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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : scierie de la Ross, Beemer & Company, à Roberval

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : scierie de la Ross, Beemer & Company, à Roberval
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : Saint–Jérôme, sur le lac Saint–Jean

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : Saint–Jérôme, sur le lac Saint–Jean
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : moisson, à Saint–Jérôme

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : moisson, à Saint–Jérôme
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : champs de blé à Hébertville, sur le lac Saint–Jean

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : champs de blé à Hébertville, sur le lac Saint–Jean
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : vue d'ensemble d'Hébertville, sur le lac Saint–Jean

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : vue d'ensemble d'Hébertville, sur le lac Saint–Jean
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : labourage, à Saint–Prime

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : labourage, à Saint–Prime
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : propriété canadienne française, à Saint–Prime

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : propriété canadienne française, à Saint–Prime
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : enfants dans un champ de blé, à Saint–Félicien

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : enfants dans un champ de blé, à Saint–Félicien
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : rivière Ashuapmushuan, à Saint–Félicien

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : rivière Ashuapmushuan, à Saint–Félicien
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : trois truites

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : trois truites
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : deux pêcheurs

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : deux pêcheurs
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Fête de la Saint–Jean–Baptiste

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Fête de la Saint–Jean–Baptiste
Ce film muet montre les festivités de la Saint–Jean–Baptiste du 24 juin 1945. La commémoration, qui marque également le renouveau d'un ancien rite du solstice d'été, était observée par les Québécois depuis 1834, date à laquelle Ludger Duvernay, rédacteur en chef du journal La Minerve, décida de faire renaître cette tradition, précédemment interrompue par la Conquête de 1760, et organisa un banquet dans le jardin de l'avocat John McDonnell. La célébration continua les années suivantes, jusqu'en 1837, lorsque Duvernay fut exilé pendant la Rébellion des Patriotes. Les festivités reprirent avec le retour de Duvernay en 1842 et la première procession officielle célébrant la Saint–Jean–Baptiste fut organisée par la ville de Québec. En 1843, Duvernay fonda l'Association Saint–Jean–Baptiste et invita le public à célébrer la fête nationale des Canadiens français. Montréal connut sa première parade la même année. La plupart des festivités se déroulaient au Québec, mais la fête se répandit à d'autres régions, telles que l'Acadie, l'Ontario et même les États–Unis. En 1925, l'assemblée législative du Québec fit de la Saint–Jean–Baptiste un jour férié officiel. La parade de Montréal, filmée ici, fut télévisée pour la première fois par Radio–Canada en 1953. Dans cet ancien enregistrement de 1945, une femme représentant la Société d'action nationale remet aux passants des broches en forme de feuille d'érable. Trois ans plus tard, en 1948, le fleurdelisé devint le drapeau officiel du Québec et remplaça la feuille d'érable comme symbole du patriotisme québécois. Le 24 juin 1977, René Lévesque, Premier ministre du Québec, signa un arrêté faisant de la célébration la Fête nationale du Québec, journée où les Québécois et les autres francophones d'Amérique du Nord pouvaient célébrer leur culture et leur histoire.

Second congrès national de la Jeunesse ouvrière catholique et Congrès des cent mariages, à Montréal, 1939

