

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Des hommes autour d'une pièce d'artillerie sur l'USS Rambler
John A. McGill, soldat américain, servit dans l'American Expeditionary Force pendant la Première Guerre mondiale comme membre du 23e Bataillon du génie. Après avoir été formé dans le Maryland, à Glen Burnie et à Camp Meade, McGill fut déployé en France à la fin du printemps ou au début de l'été 1918. Durant son séjour en France, McGill compila un album de 226 photographies, montrant notamment des scènes de bataille, des barbelés enchevêtrés, l'intérieur de tranchées, des nids de mitrailleuses, des emplacements de canon, des stocks de munitions, des avions allemands et américains abattus, ainsi que des églises endommagées et d'autres ravages causés par la guerre dans les villes et villages français. Certains des clichés furent pris par des photographes de presse de l'époque et devinrent des cartes postales, que McGill acheta, puis colla dans son album. Les photographies présentent un témoignage vivant du conflit à travers les expériences des soldats sur le front de l'Ouest. Cet album est conservé dans les collections du Projet d'histoire des vétérans de l'American Folklife Center à la Bibliothèque du Congrès, qui a pour mission de recueillir, de conserver et de rendre accessibles les récits personnels des anciens combattants américains.
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