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Second congrès national de la Jeunesse ouvrière catholique et Congrès des cent mariages, à Montréal, 1939
En 1939, la Jeunesse ouvrière catholique du Québec produisit ce film muet du Congrès des cent mariagesà l'occasion de son second congrès national. Le film fait partie du Fonds d'archives de la Jeunesse ouvrière catholique, conservé à la Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Le groupe canadien fut créé sur le modèle de la Jeunesse ouvrière chrétienne (ou JOC), mouvement catholique romain dirigé par le cardinal belge Joseph Cardijn (1882–1967), qui le fonda en 1912. La Jeunesse ouvrière chrétienne reçut l'appui des évêques belges et du pape Pie XI en 1925, puis devint un mouvement catholique mondial. Elle se répandit au Canada en 1931 sous le nom de Jeunesse ouvrière catholique. Le groupe gagna une grande popularité au Québec pendant la Grande Dépression, lorsque Georges Gauthier (1871–1940), archevêque de Montréal, et le père Henri Roy, un oblat, lancèrent une initiative pour étudier et combattre les problèmes sociaux auxquels la jeunesse ouvrière était confrontée. Au Québec, la Jeunesse ouvrière catholique visait à aider les jeunes de plus en plus démoralisés par les mauvaises conditions résultant de l'industrialisation et la crise économique. Plate–forme d'engagement social au sein de l'Église catholique, la JOC, dont les membres s'appelaient les « jocistes », représentait un courant d'indépendance libérale parmi les congrégations catholiques. Le mouvement représentait également une « jeunesse » considérée comme un groupe social distinct ayant sa propre identité. Dirigée par les jeunes eux–mêmes, la Jeunesse ouvrière catholique établit 172 sections locales et attira plus de 6 000 membres. Entre 1935 et 1939, le journal de la JOC, Jeunesse ouvrière, fut tiré à 20 000 exemplaires hebdomadaires. Le groupe cibla la baisse du taux de mariage, associée à la Grande Dépression. Le 23 juillet 1939, la Jeunesse ouvrière catholique célébra 106 mariages à l'extérieur au stade Delorimier, à Montréal. Cet événement nécessita des mois de préparation. Le groupe offrit aux couples un anneau en or par époux et prit en charge les festivités pour 25 invités par couple. À l'origine, l'événement devait se dérouler à la basilique Notre–Dame, mais il fut déplacé au stade Delorimier pour pouvoir accueillir les 25 000 participants. Avec la Deuxième Guerre mondiale, qui éclata deux semaines après la célébration, l'influence de la JOC diminua progressivement. La moitié des membres de l'association partit en guerre, puis la prospérité d'après–guerre mit fin à l'intérêt des jeunes pour la JOC. Toutefois, de cette célébration, ainsi que des études de Gauthier et de Roy qui la précédèrent, naquirent les « cours de préparation au mariage », lesquels se répandirent par la suite de par le monde.

Vues de la ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean

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Vues de la ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Attaque sur Saint–Charles

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Attaque sur Saint–Charles
Cette gravure représente une scène des Rébellions de 1837−1838 au Canada, déclenchées par le mécontentement envers le statu quo politique. Cette insatisfaction fut particulièrement exacerbée par la dominance des Britanniques dans les affaires de ce qui était encore à l'époque deux colonies distinctes : le Bas-Canada (région du sud de l'actuelle province du Québec) et le Haut-Canada (région du sud de l'actuelle province de l'Ontario). Durant la rébellion, les chefs réformistes du Bas-Canada, le plus connu étant Louis-Joseph Papineau (1786−1871), tirèrent parti des tensions politiques longtemps latentes pour recruter une grande force rebelle. Toutefois, cette dernière ne fit pas le poids devant les troupes du gouvernement, complétées par une importante milice de loyalistes venant du Haut-Canada, sous le commandement du général John Colborne. Les Patriotes (rebelles) s'opposèrent aux miliciens et aux forces armées britanniques à trois reprises, notamment à Saint-Denis, à Saint-Charles et à Saint-Eustache. La loi martiale fut déclarée, et de nombreux rebelles, dont Papineau, s'enfuirent aux États-Unis. Des centaines d'insurgés furent arrêtés, certains furent déportés en Australie et d'autres furent pendus à la prison du Pied-du-Courant à Montréal. Lord Charles Beauclerk (1813−1861), l'artiste de l'œuvre d'origine à partir de laquelle Nathaniel Hartnell réalisa cette gravure, fut un officier commandant des soldats britanniques à Saint-Charles.

Permission accordée à Jacques Hertel de Cournoyer de se rendre dans les Pays–d'En–Haut pour le commerce des fourrures

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Permission accordée à Jacques Hertel de Cournoyer de se rendre dans les Pays–d'En–Haut pour le commerce des fourrures
Par ce document daté du 30 avril 1721 et signé à Montréal, Philippe de Rigaud Vaudreuil (1643–1725), gouverneur de la Nouvelle–France, autorisa Jacques Hertel de Cournoyer (1667–1748) à se rendre dans les Pays–d'En–Haut (vaste territoire à l'ouest de Montréal), avec deux canoës et huit hommes. Cournoyer devait servir le père Pierre–François–Xavier de Charlevoix (1682–1761), prêtre voyageant dans la région apparemment pour visiter les missions, mais qui avait été chargé par Philippe, duc d'Orléans, de localiser la mer de l'Ouest afin de découvrir un chemin vers l'Asie. Le document témoigne d'un aspect caractéristique de la colonisation française de l'Amérique du Nord, à savoir le commerce des fourrures, qui joua un rôle central dans l'exploration française de l'intérieur de la région et dans l'évangélisation des Amérindiens. Né à Trois–Rivières, au Québec, Jacques Hertel de Cournoyer fut l'un des 15 fils de Joseph–François Hertel de la Fresnière, qui grandit durant la période des guerres perpétuelles entre les Français et les Iroquois. Guidé par Cournoyer, Charlevoix voyagea vers l'ouest, depuis Montréal, écrivant de nombreuses notes et observations, par la suite publiées dans son Journal. Les informations détaillées collectées par Charlevoix pendant le long périple constituèrent une source très précieuse pour l'hydrographe et cartographe Jacques–Nicolas Bellin, qui les utilisa pour créer des cartes révisées et améliorées de la région des Grands Lacs. Si Charlevoix ne découvrit pas la mer de l'Ouest, il publia plus tard une histoire des colonies françaises en Amérique du Nord et d'autres ouvrages, lui permettant d'asseoir une réputation d'historien majeur. Cournoyer, capitaine de la marine, devint seigneur de Saint–Marc–sur–Richelieu, colonie établie sur la rivière Richelieu.

Livre d'orgue de Montréal

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Livre d'orgue de Montréal
Le Livre d'orgue de Montréal est le plus volumineux des manuscrits de musique d'orgue française de l'époque de Louis XIV (règne : 1643−1715) encore existants aujourd'hui. Marqué « Pièces d'orgue » sur la tranche, ce livre de 540 pages est constitué de 40 cahiers distincts, ou ensembles de feuilles. Il ne contient pas de table des matières ou d'indication du compositeur, mais 16 de ses 398 pièces furent attribuées à Nicolas Lebègue (1631–1702), organiste du roi en France. Les pièces de Lebègue dans ce manuscrit incluent « Tierces ou cromornes en taille », de 1676, le « Magnificat du 2e », de 1678, « Offertoire » et « Élévation », de 1685, et « Offertoire en F ut fa », pièce jamais publiée du vivant de Lebègue. Outre l'œuvre de Lebègue, le manuscrit contient six messes, onze magnificats chantés pendant les vêpres, neuf autres suites de pièces pouvant servir de magnificats, trois Te Deums et un Pange lingua. Le manuscrit porte le sceau de deux anciens propriétaires : « J.J. Girouard 1847 », sur la première de couverture, et « Girard 1724 », sur la deuxième de couverture. Jean Girard (1696–1765) fut formé comme musicien d'église à la Sainte–Chapelle de Bourges. Il entra au séminaire sulpicien à Bourges ou à Paris en 1720, mais il ne fut jamais ordonné prêtre. Il demanda à la place la permission de partir pour Montréal en 1724, où il devint organiste à la paroisse de Notre–Dame. Il emporta avec lui ce manuscrit de pièces d'orgue françaises, ainsi que des ouvrages de Guillaume–Gabriel Nivers, Premier livre d'orgue et Traité de la composition de musique. Au XIXe siècle, Jean–Joseph Girouard (1794–1855), notaire, mélomane et guide intellectuel des Rébellions de 1837, acquit le manuscrit auprès des sulpiciens (société catholique à laquelle Girard appartenait).

Catéchisme du diocèse de Sens

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Catéchisme du diocèse de Sens
Le Catéchisme du diocèse de Sens, imprimé en 1765 à la demande de Jean–Joseph Languet, archevêque de Sens (1677–1753), fut utilisé au diocèse de Québec jusqu'en 1777, lorsque la première édition du Catéchisme à l'usage du diocèse de Québec fut publiée. Comme il n'existait aucune presse en Nouvelle–France, la disponibilité des catéchismes et d'autres livres rencontrait les mêmes obstacles que toute importation de France : des voyages transatlantiques dangereux, des coûts de transport élevés et différents niveaux de coopération de la part des libraires. Bien que des copies manuscrites fussent souvent produites, l'augmentation de la population suscita un manque en catéchismes, probablement dès le déclenchement de la guerre de Sept Ans en 1754. Le conflit entre la France et l'Angleterre, ainsi que le début du régime britannique dans l'ancienne colonie française, interrompirent la réception des livres provenant de France pendant plusieurs années. Au cours de l'été 1764, deux imprimeurs de Philadelphie, William Brown et Thomas Gilmore, établirent une imprimerie à Québec. À ce moment–là, aucun catéchisme n'avait été distribué au Québec depuis plus de cinq ans, faisant de la province de près de 70 000 habitants un marché idéal. Si l'on ne sait pas qui décida d'imprimer le Catéchisme du diocèse de Sensà la presse fondée par Brown et Gilmore, le nom de Louis Langlois, dit Germain, important marchand de Québec et ami du clergé, apparaît sur le registre des imprimeurs de l'époque. Depuis peu sous la domination d'un gouverneur anglais protestant, l'Église catholique de cette période, incertaine de ses droits et de ses privilèges, préféra faire appel à un marchand pour s'occuper de la commande et ne pas attirer l'attention des autorités. Le catéchisme devint ainsi le premier livre jamais imprimé au Québec. Tirée à 2 000 exemplaires en novembre 1765, la première édition fut rapidement épuisée dans la province. Grand succès de librairie, une deuxième édition parut en 2 000 exemplaires en avril 1766.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : gare de Lac–Saint–Joseph

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : gare de Lac–Saint–Joseph
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.

Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : vue du lac Sergent

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Ligne de chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean : vue du lac Sergent
Cet album contient 91 photographies produites entre 1887 et 1890 par le studio de photographie Livernois de Québec. Les images témoignent du développement et de la croissance économique de la région du Fjord-du-Saguenay et du lac Saint–Jean, dans la province de Québec, à la fin du XIXe siècle. Cet essor fut en grande partie associé à la construction du nouveau réseau ferroviaire. Les clichés montrent la construction de la ligne de chemin de fer, des scènes de pêche, des activités touristiques, ainsi que différents sites du Saguenay–Lac–Saint–Jean, dont le village de Roberval. Le Saguenay–Lac–Saint–Jean est une vaste région au nord de la ville de Québec qui, entre 1652 et 1842, fut exclusivement réservée au commerce des fourrures. Au cours de cette période, seuls les missionnaires et les marchands pouvaient aller et venir dans la zone. En 1842, Saguenay fut officiellement ouverte à l'exploitation forestière et à l'agriculture. Fondé en 1855, Roberval devint le terminal de gare du lac Saint–Jean pour la Compagnie du chemin de fer de Québec au lac Saint–Jean. Le village connut une expansion rapide pendant les dernières décennies du siècle, comme en témoignent les clichés montrant des hôtels, des moulins et des scènes touristiques. Établie en 1854 par Jules–Isaïe Benoît Livernois (1830−1865), la société Livernois exerça ses activités pendant 120 ans, jusqu'en 1974, sous la direction des membres de quatre générations de la famille Livernois. La Bibliothèque et Archives nationales du Québec possède une collection de plus de 300 000 photographies produites par la société, dont la plupart furent prises par Jules–Ernest Livernois (1851−1933), fils de Jules–Isaïe, et Jules Livernois (1877−1952), fils de Jules–Ernest.
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